Affaire Hulot : considérations sur un lynchage

Dans une actualité médiatique pourtant bien encombrée par la campagne présidentielle et la pandémie, on assiste à un lynchage médiatique géant dont la cible est une personnalité médiatico-politique considérable. Nicolas Hulot appartenait depuis très longtemps au système assez ridicule du classement des personnalités « préférées des Français ». Il avait mis en place dans les années 80 un business très lucratif, à base d’émissions de télévision particulièrement spectaculaires. Utilisant une incontestable popularité, et travaillé par l’ambition politique, il veilla à devenir dans les années 2000 une icône médiatique de la défense de l’environnement. Il fit un premier tour de piste en 2007, sans s’engager directement dans la campagne électorale, mais en faisant signer un « pacte écologique » par les principaux candidats. Constatant l’usage par les politiques du vieil adage de Charles Pasqua selon lequel « les promesses électorales n’engagent que ceux à qui elles sont faites », il tenta de franchir une nouvelle étape en participant à la primaire écologique en vue de la présidentielle 2012. Mauvaise pioche, il s’y fit écraser par Eva Joly qui se couvrit ensuite de ridicule pour aboutir à un désastre électoral. C’est dans ces conditions que soutenu par les dirigeants d’EELV avec lesquels sa proximité ne s’était pas démentie, il fit son entrée dans le gouvernement Philippe après l’élection d’Emmanuel Macron. Dès février 2018, il sera l’objet d’une première offensive médiatique dans laquelle il sera accusé de viol pour des faits remontant à 21 ans et pour lesquels le parquet saisi avait conclu que : « Les faits dénoncés, n’apparaissaient pas établis, et faisaient l’objet ce jour d’un classement sans suite en raison de la prescription intervenue. » Il fut alors fermement soutenu par la Macronie et l’on n’en parla plus. Il ne perdait rien pour attendre.

Sa sortie fracassante du gouvernement, l’ayant coupé de ses appuis élyséens, un article du journal Reporterre – notoirement lié à la mouvance écologiste – relançait le sujet le 22 septembre 2021, en plein retour de la campagne #metoo. Puis vint le réquisitoire d’Élise Lucet diffusé à une heure de grande écoute sur le service public. On ne reviendra pas ici en détail sur le tsunami médiatique auquel Hulot est confronté, mais il est nécessaire de se livrer à quelques observations à propos de cette affaire, qui permettent de pointer ces dérives qui à force de violences finissent par rendre irrespirable le fonctionnement de la société du spectacle.

Tout d’abord, quel sort est fait aux libertés publiques dont le contrôle du respect appartient la justice ? Ensuite, l’évolution des mentalités par la « libération de la parole » doit-elle passer par les lynchages médiatiques ? Enfin peut-on penser être en présence d’une instrumentalisation, à visées politiques, de cette affaire ?

Et la justice dans tout ça ?

Dans une société civilisée, pour savoir si Nicolas Hulot a commis des infractions visées dans le Code pénal, et pour le sanctionner si c’est le cas, il faut s’adresser à la justice. C’est à elle d’établir, après une procédure contradictoire, une vérité judiciaire permettant d’entrer en voie de condamnation. Malheureusement, une fois de plus, l’on entend tout et n’importe quoi et en particulier ceux qui, amateurs de procès expéditifs, vilipendent les règles de procédure au motif qu’elles seraient là pour protéger les délinquants. Mais enfin, c’est le contraire ! Les principes du procès pénal et les règles qui organisent son déroulement sont précisément là pour protéger les innocents. Comme le disait Rudolf von Jhering, grand philosophe du droit au XIXe siècle : « adversaire acharnée de l’arbitraire, la forme est la sœur jumelle de la liberté ». La prescription en fait partie, puisqu’à l’évidence, 20 ans 30 ans après les faits, la vérité judiciaire devient de plus en plus difficile à établir. Qu’il soit nécessaire en 2021, pour y répondre, de rappeler une évidence multiséculaire est particulièrement accablant.

Comme d’entendre ce nouveau mode d’ordre consistant à dire : « en matière d’agression sexuelle ou de harcèlement, il faut renverser la charge de la preuve. » Pure folie qui permettrait d’accuser n’importe qui en le sommant de prouver son innocence ! Et, tout à leur fanatisme, des militants incultes en ont fait une exigence et trouvent des échos dans le champ politique (et y compris, de façon désolante, dans le monde judiciaire) et chez certains avocats oubliant la nature de leur mission. Et il est inquiétant de voir la justice avoir du mal à résister à la pression populiste et devenir de plus en plus poreuse à ses emportements.

Alors, concernant Hulot, si l’on se penche sur ce que racontent les médias, si l’on écoute, lit et reçoit les témoignages des femmes qui se plaignent de ces comportements, il semble que même sans remettre en cause leur bonne foi, il n’y aurait pas matière jusqu’à présent à des infractions pénales. Soit que les faits reprochés ne relèvent pas d’une qualification prévue dans le Code au moment où ils ont été commis, soit qu’ils soient prescrits. Il semble bien que Nicolas Hulot soit (comme d’autres qui ont fait l’actualité avant lui) ce que les jeunes appellent des « gros lourds » ou des « coinceurs d’ascenseur ». Mais, en l’état, l’affaire ne semble pas avoir de dimension judiciaire.

