Atteintes aux libertés publiques : des magistrats à la manœuvre

Une vision policière du confinement

La décision de mettre en œuvre une stratégie de confinement pour lutter contre la pandémie Covid 19 a été dans un premier temps acceptée avec discipline par les Français. Et avec résolution et courage par ceux à qui on a demandé de monter au front et de tenir ce pays, personnel soignant et premiers de corvée. Comme l’a astucieusement formulé Rachida Dati : « finalement ce sont les villes jaunes qui portent ce pays à bout de bras ».

Malheureusement, les Français ont été contraints à deux constats. Tout d’abord l’invraisemblable incurie à la fois du gouvernement et de l’administration dont les errements, la préparation, l’amateurisme, l’inconséquence et la lourdeur ont lourdement aggravé cette violence pourtant considérée au départ par les Français comme nécessaire et les conséquences sanitaires économiques de cette crise. Et le deuxième constat est que mise en place et pratique du confinement ont été marquées par une mise en œuvre punitive et policière. Il y a bien sûr l’invraisemblable traitement de la population par les forces de police et surtout de gendarmerie dans une utilisation brutale et massivement arbitraire du système des amendes pour les infractions au confinement. Des milliers d’exemples consternants de ce qui a été infligé à une population déjà brutalisée au plan matériel et psychologique en dit long sur la conception de ce pouvoir de son rapport au peuple. Qu’il vit comme un adversaire voire comme un ennemi, qu’il est indispensable de mater. Sur cette question du rôle des forces de l’ordre, vue à l’œuvre dans la répression sans précédent contre les gilets jaunes, le mouvement des hospitaliers et la lutte contre le projet de réforme des retraites, cette culture, a trouvé à s’exprimer à nouveau. L’exemple des nouvelles saillies du préfet Lallement en est une triste illustration.

L’aversion Macronienne des libertés publiques

Malheureusement la justice n’a pas été en reste. Comme le démontre une fois encore sa passivité devant l’arbitraire policier, mais surtout cette étrange volonté de soutenir Emmanuel Macron fusse aux dépens de nos libertés publiques. On sait que le pouvoir Macronien a un gros problème avec la liberté d’expression comme vient de le rappeler dans ces colonnes Anne Sophie Chazaud. Cette aversion constante trouve un écho dans la magistrature avec le zèle que déploient actuellement les parquets pour museler la liberté d’expression de ceux qui contestent le pouvoir d’Emmanuel Macron. C’est la fameuse histoire des banderoles de Toulouse ou à la stupéfaction générale on a appris que le parquet avait mandaté la police pour mettre en garde à vue une citoyenne qui avait affiché sur sa propriété une petite banderole intitulée : « Macronavirus, à quand la fin ? ». Le terme Macronavirus était emprunté à une couverture de Charlie hebdo datant de quelques semaines qui lors de la publication n’avait provoqué aucun émoi. L’affaire ayant fait quelque bruit, cette banderole est devenue virale et des citoyens confinés dans leurs appartement-prisons ont repris l’affiche et affichée à leurs fenêtres. Des parquetiers zélés, et probablement de façon concertée et sur ordre, oubliant qu’ils sont au service de la république et non pas de la personne d’Emmanuel Macron ont multiplié les interventions menaçantes et promis des procédures. La volonté d’intimidation et de sanction d’un peuple rétif saute aux yeux. Parce qu’en effet, sur le plan des principes fondamentaux et du droit tel qu’il s’applique ces démarches parquetières sont quand même très problématiques.

Il existait depuis la IIIe République dans le droit français une infraction appelée : « offense au chef de l’État ». La filiation avec le crime de « lèse-majesté de l’ancien régime » était évidente, et ce qui était interdit c’était de s’en prendre à la personne même du chef de l’État. Cette infraction était tombée en désuétude et sous la Ve République, les présidents Pompidou, Giscard d’Estaing, Mitterrand et Chirac avaient successivement annoncé qu’ils refusaient d’en faire usage. Sous Nicolas Sarkozy, un procureur zélé avait trouvé astucieux de poursuivre et de faire condamner (!) un passant, qui au passage du président avait repris la fameuse phrase « casse-toi pauvre con ». La cour Européenne des Droits de l’Homme alors saisie, avait rendu à l’encontre de la France une décision cuisante pour ceux qui avaient prêté la main à cette atteinte à la liberté d’expression. Sur ce, devant l’évidence du caractère contraire à la liberté d’expression de cette infraction, le délit « d’offense au chef de l’État » a été purement et simplement abrogé.

Criminaliser l’opposition à Macron

Alors pour justifier juridiquement cette agitation judiciaire et policière contre les banderoles, on utilise une autre incrimination. Celle contenue dans l’article 433–5 du code pénal ainsi libellé : «Constituent un outrage puni de 7 500 euros d’amende les paroles, gestes ou menaces, les écrits ou images de toute nature non rendus publics ou l’envoi d’objets quelconques adressés à une personne chargée d’une mission de service public, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de sa mission, et de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à la fonction dont elle est investie. » En quoi l’affichage chez soi la banderole « Macronavirus à quand la fin » peut-elle être retenue dans les liens de la prévention, et justifier déploiements policiers, détentions arbitraires (ce qu’est une garde à vue injustifiée) et autres intimidations ? Quiconque sait lire voit bien que pour qu’il y ait outrage il faut que celui-ci soit commis dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de sa mission par l’agent public outragé. On rappellera au passage que la loi pénale est d’interprétation restrictive. On imagine bien qu’une bordée d’injures à un agent en train de verbaliser votre automobile, ou une interruption à base d’insultes du chef de l’État prononçant un discours dans la cour des Invalides constituent bien des outrages. En quoi une caricature pas bien méchante d’ailleurs, vue par une poignée de passants confinés, pendant qu’Emmanuel Macron vaque à ses occupations à 800 km de là, peut-elle être considérée comme un outrage ? La deuxième condition relative au fait de porter atteinte à la « dignité de la personne ou respect dû à sa fonction » est elle aussi totalement absente. C’est bien la personne d’Emmanuel Macron qui est brocardée, pas la fonction de chef de l’État en elle-même. C’est même plutôt d’ailleurs l’expression d’un respect dans la mesure où les auteurs souhaitent manifestement qu’elle soit occupée par quelqu’un de plus respectable à leurs yeux…

