Centenaire du congrès de Tours : le communisme passion du XXe siècle

Le centième anniversaire du congrès de Tours qui vit la création, non du Parti Communiste Français, mais celle de la Section Française de l’Internationale Communiste (SFIC), est l’occasion d’un petit festival de jeu de rôle, certes discret faute d’enjeu politique important. Le groupuscule qui se fait encore appeler PCF poursuit, comme d’habitude, sa captation d’héritage sous bénéfice d’inventaire. C’est-à-dire qu’il opère un tri historique soigneux pour récupérer la part positive (et si possible le patrimoine restant) de l’histoire du Parti en mettant de côté la part sombre. C’est sans intérêt. On retrouve aussi toutes les figures (survivantes) qui furent les pires des staliniens, et qui, comme Stéphane Courtois ou André Senik, leur foi abjurée ont passé le reste de leur existence à en rajouter pour tenter d’expier leurs fautes. C’est également sans grand intérêt. Il y a aussi le vieil anticommunisme de ceux qui sont toujours terrorisés par un possible retour des partageux, et dont on a vu à l’occasion du mouvement des gilets jaunes que leur haine du peuple était absolument intacte.

L’engagement communiste fut la grande passion du XXe siècle pour le meilleur et hélas pour le pire. On oublie toujours que les formes de cette tragédie furent aussi le fruit de la formidable brutalité de l’accouchement de la révolution industrielle au XIXe siècle. Brutalisation sans précédent dont l’acmé fut la première guerre mondiale dont la seconde n’était que la suite mécanique. Il ne faut pas oublier non plus que le mouvement ouvrier qui avait fait sien l’engagement communiste dû arracher un à un, et parfois, sinon souvent, au prix du sang, tous les progrès dont nous profitons aujourd’hui. Rien ne fut cédé, il fallut tout conquérir, en sachant que le destin de toutes les conquêtes était d’être encore et toujours remises en cause.

Julian Mischi dans un livre indispensable vient de raconter ce que fut : « LE PARTI DES COMMUNISTES. Histoire du Parti communiste français de 1920 à nos jours ».

Indispensable car il éclaire ce que fut l’engagement communiste dans notre pays. Et les raisons pour lesquelles celui-ci a connu une organisation spécifiquement française. Qui a vu le PCF être français parfois jusqu’à la caricature tout en étant comme d’habitude la fille aînée de l’église, mais d’une église Moscoutaire cette fois.

Mischi démontre tout d’abord que l’adhésion à l’internationale communiste mise en place par les bolchevicks après leur victoire en Russie, ne fut pas d’abord le fruit d’une volonté d’alignement sur des communistes russes, mais beaucoup plus d’affirmer une rupture avec la SFIO de l’Union sacrée considérée comme complice du grand massacre. Tout ceux qui furent à l’origine de cette adhésion avaient quasiment disparu à la fin des années 20. Purgés ou partis, ils laissèrent la place au début des années 30 à une génération de jeunes hommes d’origine ouvrière qui restèrent aux manettes jusqu’au début des années 70. Et ce sont eux qui furent chargés d’inscrire cette organisation dans la réalité française. En en faisant l’outil de l’intégration de la classe ouvrière à la Nation française. C’est ainsi que l’on voyait cohabiter une fidélité sans faille à Moscou avec un patriotisme jaloux, et l’ambition, dès 1934 d’être le Parti de « l’union du peuple de France ». Fort normalement, cet attachement Moscoutaire fut utilisé par ses adversaires pour le disqualifier. Pour autant, il fut le premier parti de France que ce soit en termes d’électeurs ou de militants. Et eut l’immense mérite d’imposer la présence des couches populaires dans la vie politique de notre pays. Ce sont les communistes qui firent rentrer au Parlement les femmes pour la première fois, ce sont les communistes qui envoyèrent massivement des ouvriers dans la représentation nationale. Ce sont des communistes qui formèrent une élite ouvrière présente dans la vie de la nation et dont on peut mesurer aujourd’hui les tristes conséquences de la disparition.

Il est assez intéressant de constater à la lecture de l’ouvrage de Julian Mischi, que dès lors que la génération de la fin des années 20 dû passer la main, la suivante tenta rapidement d’imposer, oseront nous dire, et comme d’habitude, une forme de gallicanisme politique. Où avec « la voie française » vers l’émancipation, on allait voir ce qu’on allait voir. Avec la Révolution de 1789, la France avait envoyé un message au monde en définissant qui était le nouveau souverain. Avec une transformation démocratique majoritaire impulsée par les communistes, on allait expliquer aux uns et aux autres comment il fallait faire pour passer au socialisme.