Cela n’empêche pas de le traiter comme un criminel dans l’espace médiatique, qui lui n’obéit à aucune des règles concernant le débat contradictoire et la présomption d’innocence.

La violence du lynchage médiatique

Il est banal de souligner la violence des tsunamis médiatiques auxquels les citoyens peuvent se trouver confrontés. Il faut savoir que personne n’est assuré de ne pas se retrouver un beau matin dans l’œil du cyclone. Et si les personnalités publiques sont bien sûr, les plus exposées, les simples citoyens ne sont pas à l’abri. Le mode de fonctionnement du système médiatique surtout depuis l’irruption des réseaux dans la vie sociale repose essentiellement sur l’effet de résonance. Chaque média, chaque support, chaque intervenant va regarder ce que disent les autres et relancer la machine infernale, en fonction de ses propres intérêts. Ceux qui ont vécu ces épisodes ou les ont accompagnés – ce qui est le cas de l’auteur de ces lignes – savent que le retrait immédiat de l’arène publique est indispensable pour essayer, malheureusement très souvent sans succès, d’échapper à la machine qui broie. Personne ne peut dire qu’il est sorti intact d’un tel épisode. Il y a aussi la mort sociale qui très souvent s’y rattache. La victime devient infréquentable, les amis s’éloignent, les gens se détournent et les employeurs regardent ailleurs. Et même si l’on peut obtenir une réparation symbolique de la justice quelques années après, chacun sait que cela ne compte pour rien. On ne donnera pas les exemples, ils sont multiples et malheureusement certains ont connu des issues fatales.

Quoi qu’on pense de Nicolas Hulot, quelle que soit l’aversion que l’on peut avoir pour un imposteur médiatique et politique, et/ou pour le comportement vis-à-vis des femmes qu’on lui prête, on ne peut pas se réjouir qu’une société fonctionne en multipliant ainsi ce qu’il est justifié d’appeler un « lynchage ». Parce qu’il en a les caractéristiques, où hors de tout processus contradictoire, en l’absence de moyens de défense, sans que la justice soit armée pour défendre l’intégrité et la dignité de la personne mises en cause, un mécanisme de meute inflige une énorme violence morale, familiale et matérielle.

Restons quelques instants sur le réquisitoire d’Élise Lucet, spécialiste de la mise au pilori, et présenté à plusieurs millions de spectateurs sur le service public. Pour prétendre à l’objectivité d’un débat contradictoire, l’auteur a indiqué avoir proposé à Nicolas Hulot d’y intervenir. C’est une plaisanterie. La réalisatrice a sélectionné les témoins, choisi la mise en scène, décidé le montage, les commentaires etc. Et elle disposerait du même pouvoir sur les déclarations de Nicolas Hulot. Il n’existe pas actuellement dans la loi sur la presse des outils juridiques permettant de faire respecter une présomption d’innocence dans le procès médiatique.

Dire cela n’est pas remettre en cause la parole des plaignantes ou des témoins. On peut considérer que ce que l’on appelle la libération de la parole est une évolution positive en ce qu’elle permettrait la modification des rapports où l’infériorisation des femmes est trop souvent présente. Et protéger celles-ci des violeurs, des harceleurs et même des « gros lourds » est une cause juste. Mais pas au prix de cette violence sociale et de l’assouvissement de pulsions guère reluisantes. La meute a toujours une sale gueule.

Sans oublier l’instrumentalisation de ces épisodes pour la poursuite d’intérêts personnels qui n’ont rien à voir avec la cause que l’on prétend défendre.

Il y a toujours un commanditaire

L’expérience de ces épisodes de lynchage médiatique permet d’acquérir la conviction qu’il y a toujours un ou plusieurs commanditaires. Ceux qui, à l’origine, déclenchent, ceux qui attisent, et ceux qui en profitent. La poursuite d’objectifs directement politiques est la plus fréquente, mais il y a également des objectifs économiques et des règlements de compte plus personnels. Certains médias peu regardants sur des pratiques mercenaires s’en sont d’ailleurs fait une spécialité.

En ce qui concerne l’affaire Hulot, on ne peut qu’être interpellé par le moment choisi pour relancer une affaire déjà connue et qui avait déjà donné lieu à un scandale il y a quatre ans. Sans accuser personne, on notera simplement l’ancienne proximité de Nicolas Hulot avec le groupe dirigeant d’EELV. La composition de ce que ses membres appellent eux-mêmes « la firme » est passablement endogamique. Les responsabilités y évoluent en fonction de leurs arrivées successives au gouvernement, que ce soit sous François Hollande ou sous Emmanuel Macron. Tout ce petit monde, ne tarissant pas d’éloges sur Nicolas Hulot, avait soutenu son arrivée au ministère de l’Écologie en 2017. La lecture de leurs textes de l’époque est particulièrement réjouissante lorsqu’on voit leur vigueur d’aujourd’hui à jeter par-dessus bord leur ancien ami.