On voit bien là, la volonté même pas cachée d’empêcher toute critique d’Emmanuel Macron. Dire comme 70 % des Français d’après les sondages que celui-ci est un mauvais président serait donc un outrage ? Tout ceci est assez lamentable mais surtout très inquiétant. Qu’il se trouve dans la magistrature, puisque les procureurs sont des magistrats, des gens pour déployer ainsi un zèle militant au service du président le plus impopulaire de la Ve République, en dit long sur la culture des libertés publiques fondamentales qui les habitent.

Et cette inquiétude est aggravée par le manque de réaction au sein du corps face à de tels manquements. Les organisations syndicales de magistrats en général peu respectueuses du principe d’impartialité, et très prolixes quand il s’agit de donner des leçons de morale, sont singulièrement muettes face à ce qui constitue quand même depuis deux ans, une instrumentalisation de la justice à des fins politiques. Et le constat de cette acceptation qui perdure, du rôle répressif assigné à la justice par un pouvoir minoritaire, et ce pendant le confinement qui contraint lourdement nos libertés, et malheureusement très inquiétant.

On attend toujours les signes du ressaisissement.

Régis de Castelnau

70 Commentaires

  1. Les organisations syndicales de magistrats en général peu respectueuses du principe d’impartialité, et très prolixes quand il s’agit de donner des leçons de morale, sont singulièrement muettes face à ce qui constitue quand même depuis deux ans, une instrumentalisation de la justice à des fins politiques.
    Maître,plus personne,en FRANCE,n’ignore que les syndicats sont payés,donc redevables,par le patronat,par l’état,et,dans tous les cas,par l’ue. De ces faits que voulez vous attendre de tels gens?

  2. En l’occurence La banderole a été affichée semble t’il dans un squat d’extreme gauche, tendance black block.
    Mais je vous rejoins sur l’impression de plus en plus prégnante de mise en place d’un totalitarisme qui veut contrôler les gestes et pensées de chaque individu.1984 est là…

  3. Rachida Dati a parlé de villes gilets jaunes, pas de « villes jaunes ».

  4. Et si 685 (ou un peu plusou un peu moins) balcons sont banderolés de la sorte, que se passera-t-il ?

  5. Eric Zemmour a été agressé dans la rue par un individu qui se vante dans une vidéo.
    Cette racaille (le terme, que j’approuve, est d’Eric Naulleau) reconnait cet acte scandaleux et montre son visage.
    Et bien, l’enquête est terminée puisque l’individu reconnait son acte.
    Il ne reste à la Justice qu’à sanctionner ce sinistre individu. Le fera-t-elle ?

    • Finkielkraut sous les gilets jaunes, Zemmour sous Covid19, manipulez, manipulez, il en restera toujours quelque chose !

      En plus concernant Zemmour, c’est grotesque, quand on sait qu’il est sous protection systématique sur ses déplacement extérieurs.

      Bref, déconfinement progressif va rimer avec le retour des victimisations communautaires, leurs absences sous confinement ayant été, jusqu’ici, le seul point positif de ce dernier.

      • Assez lamentable. Zemmour n’est pas sous protection. La preuve. Et c’est bien l’un des rares à dire que sa communauté c’est la France.

      • Hajime a parfois raison, mais ici (et ce n’est pas la première fois), sa haine de Zemmour lui fait dire des inepties.
        Zemmour n’est pas du tout communautariste.
        La preuve avec ce qui suit.
        En 2012, lors du diner du CRIF, Sarkozy, président sortant et Hollande, candidat du PS étaient présents. Le président du CRIF leur avait fait se serrer la main.
        Plus tard, sur RTL, Zemmour critiqua ces « diners communautaires » :
        https://www.youtube.com/watch?v=ztvdNQhPG14

      • Tout ce qui est excessif est insignifiant.

        « Lamentable, haine, ineptie », je ne peux pas dire le contraire, Zemmour possède son fan club de groupies énamourées et l’amour rend aveugle, voire hystérique, PEPE compris.

        D’abord, Zemmour est sous protection policière depuis octobre 2019 (menaces de mort) ou alors il raconte des salades lorsqu’il communique encore dessus ?

        Ensuite, Zemmour a une fonction politique, je l’ai déjà formalisé ici, il est un pion sur l’échiquier au même titre que BHL, Finkielkraut, Goldnadel dans la table des éléments progresso-identitaire dont il est le dernier élément de la liste.

        Mais bon, il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

        Enfin, la République souffre de l’instrumentalisation du tribalisme, de la pleurniche victimaire et surtout de la compétition que se livrent les principaux acteurs communautaires et afin de manipuler les opinions publiques.
        Mais pour formaliser cette critique, non seulement il ne faut pas tomber en pamoison devant la dernière starlette médiatique du moment, mais il faut surtout pourvoir analyser un fait divers au delà de l’émotionnel d’une insulte, d’un crachat ou je ne sais quoi d’autre.