On n’a rien vu du tout. L’Histoire qui sait être une mégère, a rendu son verdict et celui-ci dispose aujourd’hui de l’autorité de la chose jugée. Mais concernant la France, où certes le PCF fut peu au pouvoir, sa présence assura à la classe ouvrière et aux couches populaires une place et une expression politiques qui doivent être considérées comme quelque chose de précieux. Et en tout cas, au regard des multiples trahisons de la social-démocratie depuis la fin de l’année 1920 jusqu’à nos jours, il n’y a pas à avoir honte du choix qui fut fait à Tours il y a maintenant 100 ans.

Pas plus que de celui de ceux qui ont fait leur cet engagement. Qui restent avec la nostalgie du partage, avec des gens souvent formidables, d’un idéal dans l’action (le mot « espérance » est déjà pris…), accompagné du regret que le combat pour l’émancipation humaine n’ait pas marché.

Retour sur le livre de Julian Mischi.

Régis de Castelnau

41 Commentaires

  1. L’historienne Annie Lacroix-Riz a montré avec de nombreux documents officiels à l’appui, l’acharnement avec lequel notre Bourgeoisie et son Pouvoir politique s’est attaqué au seul parti qui contestait, son système de domination, dissimulant plus ou moins bien la confiscation de la plus grande part de la « plus-value » au détriment de sa création par la Classe ouvrière et du travail des autres salariés permettant de « réaliser » sur le marché, le produit ainsi créé en valeur monétaire.
    Ainsi, entre deux crises, il y eut des tentatives afin de dévoyer, voire de corrompre certains ouvriers et dirigeants d’organisations afin d’affaiblir cette « contestation », voire l’éteindre, au point où ont été nombreux les salariés à croire que le Capitalisme était compatible avec leur bien-être et celui de leurs enfants…
    Nous sommes allons aujourd’hui au devant d’un choix de société où va se poser la fameuse question: « Socialisme ou barbarie », la barbarie n’a jamais disparu et va en s’accroissant, le Socialisme n’a existé qu’avec les premières applications avec des ministres communistes du programme du CNR , systématiquement attaquées voire détruites avec le concours actif des usurpateurs PS-Mitterrandien de ce joli mot « socialiste » , avec un parti communiste impuissant trop conciliant durant toute la période « Union de la gauche », encore plus durant « la gauche plurielle » un parti à qui on reproche en priorité tous ces reculs…
    Merci pour cet article que l’on aimerait retrouver dans la presse du PCF, mais voilà, elle semble être entre les mains de certains qui ne rêvent que de faire un « congrès de Tours » à l’envers.

  2. MÊMES LES PROSTITUÉES NE VEULENT PAS DU BONHEUR COMMUNISTE !

    Je remercie Vu du droit pour son intelligence, ses qualités morales, son bon sens, etc. Je ne peux malheureusement pas lire ni commenter celui-ci bien souvent car je travaille toujours beaucoup à la publication de mon livre. Dans celui-ci il y a une lettre que j’ai adressée récemment à Lutte ouvrière et une copie de celle-ci au PCF. Celles-ci sont sans réponse comme tout ce que je leur ai écrit autrefois dans le but de leur donner mon avis sur des sujets les concernant et notamment celui de mes désaccords et de ma désinscription des chez ceux-ci. Je publie cette lettre à Lutte Ouvrière et au PCF pour les lecteurs de Vu du droit à la suite de votre article actuel sur le communisme pensant que ce que j’ai écrit dans celle-ci est en rapport en quelque chose avec celui-ci.

    PLUME DE SCHIZO à LUTTE OUVRIÈRE

    Mesdames, Messieurs,

    J’ai été militant PCF de 1965 à 2004 et militant puis sympathisant LO de 2005 à 2014.