Le problème est que la primaire des Verts apparaissait moins comme le choix d’un candidat susceptible d’arriver à l’Élysée, que comme la désignation de celui ou celle qui deviendrait ministre d’un Macron réélu. Perspective qui provoquait évidemment quelques appétits. La très grande proximité avec Nicolas Hulot d’Yannick Jadot et de Mathieu Orphelin, son porte-parole, est notoire. Certains parlent même d’un « clan Hulot ». Le porte-parole a été prestement sacrifié, et le pauvre Jadot essaie de se sortir du marécage. Il ne faut pas oublier que les Verts ont déjà changé de candidat en cours de route pendant une campagne présidentielle.

Alors, quelqu’un aurait-il, par calcul politique, allumé la mèche qui a mis le feu à la plaine et placé Jadot en difficulté ?

Bien sûr, personne ne peut croire une chose pareille.

Régis de Castelnau

48 Commentaires

  1. Tout cela alors que Duflot, remarquablement absente des tribunes et des plateaux TV depuis quelques années, revient sur le devant de la scène pour délivrer d’étonnantes leçons « Ex cathedra » à ses bons « amis » d’EELV…
    Hasard, n’est ce pas ?..

    Souhaitons à EELV une campagne courte et désastreuse : Christiane T. (dont un mediocrate de France Inter louait sans rire « l’attachement au regalien »..) délivrera le coup de grâce (dans le dos, cela va de soi).

  2. M. Hulot, quoiqu’il ait fait s’il s’avérait que cela tombe sous le coup d’une loi a le droit à la présomption d’innocence et à toutes les protections qui y sont attachées. Alors la justice a le devoir d’intervenir pour faire cesser ce lynchage comme vous l’appelez.
    L’instrumentalisation de cette affaire est caractéristiquement une incitation à la haine avec éclaboussures largement offertes aux proches. Normalement ce genre de comportements tombe sous le coup de la loi qui fut signée récemment par ceux-la même qui sont les premiers à la promouvoir !
    Innocent ou coupable, M. Hulot n’aura pas plus ma sympathie, mais ça n’est pas le propos. Il s’agit qu’il soit seulement justement traité par les journalistes comme par les politiques !

  3. Je suis bien d’accord avec cet article même si je n’ai jamais aimé Nicolas Hulot (au contraire du Monsieur de TATI)

    #metoo et, plus généralement, le mouvement wook sont une abomination même si leurs indignations peuvent, pas toujours, être légitimement fondées.

  4. Votre argumentaire « la justice est là pour protéger les plus faibles » serait exacte si tous les justiciables disposaient des mêmes moyens.
    Il n’y a pas d’égalité devant une justice où seuls les plus fortunés peuvent se permettre frais d’avocat et recours à répétition. Les classes moyennes n’ont aucun moyen de se défendre.
    Exemple, ma fille attaque un déménageur indéliquat qui l’a laissée en plan et obtient la condamnation. Son dédommagement une journée de salaire perdue mais à notifier par huissier. Le coût de l’huissier étant supérieur à une de ses journées de salaire elle a laissé tomber. Alors si en théorie la justice blablabla en réalité mieux vaut en avoir les moyens.

  5. En revanche 100 % d’accord avec l’analyse politique qui suit et la grande hypocrisie de EELV dont les dirigeants se préoccupent plus d’obtenir des postes que de sauver la planète.

  6. Le témoignage de la personne qui se plaint de faits survenus il y a plus de 30 ans est particulièrement édifiant. Nous sommes au bord d’une rivière , elle est assise dans l’herbe, lumière et son irréprochables et elle raconte l’histoire les yeux perdus dans sa mémoire … le caractère bucolique de la scène n’aura échappé à personne puis, en fin de témoignage elle éclate en sanglots. Cela signifie pour une séquence de 10mn qui a dû prendre au minimum 4 heures et en présence de 4 ou 5 techniciens plus la journaliste et son assistante elle éclate en sanglots difficilement retenus à la fin de son témoignage. Je me fiche de savoir si c’est vrai ou pas mais je suis certain d’une chose nous sommes dans un travail télévisuel mis en scène et destiné à nous faire croire que c’est la réalité alors même que la scénarisation, la lumière et le son sont contraires en fait à ce qu’on aurait pu appeler dans les années 60 du cinéma vérité. Je crois que Madame Lucet se moque de nous.

  7. Reste qu’il est dommage qu’il n’y ait pas dans ce pays une imprescriptibilité des crimes, le viol étant un crime, d’ailleurs trop souvent peut-être requalifié en délit. ainsi, un homme ayant reconnu un viol prescrit ne pourra être condamné! Bizarre quand même!

    • Avec le temps, les traces matérielles s’effacent, les témoins décèdent, ou leur mémoire se brouille, les bases de l’accusation sont de plus en plus fragiles. Il devient inutile de poursuivre si cela doit n’a que trop peu de chances d’aboutir.
      Mais cela marche en sens inverse: ce qui pourrait permettre à la personne poursuivie de se disculper en deux coups de cuillère à pot peut avoir disparu aussi. On risque d’inquiéter durablement et inutilement quelqu’un qui n’est pour rien dans les faits. Et qui, par dessus le marché, peut être intégré paisiblement à la vie sociale et dont la mise en accusation serait quasiment équivalente à un décès par ses effets sociaux.

      Par contre, un délai de prescription trop bref peut avoir pour effet pervers de ne pas permettre l’examen des faits par la Justice et prive le suspect de la possibilité d’tre traité en toute équité. Et laisse le champ libre à la vengeance comme on le voit dans l’affaire Hulot. Aussi, certains mouvements féministes s’opposent-ils à l’allongement des délais de prescription…

  8. Merci pour ce billet salutaire. Les médias en général et une grande majorité de journalistes jouent un jeu dangereux. Attention au retour de flamme possible.