        Macron a passé un coup de fil à Zemmour et bien entendu, toute la médiacratie a relayé l’info.
        Dormez bien, les naïfs.

        ps : Ca ne m’empêche de lire du Zemmour, mais avec lucidité.
        Je ne lis pas du Zemmour comme je lis du Onfray, par exemple.

        • Si Zemmour avait été sous protection, le type aurait été embarqué illico, à supposer qu’il ait été assez idiot pour perpétrer son acte.

          • Une chose est certaine, il n’était pas confiné et ne portait pas de masque.
            Sinon le bonobo n’aurait pas pu lui cracher dessus et autres joyeusetés.

            En tous les cas, belle unanimité, même Fourest et la LICRA sont derrière lui.

            C’est l’union nationale.

            Le bal des faux-cul surtout.

        • Zemmour est sous protection policière lorsqu’il intervient en public
          Conférences, séances de dédicaces, etc…

          Il a refusé toute protection en ce qui concerne sa vie privée
          Dans le cas qui nous intéresse, il revenait de faire des courses.

          • Il est menacé de mort et refuse une protection privée ?
            Ok.

            Le reste, c’est dans les journaux.

            Chacun fera son opinion.
            La mienne est faite.

          • Il refuse toute protection privée… lui a-t-on seulement proposée ?…

          • @Robert, en a t-il même besoin d’une ?

  6. Mai je n’en peux plus de ces malfaisants, cette dictature. Dès demain j’imprime le préambule de notre constitution et je l’opposrai à ces infâmes, même si je dois finir en garde à vue ou qui sait incarcérée? Il faut s’attendre à tout aujourd’hui.

  7. Audiard disait « les cons ça ose tout et c’est même à ça qu’on les reconnait ». Pour les magistrats, le gouvernement, le patronat, etc c’est à leur incapacité a appréhender le réel et ses imperceptibles variations (un peu gigantesques en l’espèce) qu’on conçoit mieux l’étendue de toute leur connerie.
    L’addition sera salée on les attend au tournant.

  8. Comme si ce sécuritarisme à tout crin avait pour résultat une sécurité civile accrue. L’exemple de Nice le montre bien, c’est un mensonge. La seule sécurité gagnée est, pour les gouvernants, un plus grand contrôle de la populace. Rien d’autre.

    • « Comme si ce sécuritarisme à tout crin avait pour résultat une sécurité civile accrue. L’exemple de Nice le montre bien, c’est un mensonge. La seule sécurité gagnée est, pour les gouvernants, un plus grand contrôle de la populace. Rien d’autre. »

      Vous y êtes, mais faut pousser le raisonnement dans ses ultimes retranchements.
      Qui demande plus de sécuritaire ? Le peuple.
      Pourquoi ? Islamisme (attentats), délinquance musulmane (banlieues) etc…
      Qui génère une situation sociale et économique propice à une demande de sécuritaire accrue pour cause de peur ? …

      Vous avez donc l’identité de celui qui a intérêt à plus contrôler et surveiller son peuple et qui, contrairement à ce qu’il nous vend, n’a jamais vraiment fait de disciplinaire efficace, sauf via grands procès pour l’exemple et le spectacle dans l’horreur.

      Belloubet a bien relaxé de la racaille au nom du Corona.
      Plus haut, on a fermé les yeux pendant des décennies pour créer les conditions propices à la transition du pseudo tout disciplinaire vers une société Orwellienne.
      L’histoire de l’incurie et de l’impéritie ne tient pas
      Pas plus que protéger le peuple de lui-même.

      A la situation sociale et économique anxiogène, s’ajoute désormais la peur virale, la peur fabriquée ultime, pour justifier l’Etat d’urgence sanitaire et valider juridiquement sa demande de contrôle accru.

      L’oligarchie se protège d’abord elle-même, le reste, c’est du théâtre.

  9. Une exception, peut-être une éclaircie.
    La fédération des usagers de la bicyclette a obtenu le 30 avril, devant le Conseil d’État la reconnaissance du droit de tout un chacun de rouler en vélo pour aller au travail ou faire ses courses ou autres motifs admis.
    Les mauvais esprits y verront la collusion manifeste des ayatollas à 2 roues avec la matrice.

    • « Les mauvais esprits y verront la collusion manifeste des ayatollas à 2 roues avec la matrice. »

      Jugement de valeur qui trahi une tentative de désamorçage afin de décrédibiliser toute affirmation postérieure en faveur de la dite collusion, ou, au contraire, visant à renforcer la thèse par réaction.

      Ce n’est pas comme si avant Covid19, le lobby vert, dont celui de la bicyclette à finir aux urgences orthopédiques, n’existait pas.
      Un tropisme qui sortira renforcé de l’Etat d’urgence sanitaire, une évidence, des études (payées par qui ? ) commencent à sortir dans les mainstreams, comme quoi le confinement fut bénéfique pour la qualité de l’air et la biodiversité.

      Dites vous bien que l’après Covid19 rimera avec Greenwashing, une colonisation des esprits par la dictature verte et financée par la puissance financière d’ONG écolos et prétendument altermondialistes, elles même souvent financées par des richissimes industriels et financiers, comme par exemple la Ford Foundation reliée au WWF US, ou encore les Rockfeller, toujours pour le WWF et Greenpeace.

      Exemples non exhaustifs.

      Sainte Greta (ou une autre) sera la madone post Covid19, vous verrez, elle va être la porte parole zélée que si le Covid existe, c’est à cause des déséquilibres d’origines anthropiques.

      L’oligarchie progressiste ne s’arrêtera pas pour sauver le capitalisme en crises.
      Quitte à nous contrôler toujours plus et à nous forcer à la décroissance, comme avec le confinement.