    Je vote pour le parti de Marine Le Pen depuis 2014 mon idée étant que si je vote pour tout autre parti politique c’est alors en réalité encourager ceux-ci à continuer à faire leur politique du passé en pire. J’ai quitté le PCF car j’étais alors en désaccord avec sa politique d’unité avec le PS : celle-ci ne servait en réalité qu’à faire élire à chaque élection quelques élus PCF de plus mais n’aidait en rien à faire la révolution. Je ne vote plus pour LO car je ne suis pas d’accord avec votre féminisme à mon avis bête, méchant, inculte. Actuellement mon féminisme est celui d’Élisabeth Badinter, de Brigitte Lahaie, d’Élisabeth Lévy, de Florence Rault, etc. Je ne vous porterai que peu la contradiction ici sur ce sujet du féminisme (viol, prostitution, etc.). Pour celui-ci j’ai d’autres explications et d’autres remèdes que les vôtres dans ce domaine. On ne peut pas discuter de ces sujets avec des féministes comme vous : face à mes arguments soit vous restez cois, soit vous m’insultez, soit vous me censurez.

    Ci-dessous quelques conclusions auxquelles j’ai abouti :

    Je crois toujours à l’explication marxiste de la plus-value, de l’exploitation de l’homme par l’homme, de la paupérisation aussi bien relative qu’absolue, lesquelles perdurent à mon avis toujours actuellement. En revanche je ne crois pas aux deux phrases suivantes de Marx : « Prolétaires de tous les pays unissez-vous ! » et « Ce qui fait l’essence de l’homme c’est l’ensemble de ses rapports sociaux ! » Ces deux erreurs à mon avis de celui-ci proviennent du fait qu’il n’a jamais rien compris à la psychologie individuelle. Quant à sa phrase prétendue géniale au sujet de la psychologie collective : « Les idées lancées dans les masses peuvent devenir des forces matérielles ! » ce ne sont pas les travailleurs qui par exemple en mai 1968 ont été alors effectivement à l’origine des événements d’alors : ce sont des étudiants qui, eux, se sont révoltés car il leur était interdit par le règlement de leur Université de pouvoir se rendre alors dans les dortoirs du sexe opposé. La psychologie joue un grand rôle dans l’histoire contrairement à ce que vous racontez justement à ce sujet : Lénine a préféré choisir Staline comme secrétaire général du PCUS plutôt que Trotski car le premier lui léchait les bottes alors que le second, lui, n’agissait pas ainsi. Ce qui fait à votre avis la morale et que vous avez repris pour expliquer celle-ci à la suite de votre lecture de Marx, à savoir : « l’ensemble des rapports sociaux » je n’y crois pas ou plus depuis belle lurette. Ceux-ci n’expliquent en réalité que la morale que vous dites de classe et en rien la morale dans tous les autres domaines. La morale sexuelle n’a rien à voir ou n’a que très peu à voir avec les classes sociales. Freud a dit à ce sujet : « Le surmoi est l’héritier du complexe d’Œdipe ! » Le plaisir solitaire, les violeurs, les clients de prostituées, l’adultère, etc. cela existe actuellement dans toutes les classes sociales. Je ne crois pas comme vous le racontez dans un but à mon avis de propagande ou de coup médiatique que ces choses n’existeront plus sous le communisme.

    Quand Marx disait que dans la communauté primitive il n’y avait jamais eu de guerre car tout le monde était alors dans la même égalité du fait de la même pauvreté alors pour tout le monde on sait maintenant à la suite de la découverte de crânes trépanés dans des charniers datés par les scientifiques justement de cette époque que cette hypothèse de celui-ci n’était qu’un produit de son imagination mais pas le reflet de la vérité d’alors. Comme le dirait l’une de mes ex-psys (2013-2016) à ce sujet et même aussi au sujet de bien d’autres choses encore : « L’homme est un dégénéré du singe ! c’est la plus grosse erreur de la nature ! »

    Vous dites qu’il faut voter pour vous mais en même temps vous dites que vous n’êtes pas un parti de gouvernement et que votre but ce n’est que de contribuer à la future révolution communiste qu’en l’état actuel des choses vous ne pouvez pas faire seul vous-même. Pour cela vous demandez d’adhérer à votre parti et d’accepter ses statuts avec votre morale : ne pas se marier, ne pas avoir d’enfant, ne pas faire carrière, ne pas devenir cadre, etc. Pour vous ce qui fait votre bonheur c’est avant tout de jouir de votre vie militante et politique alors que pour les électeurs ce qui fait leur bonheur c’est avant tout de jouir de leur vie sexuelle, amoureuse, familiale. Mais que proposez-vous pour justement aider ceux-ci ? ceci : prendre aux capitalistes l’argent qu’ils volent aux travailleurs pour le redonner ensuite à ceux-ci ! Or faire miroiter aux pauvres que s’ils votent pour vous ils auront alors ainsi plus d’argent ne vous a jamais réussi dans le passé ni même ne vous réussit toujours pas même toujours actuellement. L’adage : « L’argent ne fait pas le bonheur mais il y contribue ! » est vrai aussi pour les pauvres. Vous leur expliquez dans votre journal que le plus important pour eux et cela dans leur intérêt personnel c’est aussi bien de voter pour vous que d’adhérer chez vous.