  9. C’est courageux REGIS d’être à contre-courant mais tu as raison ,moi non plus je n’aime pas HULOT mais E LUCET commence à nous courir avec ses sujets traités  » à Charge  » la puissance d’un grand média ne permet pas aux incriminés de se défendre .C’etait moins facile avec JL PETITHUGUENIN qu’elle n’a pas réussis- à faire plier .JM MOREAUX

  10. Plus grave que le magazine d’E. Lucet les zombies d’EELV qui viennent des années après nous dire « Tout le monde savait, ».
    Admettons que les victimes trop traumatisées n’aient pu elles-mêmes porter plainte les lâches du parti qui aujourd’hui ramènent leur fraise et ont étouffé les affaires à l’époque portent une lourde responsabilité.
    EELV depuis l’affaire beaupin offre l’image d’un parti où le libertinage consenti cotoyait dangereusement harcèlement, agressions sexuels et viols. Le tout dans le plus grand silence.
    Chacun porte sa part de responsabilité.
    Idem pour l’affaire PPDA couvert par bouygues et son entourage.
    Cela dit venir pleurer sur le sort d’un type qui s’est entichi en se faisant payer des aventures fabuleuses toute sa vie avec l’empreinte carbonne qui va avec en n’ayant jamais rien accompli de concret pour sauver l’environnement, au motif de la prescription et puis quoi encore une médaille ?

  11. « Dans une société civilisée, pour savoir si Nicolas Hulot a commis des infractions visées dans le Code pénal, et pour le sanctionner si c’est le cas, il faut s’adresser à la justice. »

    Non, il faut saisir le Tribunal compétent : quand donc cesserez-vous d’employer le terme Justice à tout-va ? Viendrait-il à l’esprit d’un(e) économiste de parler de prospérité ou de richesse quand il doit se référer à une entreprise (publique ou privée) ?

    « …« adversaire acharnée de l’arbitraire, la forme est la sœur jumelle de la liberté ». La prescription en fait partie, puisqu’à l’évidence, 20 ans 30 ans après les faits, la vérité judiciaire devient de plus en plus difficile à établir.  »

    Mais pas impossible non plus : pq généraliser des cas particuliers ? il est possible de diriger un procès équitable même 20 ans après les faits…

    « …avoir du mal à résister à la pression populiste » – le mot approprié, c’est démagogique, pas populiste.

    ceci étant, c’est vrai que si qqn est innocent, il souffrira bcp (trop) du lynchage médiatique : à l’heure du harcèlement à l’école qui pousse au suicide des enfants, le code pénal devrait intégrer cette problématique (praxis : punir les calomniateurs)

    ….mais aussi garantir des moyens de dénonciations.

    je constate qu’on va de + en + vers une société des droits (à l’américaine) et partant, on s’éloigne de la société des devoirs, de la morale (chrétienne)…

    Geof’Rey, neo-communiste gaulois belge

  12. Je n’ai pas de sympathie pour Nicolas Hulot.
    Mais, le lynchage médiatique est insupportable.
    Les moralistes (sans morale) qui ont pignon sur rue (1) sont détestables : je pense à Elise Lucet, à Médiapart, …
    Quant à bon nombre de gens d’EELV, ce n’est pas l’écologie qui les intéresse. Ce sont des héritiers des soixante-huitards. Ce sont maintenant les adeptes du totalitarisme « woke ».

    (1) Karl Marx écrivait, avec raison, que « l’idéologie dominante est celle de la classe dominante ». Oui, y compris quand elle est serinée par des gens de gauche, voire d’extrême-gauche.

    Notons que, pour le grand moraliste Edwy Plenel, critiquer George Soros qui est devenu milliardaire grâce à des spéculations, c’est être antisémite.
    Et oui, pour Plenel, Zemmour et Goldnadel (qui sont juifs) doivent être antisémites.

    • Notons aussi qu’Anne Hidalgo avait dit un jour que ceux qui la critiquent sont des « racistes anti-espagnols ».

      Donc, je dois être ce type de « raciste », puisque, moi, le fils de parents espagnols, j’ai plus d’une fois critiqué l’actuelle candidate du PS.

    • Un juif peut être anti-sémite ? Ça s’appelle de la détestation de soi-même. Tout indique que c’est le cas pour Zémmour.