  10. L’exception c’est la règle. La Loi s’écrit sur Twitter ou FB via les comptes officiels.
    Prolongation de l’enchantement de la Belle au bois dormant pour 80 jours de plus, pour l’instant.
    Les brigades des anges gardiens, nouveaux supplétifs du nouvel ordre sanitaire, seront les protecteurs de nos rêves, de ceux de nos amis, et de ceux des amis de nos amis.
    La nouvelle pensée unique, c’est ne plus penser à rien, ça fait moins mal.

  11. stigmat Régis de Castelnau
    (Atteintes aux libertés publiques : des magistrats à la manœuvre)
    Tout est dit dans le titre
    Pas la peine de s’endormir sur du texte qui suit

    et l’échappatoire de la synthèse du texte
    (On attend toujours les signes du ressaisissement.)

    Comme d’un tour de piste macaronique pour être prudent question texte covid.
    19 nouveau stigmas pieds et points lié sur la croix

    BFM en simultané que j’entends à la télé réalité , « vous en pensez quoi ?question à la con au médical  » du mec info sur bfm la France se réveille dans son masque de fer dans sa représentation de Stefan Etcheverrya ou Etcheverry ; petit-fils de Jean-Baptiste et Adrienne, autrefois à la tête de l’établissement chiotte publique ; a voir et retrouver dans nos toilettes queston attraction et la chute mathématique dans les toilettes du caca
    En salade incestueuse de l’info

  12. Vous qui vous scandalizez pour des broutilles ,vous trouvez normal et vous taisez lorsque notre Constitution est violée pour permettre l´élection de celui qui nous sert de président de la république ?

  13. Mon chère Arnaud
    Dèja je suis Belge , ja’i le pouvoir de voter pour le maire , mais le président des cons où vous m’envoyer j’ai pas le droit question papier parigot
    Ma femme est anglaise et se la prend le brexit de france
    De plus elle à travaillé en soin intensif dans des situations assez et très compliqué en réanimation qu’aujourd’hui si s’était à refaire elle en aurait renvoyer des clowns chez pluton au lieu de se la jouer casserole vu son invalidité et l’obscénité de s’être casé la santé .

    La constitution franchement dans un mouvement vegan est assez macho question cannibale
    Comme disais Sarko
    casse toi pauvre con

  14. Dans la chanson « allouette »
    S’est comme la constitution
    Et je te plumerai la tête , après la suite s’est pas incognito
    je préfère l’art des fous que celui des biesses

  15. Au secours ! Fillon, reviens nous vite. A éviter.
    Haut et court, vite, évitons Fillon s’il revient
    Ose et cours vite sur la plage, dans les bois ou les maquis.

    • Fillon, c’est du théâtre, comme pour Griveaux (disparu de la circulation).
      Me demande même si c’est vraiment à l’insu de leur plein gré…
      Les Balkany, ce fut encore plus pornographique dans l’enfumage.
      THE BIG PICTURE.

  16. Remarque JIB les sentier côtier en Bretagne s’est pas ok question covid , mais les parc et jardin de Navarre s’est bien

  17. Et remarque certaine région au USA ta pas le droit de collecter l’eau de pluie et d’avoir une tomate et une poule qui commence à être discutable en France mais avec covid 20 se sera possible d’être seul et aseptiser comme pur.

    après évidemment ce n’est pas rigollot
    ok je sort

  18. Admettons avec vous qu’il n’y ait pas outrage (aux termes de l’article 433-5 CP), n’y a-t-il pas néanmoins injure ?

    Comme je l’écrivais sous votre article du 25.04 « Protection des libertés fondamentales: les magistrats confinés ? » qui commençait d’évoquer l’affaire de la banderole :

    « Si cette personne avait sur sa banderole fait un jeu de mots (sur le coronavirus covid-19) non pas avec le nom du président de la République mais avec celui de son voisin, il pouvait être condamné pour injure (12.000 euros d’amende) (article 33 de la loi de 1881). »

    De sorte que, si le président de la République est « une personne comme les autres » (je vais y revenir), il peut porter plainte pour injure, et sans doute même aussi une action publique peut-elle être engagée par le parquet sans plainte de quiconque pour une injure envers cette « personne comme les autres » qu’est le président de la République.

    Le juge peut, et c’est, je crois, une réforme assez récente, requalifier les motifs de poursuite : par exemple une incitation à la haine en injure et vice-versa, quand un parquetier négligent ne maîtrise pas bien les distinctions subtiles de l’une et l’autre infraction, de sorte que, désormais, cette négligence, cette incurie parquetière n’est plus un motif de relaxe. (Le parquet peut donc tout se permettre, mais le Français lambda, qui n’est pas censé maîtriser les arcanes du droit mieux que les parquetiers, a compris depuis longtemps qu’il était prudent de se taire, vu le droit français de la « liberté » d’expression.)

    Dans le cas présent, si l’outrage n’est pas caractérisé, comme vous le pensez, c’est de peu de secours pour le prévenu dans la mesure où l’outrage pourrait être requalifié par le juge en injure. Je ne dis pas que c’est possible de jure, vu que les requalifications auxquelles je pense sont possibles dans le cadre de la loi de 1881 et curieusement l’outrage à personne dépositaire de l’autorité publique n’apparaît pas dans la loi de 1881 (contrairement à l’outrage à ambassadeur étranger), et je ne sais pas si le juge peut requalifier une infraction au titre de la loi de 1881 en une autre qui ne serait pas dans cette même loi ou vice-versa, à savoir, ici, une infraction au titre de l’article 433-5 du code pénal en une infraction au titre de l’article 33 de la loi de 1881.