    Or votre bonheur même les prostituées n’en veulent pas.

    La grande majorité de celles-ci déclare sur leurs sites que ce qu’elles veulent c’est continuer à exercer effectivement leur charmante profession et si possible pour cela avec de meilleures conditions de travail. Votre porte-parole a refusé de recevoir leurs représentantes syndicales avant les élections présidentielles de 2017 car elle avait soi-disant alors d’autres rendez-vous plus importants que celui-là avec bien d’autres travailleurs. En soutenant la loi pénalisant tout achat d’un acte sexuel entre adultes consentants vous avez décidé de ce que serait alors la nouvelle vie dont justement la grande majorité de ces femmes ne veut pas et pire vous refusez même actuellement de leur rendre des comptes au sujet de leur santé. Je ne soutiens plus la direction du syndicat officiel de celles-ci car j’y ai relevé certains mensonges au sujet de leurs clients qu’elles ont repris aux féministes dans le but à mon avis de faire des coups médiatiques. L’expérience que j’ai eue de ces femmes autrefois à la fin de mon adolescence c’est que celles-ci sont bel et bien parfois des escrocs avec leurs clients. Pour moi tout travailleur et toute travailleuse est toujours au moins actuellement une prostituée ou un prostitué car toutes les gens qui ne sont pas nés super riches ou super capitalistes sont toujours en général dès le début de l’âge adulte, eux, obligés de vendre leur force travail ne serait-ce que pour manger. Vous êtes outrés ou offusqués que certaines gens alors se servent à ce sujet justement de leur sexualité ? Ça ne vous regarde pas car c’est du domaine de leur vie privée d’adultes à celles-ci et à ceux-ci. En tous les cas la grande majorité de celles-ci et de ceux-ci ne veulent ni du bonheur actuel à 310 € par mois de la loi de 2016 que vous soutenez même toujours encore actuellement ni même non plus de votre bonheur futur communiste à ce sujet. Vous citez (ou le PCF) dans vos publications souvent les interviews d’une minorité de prostituées qui n’exercent plus leur charmante profession et qui se prétendent repenties dont notamment l’une d’elles entre autres qui a fait bien des marches pour dénoncer aussi bien leur prétendu esclavage que leurs soi-disant clients dégueulasses. Mais comme je l’ai déjà dit ci-dessus certaines de celles-ci ne sont en réalité que des escrocs vis-à-vis de leurs clients (et surtout de leurs jeunes clients) et il est possible que ces prostituées soient en réalité achetées pour soutenir des coups médiatiques (le féminisme est un bon filon aussi bien pour faire du fric que pour servir de sous-marin à bien des partis politiques). La preuve ce que m’a confié l’une de ses consœurs (toujours elle en exercice) à propos justement de son ancienne collègue citée par moi ci-dessus : « Quand elle gagnait 8 000 € par mois elle portait tous ses clients aux nues mais quand elle a commencé à ne plus gagner que 2 000 € par mois ceux-ci sont devenus alors tous les pires violeurs et les pires dégueulasses ! » Mon avis sur l’explosion actuelle de la prostitution des jeunes adolescentes sur Internet ? Celles-ci d’une part n’ont pas besoin grâce à celui-ci (contrairement à ce que vous fantasmez toujours à ce sujet) d’avoir un exploiteur pour faire ce qu’elles ont à faire et d’autre part au tarif où sont leurs passes (500 à 3 000 € à Monaco et 2 000 € pour chacune des deux passes avec un footballeur professionnel qui a fait il y a quelque temps les choux gras des médias) d’autre part dans leur esprit mieux vaut gagner tout de suite cet argent facile plutôt que faire de longues études se terminant souvent de nos jours par le chômage. Avoir des rapports sexuels multiples avec des hommes successifs différents n’a rien pour celles-ci de désagréable ni de dégueulasse bien au contraire. Ceux-ci ne sont pas vécus alors par celles-ci comme un esclavage. « Ce n’est pas pire que de vider des poulets à la chaîne 8 heures par jour ! » déclarent-elles à ce sujet. Et quant au nombre de leurs passes même la fameuse marcheuse déjà citée par moi ci-dessus a déclaré n’en avoir jamais eues plus de quatre au grand maximum par jour. D’autres racontent même (Manon une ancienne infirmière qui a expliqué sur Internet dans un article intitulé : « Se prostituer ce n’est pas seulement écarter les cuisses » pourquoi elle avait fait le choix de se prostituer à l’âge de 26 ans et pourquoi elle ne prend jamais plus d’un seul client par jour).