  13. Ceci dit Hulot s’est tout de même un pd d’enculé
    Il l’avais vu venir , d’où sa démission

    Il l’avais vu venir de très loin , lors des violes d’où il à anticipé sa politique de quartier

    Par une démission répétitive

    Ceci dit il sauve s’est enfants comme réplique

    Comme merde

    • Depuis que je peut dire que j’ai été violé dans mon enfance, ça libère

      Il serait bien que la reconnaissance est sans fin
      Tout ses violeurs sont récidivistes
      Des magiciens de la prédation
      Je pensais que j’étais couvert en aveugle face à ce pédé
      Il avait toujours un chemin pour se branler dans mon absence

      Plus tard j’ai appris qu’il était mort en snifant du gaz butane
      Se personnage était un caméléon
      Perso il m’a fallut 45 ans pour reconsidéré mon histoire de vie

      Et puis j’ai le droit de dire et je ne suis pas seul

      J’ai rencontré des migrants du viol , il sont tous tous mort

      S’est bien construit dans le traumatisme

      J’ai rencontré une fille de 35 ans qui buvait du décapant suicidaire
      Elle à été abusé comme bébé des films porno
      s’était sans retour

      Macron parle de la pédophile marchande
      une zap
      Le discourt de macro le 9

      La politique est un masque
      Et voir les femme venir ça être encore pire

  14. Mon fils m’a appelez nord sud

    Pour me dire qu’il est covidé , en retrait de salade , sans goût, une grippe du palais d’avec tout le saint toin toin, de chez doliprane
    (Je ne lui ai pas fait de contre indication sur le dolliprame)
    Perso dolly j’y crois pas trop , mais si cela se trouve , l’idée de croire marche

    il devait justement obligatoirement se faire vacciné , 22 ans sa pépé de première dose
    Coup de poker pour 6 mois comme pass d’omo qui lave plus blanc qu’arriel
    Sa première grippe sans vaxinator

    une zap

    https://www.youtube.com/watch?v=GuYnDFNGHMg

    Il à eu un coup de bol le temps de voir venir
    —-

    Ma fille , très belle femme classe , s’est prise le vaccin travaillant en maison de retraite
    Vu qu’elle s’est fait tiré la tyroide d’avec son gloitre , cicatrice coupe geoger

    Le spike ne passe passe pas la glande thyroïde

    Il y à un médicament contre le nucléaire, l’iode ou alors le choux
    Probablement ivermectine

    j’ai encore deux enfants à pister …no vaccinos

    de savoir comment ils s’en sont sorti dans le passage macronien de verre de terre

  15. Me reste 2 fils restant cognitivement  » ok » de reste a voir

    l’un est proxilataire comme taupe et l’autre indélébile comme taupe

    Genre bolognaise sans vax

    Je vais les retrouver dans les limbes de la musique celtique pour les guider de revenir proche de moi et les foutres dehors

    (Affaire Hulot : considérations sur un lynchage) s’est de la merde

  16. le droit j’en ai rien à foutre
    Et le gros problème s’est cette merde de pseudo vaccin, d’avec toutes la compagnie de sponsors
    Qui veulent m’handicape ou me tuer pour mon bien être au travers de mes enfants
    Tout en leur accordant le droit à l’euthanasie des parents

    Exactement le même scénario de l’aval des parents concernant l’accord parental pour la vaccination
    Voir la suisse avec sa capsule azoté

    Tout est assez triste et terrifiant.

    Si cela se trouve nicolas l’alchimiste à raison

    Voir flaubert

    • Toute sa carrière il à exploité la découverte de l’étranger
      S’est un spécialiste du faux cul

      S’est un enfant violé , où alors il à deux deux cachets pour un timbre pour être oblitéré

      Sur nicolas s’est assez difficile de navigué

      Il s’arrange toujours dans l’ambiguïté , il travaille s’est source , pour que je ne puisse pas le suivre

      Il travalle la magie des tribu
      Derrière ushaha il utilise le cade marchand pour laver sont linge sale

  17. Trop parfait pour être vrai , ushu wawa , le champoings qui se la joue omo

    S’est tout même un gentil monsieur sur son fond

  18. Abuser est irréversible

    Aucune compréhension sur 1 demi siècle

    Perso tout mes pd sont mort sur 50 ans

    Donc je ne peut plus me défendre , vu qu’isl sont morts

    Pour les retrouver , j’ai songer à la peine de mort
    Pour les retrouver sans aucune prescription , d’où Robert Badinter qui se l’inventais ma culotte et mon corps

    Peut être que je suis cinglé ,; où peut être fatigué

    Je suis fatigué de me défendre , face à des moulins

    Je suis tout même fatigué de traduire du texte

    Une zap

    lors de bonne soeurs

    Crise du pétrole
    https://www.youtube.com/watch?v=nwVfci-YtMM
    J’avais 12 ans
    L’époque de radio carolne

  19. Les trentes glorieuses s’était l’occipitale, de la merde
    La redoute

    Le texte fout le camp très vite , comme points de repères

    Je connait cette chanson par coeur , genre la mère et l’enfant

    https://www.youtube.com/watch?v=V9Po8lSIKww

    Eurovision 1977 Marie Myriam L’oiseau et l’enfant est plus tardif mais même scénario

    J’aimais bien cette époque sans macaque d’islam et les confréries républicaine qui m’invite da,ns leur culotte , de pd

  20. Perso , mon histoire ne me ressemble plus

    Finitos capoutos

    une zap
    S’est la vie des gens
    https://www.youtube.com/watch?v=yvEIMrqZCjc

    le reste s’est de MERDE
    Masque piqouze, s’est de la merde

    Je préfère un bon bob et bobette avec zorba le grec du sabre grec
    de

    La merde s’est de la merde je m’attache au folklore
    Mais le folklore s’est la tradition du jeu piste et festif

    D’où , le folklore est toujours comme étrangé

  21. Il est curieux que les femmes relève l’enfance en devenir
    IUl y à aussi les garçons
    Perso je ne suis pas trans

    Le manque de reconnaissance est terrifiant
    Je suis violé et exclus dans la famille , vu que j’ai parlé

    Toujours toi !!!