    J’en viens au point principal. Comme je l’écrivais encore, je ne vois pas ce qui s’oppose à des actions contre des citoyens pour « injure » envers le président de la République, puisque, comme cela nous est répété avec beaucoup d’insistance par la classe politique, et en particulier par l’actuelle majorité depuis l’affaire du malheureux Benjamin Griveaux, « les politiciens, les élus sont des gens comme les autres ».

    A quoi j’ai répondu que rien n’était plus faux. Il faut même dire que rien n’est plus MENSONGER, car si les politiciens, les élus étaient « des gens comme les autres », le délit d’outrage n’existerait pas.

    Chez nous, les politiciens, les élus ne sont pas des gens comme les autres : ils ont des privilèges. A savoir, quand on les insulte (en admettant même que cette précision, « dans l’exercice de leurs fonctions », ait quelque portée que ce soit dans le cas de personnalités politiques nationales), l’injure est une injure aggravée qui s’appelle un outrage, et, très concrètement, l’amende passe alors de 12.000 euros dans le cas de la simple injure publique de l’article 33 loi 1881 à deux ans d’emprisonnement et 30.000 d’amende dans le cas de l’outrage en réunion envers personne dépositaire de l’autorité publique. Cet écart de peine est une mesure très exacte du privilège de la classe politique, ou du cartel politique, chez nous. Des gens comme les autres ? Allons…

    Et j’ai par ailleurs rappelé que dans la démocratie U.S., « un particulier peut certes poursuivre son voisin pour une banderole injurieuse, mais la banderole d’un particulier injuriant le président des Etats-Unis est protégée par le Premier Amendement, car le président des Etats-Unis est un ‘public official’. » C’est donc, dans ce pays, une philosophie pénale exactement opposée qui prévaut.

    L’un de ces deux pays est un pays libre : saurez-vous dire lequel ?

    • En guise de correction ou précision à deux, trois choses confuses dans mon texte concernant une action pour injure. En France, l’action publique peut forcément être engagée pour injure sur initiative parquetière comme en n’importe quelle matière pénale. C’est, je pense, ce dont on peut être assuré. Dès lors, le président de la République n’a pas besoin de porter plainte ou de se constituer partie civile : il n’a qu’à demander à son ministre de la justice de téléphoner au procureur. C’est mieux que de passer aux yeux des électeurs pour un personnage susceptible et quérulent. Le parquet non indépendant s’autosaisira autant qu’une entité non indépendante peut s’autosaisir, et tout cela paraîtra planer dans l’éther des grands principes, sans la moindre intervention vindicative de la moindre personne de chair et d’os, pendant quelques années… le temps que l’affaire arrive devant la Cour européenne des droits de l’homme, qui constatera une entorse à la liberté d’expression et sans doute aussi l’absence de procès équitable (absence de procès équitable qui serait évidente prima facie en cas de constitution de partie civile par une personnalité publique comme le président de la République et qui, sans être prima facie, est forcément évidente aussi en cas d’autosaisine du procureur pour une injure au président de la République, dès lors que la Cour EDH ne reconnaît pas l’indépendance du parquet français, et ce même après 2014 et l’adoption par la France d’une loi « sur l’indépendance du parquet », la Cour EDH ayant en effet maintenu sa jurisprudence malgré ce texte au titre que nous n’avons par conséquent d’autre choix que de considérer comme mensonger).

      En outre, il y a des chances (de fortes chances, je pense) que toute action publique pour outrage puisse être requalifiée par le juge en injure si la condition du cadre de « l’exercice des fonctions » du délit d’outrage a été méconnue par le parquetier. J’ai dit que la méconnaissance de cette condition n’était donc pas d’un grand secours pour le prévenu, mais comme j’ai montré par ailleurs que la différence de peine entre l’outrage et l’injure était considérable (prison possible dans un cas et non dans l’autre, inter alia), c’est tout de même un moyen de défense important, même si ce n’est pas un moyen suffisant pour obtenir une relaxe.

  19. La ruine ira de pair avec cette prison Bilderberg : tout était prévu par Brzezinski il y a cinquante ans (Between 2 ages, p. 28). La seule différence est que la soumission, la servitude volontaire, dont j’ai été le premier à reparler en 2017 sont au menu de ces faquins de français. Sarkzy, Hollande, Macron… Du coup le pouvoir n’a plus peur d’eux, il se défoule sur eux, et ils en redemanderont sur Twitter.
    https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/05/02/coup-detat-mondialiste-faisons-le-poing-brzezinski-ecrivait-lere-technotronique-implique-lapparition-progressive-dune-societe-plus-controlee-une-telle-societe/

    • Je ne suis pas un très grand fan de Brzezinski.

      Brzezinski, dans « Le grand échiquier », comprendre la question géostratégique de l’Eurasie, voire de l’Europe continentale en tant qu’enjeu majeur quant à maintenir l’Oncle Sam tout en haut, était relativement visionnaire et pertinent ante 2000, certes, modulo la question énergétique et quelques contradictions patentes, comme par exemple continuer de vassaliser l’Europe à l’Atlantisme, tout en sponsorisant, dans les faits, son expansion fédéraliste.

      Car l’Europe du trio Hallstein-Monnet-Schuman n’est pas autre chose qu’une construction Atlantiste post WWII avec une emprise du soft power US sur les élites politiques et économiques (Bilderberg, Young leader, French American Fondation etc…).
      Or cette construction, si elle devenait un succès, serait un danger pour l’impérialisme US, puisque potentiellement, l’UE deviendrait premier marché économique mondial, or les US, selon Brzezinski, veulent justement contrôler politiquement l’Est de l’Europe pour en contrôler le centre, puis contrôler le centre pour en contrôler la partie Nord Ouest, donc n’ont aucun intérêt à ce que l’Europe fédérale réussisse ou que le couple Franco-Allemand fonctionne à plein régime.