    J’ai été un peu plus long que je ne l’espérais sur le sujet ci-dessus.

    En résumé ce que je veux vous dire sur celui-ci c’est surtout ceci :

    Vous n’avez pas à décider de ce que doit être la vie des autres à leur place sans ne jamais leur demander leur avis à ce sujet et pire sans ne vouloir jamais non plus leur rendre de comptes à ce même sujet aussi.

    Dans les médias vous apparaissez comme des vieilles filles et des vieux garçons caractériels, obsédés par la haine des capitalistes, coincés au sujet de votre vie privée laquelle semble sans sexe ni amour véritable.

    Aux prochaines élections je ne voterai pas pour le parti de Marine le Pen car je l’ai bien lue ou écoutée souvent ces derniers temps et considère que son programme pour sécuriser soi-disant la société n’est en réalité qu’un programme de punitions barbares à caractère fasciste. J’ai bien lu ou écouté souvent ces deniers temps aussi Nathalie Arthaud et considère que son avis sur le viol, la prostitution, etc. pour abolir ceux-ci n’est aussi qu’un programme de punitions barbares mais lui à caractère stalinien.

    Votre féminisme est totalitaire et incompatible avec le mien.

    Recevez, Mesdames, Messieurs, mon souvenir le meilleur.

    Le 16 décembre 2020,

    PLUME DE SCHIZO

    https://kdp.amazon.com/amazon-dp-action/fr/dualbookshelf.marketplacelink/B08RC1YZSX

    P.-S : copie pour https://www.pcf.fr

    • au lieu de nous imposer votre laïus ridicule, vous auriez pu vous contenter de la conclusion : « votre féminisme est totalitaire ( « tremblez, bonnes gens »), mais le mien est admirable et pur ! ». Merci pour votre originalité de pensée.

      • Mon laïus est ridicule ? vous avez des arguments sérieux à opposer aux miens dans celui-ci ? communiquez-moi ceux-ci : vous ne serez pas ridicule alors à m’aider ainsi sérieusement moi qui ne suis qu’un ignare justement selon vous !

  3. Et pourtant, de brigadistes à résistants ce parti de l’idéal progressiste au service du peuple a
    engendré les plus grandes avancées sociales de tous les temps, Sécurité Sociale, Congés payés,
    éducation, services publics, conditions de travail, retraites…tous ces acquis chèrement obtenus issus du CNR et du Front populaire et sur lesquels les gouvernements de droite n’ont eu de cesse de revenir depuis plus de 50 ans, rêvant de les détruire pour soumettre le peuple français (et du monde) à la financiarisation de tout évènement humain. On ne peut que penser à ces êtres courageux dont le seul but était le bien vivre des peuples dans la paix, la liberté, la fraternité, la solidarité, l’égalité. Ambroise Croizat, et sujet d’actualité avec EDF, Marcel Pol…Tous ceux qui ont combattu contre le fascisme et sont, ou non, revenus, contre le racisme, l’antisémitisme et la pauvreté. Les lendemains qui chantent n’ont pas fait long feu face à l’ennemi de qui vous savez, la finance qui a pris le pouvoir sur et dans l’Etat. Celui -ci trahi (pantouflage, corruption, privilèges, rétropantouflage) par ses Hauts fonctionnaires, qu’il a lui même formés avec devoir de le servir loyalement. Lorsqu’on observe le « nouveau monde » d’aujourd’hui, vendu avec Macron, par les médias « endemol » et la régression qu’il génère, on ne peut qu’être découragé et nostalgique de tous ces espoirs anéantis. Mais le temps se chargera de donner une réponse à ce chaos provoqué et déjà une majorité silencieuse commence à ouvrir les yeux, à comprendre que la terre ne peut supporter toutes ces agressions au nom du seul profit. Les profiteurs eux-mêmes tout à leur voracité sont incapables d’anticiper et de voir qu’ils courent à leur autodestruction. Heureusement, nombre de jeunes se réveillent et c’est en eux, premiers concernés qu’il faut croire. Apprenons leur le passé, l’ Histoire du monde et de l’humain pour qu’aujourd’hui ils puissent préparer leur avenir. Faisons leur confiance.