    Médiatiquement si 7 sur 10 sont abusé

    En fin de compte je n’étais pas seul

    Et ça important !!!
    Au fondement de la création s’était un viol et non l’affaire de eve de l’adam du saint toin toin

    Le monde change , comparativement au réchauffement climatique en détournement de fond

    Incroyable ce gars
    https://www.youtube.com/watch?v=6Whgn_iE5uc

    Pas l’autre
    ceci dit
    Mathématiquement j’ai j’ai 7 chance sur 10 de tomber sur un pd d’enculé
    Il en va des intervenants du forum

    • J’étais programmer pour être abusé
      Si les jeunes de 12 ans serait majeur et accompagné comme pupille de l’état
      Ils parleraient plus tôt

      Dans mon 55 ans après , ils sont tous mort

      Franchement , con

      • Affaire Hulot : considérations sur un lynchage
        Hullot et ppda sont des prédateurs pédophiles

        Metoo s’est une limite d’age

        18 ans

        Suivez la vaccination

        • Suivez la vaccination
          5 ans
          se sont des prédateurs qui mise sur la prescription
          La mort avant l’acte déclaré

  22. Voilà que je reviens sur ce site, après longtemps, parce que les textes de Mtre de Castelnau sont intéressants, mais avec de trop nombreux commentaires « limite psychiatriques » – ou même pas limite, d’ailleurs. Et ça continue…Je ne comprends pas cette « inéquation » qui donne mauvais goût, dommageable à l’ensemble du site au lieu de l’enrichir.

  23. POURQUOI JE NE VOTE NI À GAUCHE NI À L’EXTRÊME GAUCHE ?

    SUPER MACHO à NOUS TOUTES

    « LES FEMMES N’Y SONT POUR RIEN DANS LES VIOLS, LA PROSTITUTION, LES VIOLENCES CONJUGALES », ETC. (NOUS TOUTES)

    La minijupe, le string, etc. n’est-ce pas mettre vos fesses voire votre cul dans le cerveau des hommes dont certains ne sont-ils pas alors aussi bien des malades sexuels que des malades mentaux ? Les féministes se plaignent que le viol est devenu de masse mais pour elles la cause de ceux-ci (voir leurs sites) n’a rien à voir ni avec la sexualité des femmes ni avec la sexualité des hommes. À les lire rien ne pousse jamais les femmes à satisfaire leur libido et rien ne pousse jamais les hommes à satisfaire leur libido non plus. C’est pourquoi ces féministes prétendent par exemple : “La silhouette et la toilette des femmes ne peuvent pas être la cause des viols !” À ce sujet elles brandissent des statistiques en disant : “Ce ne sont pas les femmes sexy qui sont les plus violées !” ou des photos en disant : ”Elles n’étaient pas en minijupe mais en pantalon !”, etc. Ce genre d’arguments ne tient pas quand on a alors aussi bien un peu de connaissances que de jugeote dans ce domaine. La minijupe n’y est pour rien dans les viols explique Nous Toutes sur son site car disent-elles à ce propos : “Elle est légale !” Mais bien des choses légales ne peuvent-elles pas entraîner des conséquences, elles, illégales ? C’est le cas d’une caricature de Mahomet publiée autrefois dans Charlie Hebdo. Elle représentait celui-ci en position de levrette comme pour faire l’amour et en plus avec une étoile jaune (juive) déposée sur son anus. Charlie Hebdo n’aurait-il pas mieux fait à la place de Mahomet d’y mettre une dirigeante de gauche ou d’extrême gauche et à la place de l’étoile jaune (juive) une étoile rose (socialiste) ou rouge (communiste) ? Le féminisme actuel est la continuation du socialo-communisme d’autrefois grâce à de nouveaux mensonges tels entre autres notamment ceux de Nous Toutes. Vous ne ferez jamais un monde sans viol ni une révolution politique avec des mensonges aussi inadmissibles pour les gens sensés tels que les vôtres.

    super_macho@yahoo.com

  24. PROPOSITION DE LOI VISANT À PÉNALISER LES ENTRAVES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX, PRÉSENTÉE PAR M. STÉPHANE RAVIER, SÉNATEUR : DEMANDE D’AVIS À http://WWW.VUDUDROIT.COM

    Bonjour Maître,

    Je vous remercie aussi bien pour le contenu des articles que vous déposez sur http://www.vududroit.com que pour le respect de la liberté d’expression pour vous contredire éventuellement sur celui-ci. Comme vous le savez celle-ci n’existe pas actuellement sur tous les sites d’internet en raison des chartes ou règlements de leurs hébergeurs qui n’ont que pour but que de restreindre celle-ci telle que prévue par la loi. Une proposition de loi du sénateur Stéphane Ravier prévoit si celle-ci était alors votée un jour ou l’autre des sanctions à l’encontre des réseaux sociaux qui alors ne respecteraient pas celle-ci. Mais ce sénateur est un adhérent ou un sympathisant (me semble-t-il) du Rassemblement National et comme vous le savez aussi ce parti politique est accusé par Mediapart, l’Humanité, Lutte ouvrière, les associations anti-racistes, le PCF, les associations de féministes, etc. de mensonges, d’hypocrise, etc. de toutes sortes à leur encontre sur Internet. Je vous demande pour ma gouverne car vous êtes bien sûr plus compétent que moi à ce sujet dans ce domaine : “Cette proposition de loi que cache-telle peut-être que moi je ne vois pas et les sites, blogs et forums de Mediapart, l’Humanité, Lutte ouvrière, les associations anti-racistes, le PCF, les associations de féministes, etc. sont-ils à votre avis ce que l’auteur dans sa proposition de loi appelle, lui, des « réseaux sociaux » ? En P.-S. vous trouverez le texte intégral de la proposition de loi du sénateur Stéphane Ravier et le lien vers celle-ci sur le site du Sénat.