      Brzezinski, d’ailleurs, qui ne parle que très rarement du rôle des « cousins », alors que la perfide Albion a toujours été leur sous marin et la City, la plaque tournante de la finance continentale.
      Des contradictions qu’il ne résout pas ou alors à la marge, Merkel et le trio Sarko-Hollande-Macron étant Atlantiste et soumis à l’OTAN, donc sans danger.
      Brzezinski ne nous apprend pas grand chose en définitive, si ce n’est que l’Oncle Sam tire les ficelles de la géopolitique mondiale, soit par son soft power en amont, soit par sa suprématie militaire et technologique (hard power), soit politiquement par sa capacité d’emprise et de déstabilisation, le plus souvent via des organisations non gouvernementales, soit via des organismes internationaux (ONU, l’OMS etc…)

      Il nous apprend surtout que la politique US est prête à tout pour retarder le déclin de l’Empire et que les peuples, en définitive, ne sont pas grand chose, des sous systèmes vectoriels des Etats- nations placés sur le grand échiquier du multilatéralisme.
      Brzezinski, qui est devenu brutalement obsolète lors de l’élection « surprise de Trump », car sa vision géostratégique était inscrite dans la continuité du progressisme post Bill/Obama et que sa pleine reconnaissance reposait sur une victoire de Clinton pour capitaliser sur ses prédictions.
      Pas de chance, Trump nous rejoue le bilatéralisme et un retour à un conservatisme peu compatible avec la stratégie de l’isolement ou de contrôle de la Russie et de la Chine, principalement.

      En revanche, le vrai « génie » post Kissinger est, pour moi, Wolfowitz, dont je ne vais pas faire ici le panégyrique, parce que d’autres le feraient mieux que moi, mais juste rappeler que c’est lui qui a théorisé la doctrine post chute du mur de Berlin consubstantielle au passage d’une lutte contre le communisme à celle contre l’Islamisme, ennemi largement fabriqué pour déstabiliser le monde, dont l’Europe occidentale et sa forte composante musulmane.
      Mais pas seulement, car l’AIPAC, puissant lobby murmurant à l’oreille de l’administration y trouve également son compte, puisque la sécurité d’Israël dépend de l’engagement indéfectible US à ses cotés, l’Etat Hébreux ayant objectivement intérêt à ce que le conflit d’avec le monde musulman perdure, menacé par la démographie écrasante de ses colonies.
      En définitive, Wolfowitz est toujours d’actualité, ayant méticuleusement fini de tuer l’idée d’un panarabisme au profit d’un panislamisme bien plus facile quant à en désigner comme ennemi, ce que ne manquera pas de faire, le fameux Samuel Huntington dans son « choc des civilisations », qui n’est qu’une reprise choc de la doctrine Wolfowitz, mais dans le contexte post 11/09 et qui trouve une raisonnance particulière post Ben Laden, avec la montée de l’EI.

      En fait, Brzezinski, comme Wolfowitz, oublient surtout de dire que ce qui a infusé ces stratégies impérialistes, c’était alors la question de l’or noir.
      Et celle du pic pétrolier, dont certains affirment qu’il est passé, alors que d’autres le prédisent sur 2022 voire plus loin.
      La plus grande peur des US étant qu’un événement extéreur et donc par définition incontrôlable, fasse s’envoler les cours, car dans cette hypothèse, le dollar aurait explosé avec des conséquences sur les marchés domestiques mondiaux, dont celui des US, imprédictibles en terme de violence.

      D’ou le pétrole de Schiste en contre mesure

      Petite digression, sous Covid19, c’est la Russie et l’Arabie Saoudite qui ont trouvé un accord avec l’OPEP quant à ajuster leur production par rapport à la chute colossale de la demande mondiale, ce qui ne déplait pas à Trump, avec son pétrole de Schiste.

      Fin de la digression.

    • Quant aux sociétés plus contrôlées et prophétisées par Brzezinski, elles sont la conséquence du fait que mécaniquement, elles seront plus violentes, plus réactionnaires à cause des stratégies impérialistes sus citées et de la montée des tensions instrumentalisées.

      Cela étant dit, comme déjà formulé par ailleurs, le couple Foucault/Deleuze de l’école philosophique dite de la « French Theory » l’avait théorisé avant, pour d’autres raisons, certes, dans un passage du disciplinaire au contrôle imposé par la faillite des systèmes clos locaux et l’échec de ses plans de relance trop couteux.

      Bien entendu, la faisabilité est étroitement liée au progrès technique de surveillance, dont l’IA et les nanotechnologies, avec la démocratisation du GPS.

      French Theory sur laquelle s’appuient encore beaucoup d’universitaires US, de tendance démocrate, bien entendu.

    • J’avais oublié, mais cela va s’en dire, mon analyse n’a pas valeur de validation du cynisme des stratèges US sus cités, parce que si nous sommes en plein chaos, c’est aussi à cause d’eux, de leur influence et de l’alignement mortifère de nos élites Européennes à l’OTAN.
      Sans même évoquer le sociétal progressiste largement influencé par le marxisme culturel de l’école de Francfort, qui a infusé d’Europe jusqu’aux US, notamment dans le sphère démocrate, déstructurant les sociétés.

      Nous sommes déjà dans un monde Orweillien et post confinement, on entrera probablement dans un remake de la série le « Prisonnier », mais à très grande échelle.