  4. Il est essentiel de rappeler que les progrès réels dont l’apparition et l’action du Parti communiste en France permit, en se conjuguant avec d’autres forces politiques (le Front populaire en 1936, la Gouvernement provisoire de la République française de 1944 à 1947 et l’Union de la Gauche de 1981 à 1984), l’inscription au patrimoine national des droits fondamentaux, furent arrachés par la vigilance sociale, sous la forme de grèves, de manifestations, de présence dans les entreprises et leurs instances représentatives, mais ne purent être mis en oeuvre que par l’oeuvre législatrice et donc une expertise des lois, de leur rigueur logique et d’un volontarisme appuyé sur une connaissance précise de l’équilibre entre les moyens permettant de réaliser l’idée de la redistribution et les besoins, précisément appréciés, auxquels elle pouvait répondre. Le cadre institutionnel est indispensable pour que l’action ne s’ensable pas, et pour que le discours ne tourne pas à une surenchère conceptuelle qui peut produire de forts vivifiants éclairages critiques mais ne saurait à lui seul pallier les besoins matériels, moraux et intellectuels que l’action pour la solidarité et l’émancipation humaine affirme comme impératif à la collectivité, dans les voies du droit.

  5. le Communisme, ce sont des millions de morts, les goulags, les épurations les destructions, les camps . On publie trop vite ces horreurs. Le communisme et le nazisme auront eté les pires fléaux du 20 eme siècle, ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’ils se sont allés a un époque.

    • Hélas oui, avant, ou en même temps comme dirait Macron, et De Castelnau le souligne très bien, il faut aussi (essayer) de comptabiliser les millions, que dis-je, les dizaines pour ne pas dire les centaines de millions de mort dus à ce fléau qu’il s’appelait, mais certains en ont encore la nostalgie, le communisme!

    • comment ne pas évoquer les millions de morts causés par ce simple mot de « communisme », comme des chiens de Pavlov que vous êtes…

      je ne dirai que ceci : le Kapitalisme (le « K », c’est pour faire allemand) est responsable de millions de morts aux 18ème et 19ème siècle (esclavage, colonisation…)

      seulement voilà, ses victimes ont la peau noire…et pour certains, ça compte moins, voire pas du tout. A lire « Last victorian holocaust » (pdf libre) – nos amis les anglais qui affamaient les indiens (en cause le paiement de l’impôt « dû », en nature).

      Personne n’Oublie (et oui, sur les azerti, le p est à côté du o) les horreurs des camps ni le génocide khmer, ça fait partie de la mémoire collective (..oups) mais celle des plantations de coton, café, cannes à sucre, cacao aussi…

      ‘faut pas non plus oublier les enfants dans les mines de charbon du nord (sud de la Belgique), hein ?

      Geof’Rey, neo-communiste gaulois belge

    • @ Patrice.

      Concernant le pacte germano-soviétique, voici ce que j’ai écrit sur ce blog le 7 juin 2019 :
      https://www.vududroit.com/2019/06/commemoration-du-jour-j-la-fin-de-lhistoire/#comment-5977

      Notons sur le fait qu’après le 22 juin 1941, c’est l’URSS qui porta le poids le plus énorme de la Guerre, c’est aussi ce que dit Eric Zemmour.

      Sur le blog de ce dernier, j’ai d’ailleurs écrit plusieurs commentaires sur ce pacte, sur Staline, mais aussi sur Georges Marchais.