    Croyez, Maître, à mes sentiments les meilleurs.

    super_macho@yahoo.com

    PROPOSITION DE LOI VISANT À PÉNALISER LES ENTRAVES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX, présentée par M. Stéphane RAVIER, SÉNATEUR 29 janvier 2021

    Article 1er

    Après l’article 6-1 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, il est inséré un article 6-2 ainsi rédigé :

    « Art. 6-2. – Le fait de retirer, de restreindre ou de suspendre la diffusion d’un contenu ou d’une activité dont l’illicéité n’est pas manifeste sur une plateforme en ligne au sens du I de l’article L. 111-7 du code de la consommation qui propose un service de communication au public reposant sur la mise en relation de plusieurs parties en vue du partage de contenus publics est puni d’un an d’emprisonnement et de 250 000 euros d’amende. Le fait de supprimer, de suspendre ou de restreindre l’accès à cette plateforme en raison de la diffusion d’un contenu ou d’une activité dont l’illicéité n’est pas manifeste est puni des mêmes peines. »

    Article 2

    Après l’article 6-1 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, il est inséré un article 6-3 ainsi rédigé :

    « Art. 6-3. – L’autorité judiciaire peut prescrire en référé à tout opérateur de plateforme en ligne au sens du I de l’article L. 111-7 du code de la consommation qui propose un service de communication au public reposant sur la mise en relation de plusieurs parties en vue du partage de contenus publics de mettre fin sans délai à un fait qu’elle estime relever de l’interdiction mentionnée à l’article 6-2 de la présente loi ou aux conséquences de ce fait.

    « Elle se prononce dans un délai de quarante-huit heures.

    « La procédure est entièrement dématérialisée et, sauf opposition de l’une des parties, l’audience a lieu par l’intermédiaire d’un moyen de télécommunication permettant de certifier l’identité des personnes et de garantir la qualité de la transmission. »

    Lien vers le texte ci-dessus sur le site du Sénat :

    https://www.senat.fr/leg/ppl20-324.html

  25. PROPOSITION DE LOI VISANT À PÉNALISER LES ENTRAVES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX, PRÉSENTÉE PAR M. STÉPHANE RAVIER, SÉNATEUR : DEMANDE D’AVIS À http://WWW.VUDUDROIT.COM

    Bonjour Maître,

    Je vous remercie aussi bien pour le contenu des articles que vous déposez sur http://www.vududroit.com que pour le respect de la liberté d’expression pour vous contredire éventuellement sur celui-ci. Comme vous le savez celle-ci n’existe pas actuellement sur tous les sites d’internet en raison des chartes ou règlements de leurs hébergeurs qui n’ont que pour but que de restreindre celle-ci telle que prévue par la loi. Une proposition de loi de Stéphane Ravier prévoit si celle-ci était alors votée un jour ou l’autre à ce sujet des sanctions à l’encontre des réseaux sociaux qui alors ne respecteraient pas celle-ci. Mais ce sénateur est un adhérent ou un sympathisant (me semble-t-il) du Rassemblement National et comme vous le savez aussi ce parti politique est accusé par Mediapart, l’Humanité, Lutte ouvrière, les associations anti-racistes, le PCF, les associations de féministes, etc. de mensonges, d’hypocrise, etc. de toutes sortes à leur encontre sur Internet. Je vous demande pour ma gouverne car vous êtes plus compétent que moi à ce sujet dans ce domaine : “Cette proposition de loi que cache-telle peut-être que moi je ne vois pas et les sites, blogs et forums de Mediapart, l’Humanité, Lutte ouvrière, les associations anti-racistes, le PCF, les associations de féministes, etc. sont-ils à votre avis ce que l’auteur dans sa proposition de loi appelle des « réseaux sociaux » ? En P.-S. à çe message vous trouverez le texte de la proposition de loi du sénateur Stéphane Ravier et le lien vers celle-ci sur le site du Sénat.