      Bien à vous.

      • (le « Prisonnier », mais à très grande échelle.)
        je suis juste un numéro , s’était avant garde !!! de l’homme à marché sur la lune
        Hergé en parlait

        J’ai pas vu la fin , mais je suppose que le titre en lui même s’expliquait par lui même
        Comme flash s’était assez violent , sa date en plus 50 ans en avant

        • Super série supervisée par un ancien des services Anglais, selon la légende.
          Et puis McGoohan était hypnotique dans cette série très visionnaire !

  20. Au sujet de l’amnistie préventive cela me rappelle le parlement votant sa propre loi d’auto aministie sur les financements électoraux dans les années 80.
    Conclusion, il y a un vrai malaise avec la Vè République où les représentants « du peuple » non révocables et incompétents ne servent plus que leurs propres intérêts.

  21. (nos élites Européennes à l’OTAN.)
    En ce moment certain militaire vivent très mal le confinement et suppose une autre stratégie
    Comme quoi la guerre froide s’était juste du beurre
    La route de la soi à le vent en poupe dans le textile

    (Je ne suis pas un très grand fan de Brindezingue.)
    Perso je ne lui donnerais pas mon âme mais en général un polak ne trahi pas d’où s’est des super espion

    Voir le Pape je ne sait combien ? avec sa phrase culte , « n’aillez pas peur  » comparativement a celle de louis d’Armageddon
    « C’est un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité » : l’histoire cachée de la fancyfair

    J’ai vu que Brindezingue est mort on les confond toujours comme immortelle 89 ans franchement à se la perdurer comme relique mentale

    • Bien vu, Brzezinski est effectivement décédé en 2017 (j’avais même zappé cette info ! ).
      Notons que sur la question de l’influence de l’AIPAC et du panislamisme, il était à l’opposé des futures positions de Wolfowitz.
      D’origine polonaise, oui, mais pur produit universitaire US, ai vu qu’il est même passé par John Hopkins, la même qui nous balance des chiffres sur ses recherches concernant Cofvid19.

      « N’ayez pas peur » peut être interprété de deux manières :
      Soit d’un point de vue purement biblique (transfiguration) soit d’un point de vue mondialiste, un appel à l’humanité comme une invitation à « jouer » dans un plus grand bac à sable.
      Il faut resituer le contexte pour lequel Jean Paul II a lancé cet appel et là, il faut le reconnaitre, il a fait fort « ouvrez les frontières des États, des systèmes politiques et économiques, les immenses domaines de la culture, de la civilisation et du développement »

      C’était le Macron du Vatican avant l’heure !

      Il existe une thèse intitulée « Sa Sainteté » pour laquelle les auteurs soutiennent que Jean Paul II s’est allié au Deep state pour participer à la chute du communisme.
      Et devinez quoi, Brzezinski avait ses entrées au Vatican sous Karol Wojtyla.

      Plausible.

  22. Le président qui tournera son regard vers la Russie viendra
    Mais tourner son regard vers la Kaaba où l’est va être compliquer , question démystification s’est mal engagé
    Encore 1 siècle d’histoire à venir et ne rien changer ; juste peaufiner
    A voir que les jeunes sont con s’est possible voir Jérusalem comme capital , dans d’autre sphère s’est la naissance de l’Islam qui tourne son regard abrahamique vers l’est , voir l’hégémonie du grand jéhova selon son culte
    mais d’ici là je serait mort qui m’arrange très bien comme stupidité

    • « Le président qui tournera son regard vers la Russie viendra »

      Je ne crois pas.
      Le formatage est trop puissant, le soft power Antlanto-sioniste en empêche la possibilité politique.

      Pourtant, historiquement et continentalement, nous avons plus de points communs avec l’Ours qu’avec l’Aigle.
      Mais WWII, le débarquement puis la libération au nom d’un « idéal » sont des mythes toujours fondateurs et favorables au monde « libre », comprendre le monde capitaliste.

      L’inconnu pour l’hypnotique de la symbolique, le Panthéon pour l’ancrage collectif.

      Bref, vous savez déjà tout ça.

  23. La position scandaleuse du sinistre Claude Askolovitch concernant l’agression contre Eric Zemmour :
    https://www.valeursactuelles.com/societe/ils-sont-la-meme-inhumanite-claude-askolovitch-place-eric-zemmour-et-son-agresseur-sur-le-meme-plan-118889

    J’ajoute une chose ; Askolovitch parle aussi, dans sa réaction de « l’inculture » de Zemmour. Pitoyable Askolovitch !
    Je peux témoigner que Zemmour a une réelle culture historique. D’ailleurs, il suffit de l’écouter sur CNews du lundi au jeudi (de 19h à 20 h), quand il commente, entre autres, les très intéressantes interventions historiques de Marc Menant.

    On dira que j’apprécie à 80% les positions de Zemmour et ce serait pour cela que je parle de sa culture historique.
    J’ai montré sur ce blog que je suis souvent très critique contre Mélenchon, je l’apprécie peu.. En revanche, je considère aussi qu’il a une véritable culture historique, bien supérieure à celle de la plupart des autres politiques.

    • Réaction épidermique de PEPE, une de plus.
      C’était le but !

      PEPE, Askolovitch, il est situé ou dans la table libertario-identitaire de l’échiquier politique dont je vous avais parlé l’autre jour ?
      Allez, je vous aide :
      Cohn-Bendit, Askolovitch, BHL, Einthoven, Finkielkraut, Goldnadel, Zemmour, pour les plus connus en médiacratie, du plus libertaire ou plus réactionnaire (on peut chipoter sur l’ordre exact, mais c’est pour l’exemple.)