      Sur ce dernier point.
      Bien qu’ayant été membre du PCF pendant 32 ans (famille de communistes espagnols ayant quitté l’Espagne en février 1939), je sais qu’il y a beaucoup de critiques à émettre contre ce parti.
      Toutefois, il faut reconnaitre que Georges Marchais, en 1980-1981, avait un programme souverainiste.
      Il était pour « produire français » (1). Il estimait que l’insécurité touche surtout les classes populaires et qu’il fallait la combattre. Il constatait que nombre de communes populaires (souvent avec des maires PCF) allaient être submergées par des vagues migratoires et donc qu’il fallait arrêter l’immigration. Il s’inquiétait de la montée de l’islamisme en Afghanistan et ailleurs.

      Eric Zemmour qui est globalement anti-communiste manifeste souvent de la sympathie pour ce que disait G. Marchais dans ces années-là.

      (1) Si on avait suivi cette partie du programme, on ne ferait pas fabriquer nos médicaments en Orient. Et notre système de santé aurait pu combattre plus efficacement l’épidémie, sans passer par ces confinements généralisés qui n’ont JAMAIS existé avant (même au Moyen-Age).

  6. Patrice, s’il vous plaît : dans la première phrase de votre commentaire, pouvez-vous changer le temps employé ? Et substituer « ce furent », à « ce sont » ? Cela ne ferait qu’ajouter crédit à votre commentaire. Mais quant à l’avenir, entendez-vous écrire « ce seront » ?

  7. Fallait bien bouffer au départ, piéger avec les gosses , l’alcool, la crasse ,par la suite ils se sont installé les syndicats patronal , les esclavagistes reconvertis dans d’autres business (style, les boites à vendre , comme de Kiabi et la boite à chaussure .
    Pour en revenir dans mon texte qui précède ( les esclavagistes reconvertis) les armes et le marchandage qui donna ( pas la donna) naissance à la péninsule d’Israël
    Une zap sur une salope
    https://www.youtube.com/watch?v=DgHcXFNtOew

    De la merde

    Le PCF; à non pas l’humanité !!! s’est comme le resto du coeur

    Charles Heyd
    (oups, un « bon communiste … ) est un bon musulman
    Vous ne l’aviez pas vu

  8. Moi aussi j’ai envie d’écrire des articles pour observer mon cul
    Je me suis vu comme du fils castor et Pollux , fils de castex dans dimanche France magazine bolchevik
    Certes par humanité au vu de l’image , je serai éliminé dans la cage des aliénés du moins épinglé

    Voir l’objet de femme de l’abbé « pierre » qu’il à caché juste pour vider sa bite et se la réinventer tout en remplissant un coffre  » calcaire »
    J’insiste sur calcaire
    Dans la suite
    Comme d’avec Rodin et pauvre Camille Claudel , elle à vécu le stalinisme à ciel ouvert
    Hors voyez vous

  9. Il faudrait être respectueux du monde à l’envers
    Nos morts
    On nous vendra l’euthanasie et la loi en becté de salade comme service compris
    De selon de mon avis la vie sur terre est exponentiel
    Et le vaccin est un langage obligé et se réduire
    Comme au casino
    Malheureusement il fera de plus en plus froid pour naviguer dans l’espace

  10. Ce que nous avons réalisé de nous même
    Deviendra de plus en plus en plus et en plus archaïque dans le détachement , sans âmes
    L’âme est le billet de vie
    Rien à voir avec la marée chaussé
    S’est comme ça depuis la nuit des temps

  11. Certes s’est pas riugolots
    S’est comme çà
    Le charpentier
    Le sephiroth
    Qui lustucrus que tel avis capital de la plus petite bite de l’espèce humaine moiteuse comme criminel de vivre dans l’abstrait , de ce qu’on nous vend comme parole de dieu donné

    Le camphrier ou arbre à camphre (Cinnamomum camphora (L.) J. Presl, 1825) est une espèce d’arbres de la famille du laurier (Lauraceae) dont on extrait le camphre par distillation de son bois, dit « bois de Ho »

    Ou la la

  12. L’intérêt de la France
    Quel imposture

    Napoléon l’avais vu , il naviguait dans l’histoire
    Rien a voir avec grosses têtes de ruquier

  13. Au nom de mon grand-père et mon père, ouvriers, résistants, communistes : MERCI !

  14. comme l’avait dit Michel Vovelle à propos de la Révolution Française : « pour la comprendre il faut l’aimer » ! c’est ce qui vous manque !
    votre mentor onfray (que les intimes -normands- que je connais appellent onfrayant) a dit lui que : « Marx avait confisqué le matérialisme » ! waouh il est fort ce Marx !

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