    Croyez, Maitre, à mes sentiments les meilleurs.

    super_macho@yahoo.com

    PROPOSITION DE LOI VISANT À PÉNALISER LES ENTRAVES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX, PRÉSENTÉE PAR M. STÉPHANE RAVIER, SÉNATEUR 29 JANVIER 2021

    Article 1er

    Après l’article 6-1 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, il est inséré un article 6-2 ainsi rédigé :

    « Art. 6-2. – Le fait de retirer, de restreindre ou de suspendre la diffusion d’un contenu ou d’une activité dont l’illicéité n’est pas manifeste sur une plateforme en ligne au sens du I de l’article L. 111-7 du code de la consommation qui propose un service de communication au public reposant sur la mise en relation de plusieurs parties en vue du partage de contenus publics est puni d’un an d’emprisonnement et de 250 000 euros d’amende. Le fait de supprimer, de suspendre ou de restreindre l’accès à cette plateforme en raison de la diffusion d’un contenu ou d’une activité dont l’illicéité n’est pas manifeste est puni des mêmes peines. »

    Article 2

    Après l’article 6-1 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, il est inséré un article 6-3 ainsi rédigé :

    « Art. 6-3. – L’autorité judiciaire peut prescrire en référé à tout opérateur de plateforme en ligne au sens du I de l’article L. 111-7 du code de la consommation qui propose un service de communication au public reposant sur la mise en relation de plusieurs parties en vue du partage de contenus publics de mettre fin sans délai à un fait qu’elle estime relever de l’interdiction mentionnée à l’article 6-2 de la présente loi ou aux conséquences de ce fait.

    « Elle se prononce dans un délai de quarante-huit heures.

    « La procédure est entièrement dématérialisée et, sauf opposition de l’une des parties, l’audience a lieu par l’intermédiaire d’un moyen de télécommunication permettant de certifier l’identité des personnes et de garantir la qualité de la transmission. »

    Lien vers le texte ci-dessus sur le site du Sénat :

    https://www.senat.fr/leg/ppl20-324.html

  26. PROPOSITION DE LOI VISANT À PÉNALISER LES ENTRAVES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX, PRÉSENTÉE PAR M. STÉPHANE RAVIER, SÉNATEUR : DEMANDE D’AVIS À http://WWW.VUDUDROIT.COM

    Bonjour Maître,

    Je vous remercie aussi bien pour le contenu des articles que vous déposez sur http://www.vududroit.com que pour le respect de la liberté d’expression pour vous contredire éventuellement sur celui-ci. Comme vous le savez celle-ci n’existe pas actuellement sur tous les sites d’internet en raison des chartes ou règlements de leurs hébergeurs qui n’ont que pour but que de restreindre celle-ci telle que prévue par la loi. Une proposition de loi de Stéphane Ravier prévoit si celle-ci était alors votée un jour ou l’autre à ce sujet des sanctions à l’encontre des réseaux sociaux qui alors ne respecteraient pas celle-ci. Mais ce sénateur est un adhérent ou un sympathisant (me semble-t-il) du Rassemblement National et comme vous le savez aussi ce parti politique est accusé par Mediapart, l’Humanité, Lutte ouvrière, les associations anti-racistes, le PCF, les associations de féministes, etc. de mensonges, d’hypocrise, etc. de toutes sortes à leur encontre sur Internet. Je vous demande pour ma gouverne car vous êtes plus compétent que moi à ce sujet dans ce domaine : “Cette proposition de loi que cache-telle peut-être que moi je ne vois pas et les sites, blogs et forums de Mediapart, l’Humanité, Lutte ouvrière, les associations anti-racistes, le PCF, les associations de féministes, etc. sont-ils à votre avis ce que l’auteur dans sa proposition de loi appelle des « réseaux sociaux » ? En P.-S. à çe message vous trouvez le texte de la proposition de loi du sénateur Stéphane Ravier et le lien vers celle-ci sur le site du Sénat.

    Croyez, Maitre, à mes sentiments les meilleurs.

    super_macho@yahoo.com

    PROPOSITION DE LOI VISANT À PÉNALISER LES ENTRAVES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX, PRÉSENTÉE PAR M. STÉPHANE RAVIER, SÉNATEUR 29 JANVIER 2021

    Article 1er

    Après l’article 6-1 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, il est inséré un article 6-2 ainsi rédigé :

    « Art. 6-2. – Le fait de retirer, de restreindre ou de suspendre la diffusion d’un contenu ou d’une activité dont l’illicéité n’est pas manifeste sur une plateforme en ligne au sens du I de l’article L. 111-7 du code de la consommation qui propose un service de communication au public reposant sur la mise en relation de plusieurs parties en vue du partage de contenus publics est puni d’un an d’emprisonnement et de 250 000 euros d’amende. Le fait de supprimer, de suspendre ou de restreindre l’accès à cette plateforme en raison de la diffusion d’un contenu ou d’une activité dont l’illicéité n’est pas manifeste est puni des mêmes peines. »

    Article 2

    Après l’article 6-1 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, il est inséré un article 6-3 ainsi rédigé :

    « Art. 6-3. – L’autorité judiciaire peut prescrire en référé à tout opérateur de plateforme en ligne au sens du I de l’article L. 111-7 du code de la consommation qui propose un service de communication au public reposant sur la mise en relation de plusieurs parties en vue du partage de contenus publics de mettre fin sans délai à un fait qu’elle estime relever de l’interdiction mentionnée à l’article 6-2 de la présente loi ou aux conséquences de ce fait.

    « Elle se prononce dans un délai de quarante-huit heures.

    « La procédure est entièrement dématérialisée et, sauf opposition de l’une des parties, l’audience a lieu par l’intermédiaire d’un moyen de télécommunication permettant de certifier l’identité des personnes et de garantir la qualité de la transmission. »

    Lien vers le texte ci-dessus sur le site du Sénat :

    https://www.senat.fr/leg/ppl20-324.html

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