      Donc Zemmour occupe la chaise du « facho » de la tribu et se fait critiquer par les progressistes de la même tribu.

      Bad cop, good cop.
      On se réveille PEPE, tout ceci n’est que du théâtre.

      Et encore, je n’ai pas abordé les ambassadeurs incarnant les différentes postures de ces mêmes personnages.
      Ce n’est pas une question de compétences ou d’incompétences, c’est une question de postures (Mélenchon a un rôle central en politique, sans lui, il n’y aurait pas eu Hollande ou Macron au château.
      C’est le plus talentueux, car il possède la formation pour coloniser les cerveaux).

      Nous sommes manipulés de A à Z.

  24. je m’attache pas trop au personnage Eric Zemmour mais lorsque qu’il passe je ne le zappe pas car s’est juste , mais sur le fond même s’il est légitime j’ai toujours un doute dans son vis a vis
    Tout porte à croire qu’il à un livre à vendre, de plus il est loger à mauvaise enseigne (sa femme ) quoique très productif
    D’où il fait plein d’enfants

    J’aimerai bien croire au pseudo juif , mais ils ont toujours un tour dans le sac pour nous pirater notre sang ou notre attention faute de filiation à s’inventer des ambassadeurs.
    Voyez Robert Faurisson pauvre grand homme mourut , la même conviction historique et pourtant légitime et mourut dans le néant , comme Chopin

    • « de plus il est loger à mauvaise enseigne (sa femme )  »

      « Cherchez la femme et vous trouverez l’homme », comprendre le « coupable ».
      C’est vieux comme le monde, le pire c’est que c’est loin d’être une caricature, dans ce tribalisme autour du peuple Elu, la « mère » tient un rôle central dans l’éducation.

      Zemmour, pour les mises en perspective historiques, pour ses analyses politiques, mais je ne crois pas à la sincérité de son identitarisme affiché et revendiqué, c’est une posture sur l’échiquier politique parfaitement quadrillé, ainsi, la chaise n’est pas vide et surtout, n’est pas occupée par quelqu’un d’autre.

      Cela n’empêche pas qu’il aime une certaine France, je n’en disconviens pas.

  25. Je me souviens qu’au debut des années 60, etant enfant, j’ai été surpris qu’un monsieur avec un gros pistolet à la ceinture nous accompagne au college mon frere et moi; il est vrai qu’à cette epoque le fondateur de la V° republique n’etait pas lui-même à l’abri d’une rafale de FM !

  26. Malaise ? Litote ou euphémisme ?
    Lorsque le pouvoir prolonge l’Etat d’urgence pour préparer des contre-mesures législatives visant à l’amnistier, vous estimez que ce n’est qu’un malaise ?
    Et encore, je n’évoque pas la cellule « anti Fake corona news » montée en urgence…

    La véritable question n’est pas tant de savoir si nous sommes encore en démocratie, la question est de savoir si nous y reviendrons un jour.

    • Ma réponse était destinée à Castigat.
      Erreur de manip’ de ma part, désolé.

    • (La véritable question n’est pas tant de savoir si nous sommes encore en démocratie, la question est de savoir si nous y reviendrons un jour.)
      Je ne l’avais pas encore lu dans ce sens , encore faudrait il définir « démocratie »
      Cela me rappel Aurobindo Ghose.
      Lorsque quelqu’un lui posait une question , il renvoyait au sujet de la question et en demandait une définition

      • C’est une très bonne technique.
        Quant à la démocratie, sa pureté chimique n’est plus.
        Depuis que le peuple a altéré sa souveraineté en transférant son destin, donc son pouvoir, aux politiques.

        C’est une gouvernance et non plus une démocratie.

        Aujourd’hui, c’est une « administration » et non plus une gouvernance.
        Et j’ai bien peur que demain, ce sera bien plus qu’une administration.

  27. juge à la retraite j’ai toujours milité pour un statut du parquet clairement non magistrat et nettement dépendant

    • Distorsion cognitive.
      Les juges « debout » étant magistrats et dépendants de la chancellerie.
      Ou alors existe une subtilité qui m’échappe.

      Bien à vous.

      • « nettement dépendant ….juge à la retraite j’ai toujours milité
        S’est le parking à vieux ; un ehpadien mouroir de vivre

  28. juge à la retraite j’ai toujours milité pour un statut du parquet clairement non magistrat et nettement dépendant

  29. (Distorsion cognitive.
    Les juges « debout » étant magistrats et dépendants de la chancellerie.)

    m’est venu la sphère du sénat ???? comme malentendu

    Comme dab s’est moi qui ferme la causette

    • « Sénateur » est une dérivée de la racine « sénile » ou « vieillard » (j’ai vérifié).

      Au début, je n’avais pas percuté sur votre « parking à vieux ; un ehpadien mouroir de vivre »

      Vous êtes joueur !

      En théorie, le Sénat est sensé représenté une forme de sagesse lié à l’âge avancé de ses composantes.

  30. je vous donne un os , vu qu’il n’y à que des voyeurs sur se site par manque de talent de texte comme de maqué

     » « parking à vieux ; un ehpadien mouroir de vivre » »
    Le conseil des anciens qui renvoi à la nuit porte conseil
    D’où ma peinture viens « d’ailleurs »
    Le fait d’écrire est nuisible « Hors » comme or s’expose et « d’ailleurs  »
    Et puis la nuit porte au conseil qui coupe en deux temps de notre ligne magino sans parler d’aurore
    Vous me suivez ???
    De plus faudra composer avec la lune rousse du 8 au matin

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