Herrou n’est pas un héros. Laurent Fabius non plus

La relaxe prononcée la semaine dernière au bénéfice de Cédric Herrou par la cour d’appel de Lyon a été saluée par les belles âmes comme une grande victoire pour la vocation humanitaire de la France qui refuserait ainsi de sanctionner un « délit de solidarité ». Et dénoncée par le camp d’en face, comme une autorisation judiciaire donnée au « Grand remplacement ». Bravo les juges ont dit les uns, honte à eux ont dit les autres. Le problème c’est que cet arrêt ne mérite ni cet honneur ni cette indignité. Avant de revenir sur la mécanique juridique et judiciaire qui l’a permis, on va se permettre quelques observations sur la personne de Cédric Herrou et sur les raisons pour lesquelles il était poursuivi.

Herrou maillon volontaire de la chaîne

La France souhaite comme tous les autres pays du monde réglementer l’entrée et le séjour des citoyens étrangers sur son territoire. Sous la mandature précédente, face à la crise des migrants et l’augmentation de l’immigration, le Parlement français avait souverainement adopté un article L 622–1 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile ainsi libellé : « Toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irréguliers, d’un étranger en France sera punie d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 30 000 euros ». J’étais personnellement opposé à cette rédaction et à l’incrimination générale de « l’aide au séjour irrégulier ». Non parce que je voyais là, la création d’un inhumain « délit de solidarité », mais parce qu’il était insuffisamment précisé, au contraire de ce qu’exigent les textes répressifs Je souhaitais, pour ma part, que le texte soit revu, et les diverses hypothèses de faits considérés comme délictuels, détaillées. Les opposants au texte voulaient, quant à eux, que l’aide apportée au séjour sans sollicitation de contrepartie, c’est-à-dire la simple hospitalité bénévole, ne puisse constituer une infraction.  La loi n’ayant pas été déféré au Conseil constitutionnel, elle était donc applicable dans cette rédaction et c’est sur cette base qu’un certain nombre de personnes ont été poursuivies et en particulier le très médiatique passeur Cédric Herrou porté au pinacle par les peoples et les belles âmes. Le problème c’est que Cédric Herrou, est un activiste « no border » et n’a jamais caché son alignement sur la volonté du néolibéralisme de libre-circulation des capitaux des marchandises et des hommes. Il est bien sûr libre de cette conviction qu’il n’est pas le seul à partager. Mais ses multiples interventions militantes illégales font partie intégrante du système mis en place pour cette nouvelle traite humaine. Qui commence avec des rabatteurs dans les pays en cause, passe par toutes sortes de mafias, se poursuit avec l’acheminement de leur cargaison de malheureux par des O.N.G. financées par de grands intérêts américains, et l’utilisation de réseaux organisés pour passer les frontières, en finissant avec les cours de morale aux citoyens français dont toutes les études d’opinion nous démontrent qu’ils ne sont pas d’accord.

S’acheter une bonne conscience avec la misère des uns et l’argent des autres

 Cédric Herrou maillon de la chaîne de ce qu’il faut qualifier de trafic, fait partie de ceux qui après avoir offert, des facilités à ces déracinés rêvant d’eldorado, se désintéresse de ce qui pourra leur arriver par la suite. Une fois le passage effectué, il semble bien se moquer de ce qui arrivera aux malheureuses récupérées, et ensuite asservies par les réseaux de prostitution ou aux malheureux qui à la rue dans le 18e arrondissement de Paris basculent dans la drogue et la délinquance. On n’a guère entendu sa compassion ou ses excuses pour avoir lancé des dizaines et des dizaines de personnes dans la plus extrême misère pendant le confinement. Parce qu’on veut bien s’acheter une bonne conscience mais d’abord avec la misère des migrants et aussi avec l’argent des autres, c’est-à-dire celui de la collectivité. Les Français à qui on n’a rien demandé, doivent payer, les Français paieront. Et bien évidemment, cet afflux pèse lourdement sur les finances publiques, comme par exemple les services de protection de l’enfance. Qui sont perclus de demandes de prise en charge de « mineurs non-accompagnés », hélas pas toujours mineurs loin de là. Cet afflux grève le budget déjà misérable de la protection de l’enfance gérée par les départements de plus de 2 milliards d’euros par an. On notera qu’on trouve souvent les catholiques en première ligne qui nous rabâchent l’exemple de Saint Martin, le légionnaire romain, et son manteau coupé en deux pour être donné à un pauvre. En oubliant scrupuleusement de nous rappeler le pourquoi de cette division. Eh oui, Martin, qui n’était pas généreux avec l’argent des autres, ne pouvait disposer du manteau, car la moitié conservée appartenait à l’État romain.

Par conséquent l’organisation de son activité de passeur par Cédric Herrou ne peut pas paraître honorable parce que d’abord l’on sait très bien qu’il n’y a pas d’acte gratuit. Et qu’ensuite il faut dépasser l’hypocrisie : le choix militant d’aider illégalement comme il le fait au passage des migrants est une décision à caractère politique.

Quand le Conseil constitutionnel confisque la souveraineté du peuple

Alors comment se fait-il qu’il n’ait pas encouru les foudres de la loi et bénéficié d’une relaxe devant la cour d’appel de Lyon ?

Grâce à une manipulation réalisée le 6 juillet 2019 par le Conseil constitutionnel présidé par Laurent Fabius et saisi par voie de Question Prioritaire de Constitutionnalité par des personnes poursuivies en application de l’article L 622–1 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile. Visant la sanction d’aide au séjour irrégulier sans recherche de contrepartie, la cour suprême a déclaré contraire à la constitution les mots « au séjour irrégulier » figurant au premier alinéa de l’article L. 622-4 du Code. C’est donc ce que ses adversaires appelaient le « délit de solidarité » qui a été déclaré inconstitutionnel. Bafouant à cette occasion la volonté pourtant très claire du peuple français exprimée par ses représentants.

Pour faire ce cadeau aux belles âmes, le Conseil constitutionnel a trouvé une astuce. Se livrant à cette occasion à une petite opération qui se situe dans le droit fil d’une évolution qu’il a initiée depuis déjà un moment et qui consiste à vider de sa substance l’article 3 de la Constitution française. Celui qui affirme : « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice ». Rien dans la Constitution ne pouvait prohiber la création législative du « délit de solidarité » en tant que tel. Alors, dans les couloirs de la cour suprême, on a eu une super idée. L’article 2 de la Constitution proclame tout un tas de jolies choses et rappelle la devise de la République : « La devise de la République est « Liberté, Egalité, Fraternité ». » On va simplement dire qu’une devise a une valeur normative obligatoire et que par conséquent la « fraternité » est un principe constitutionnel. Tout ce qui, dans la loi, pourrait être contraire à la fraternité doit donc être prohibé. La grossièreté de la manipulation saute aux yeux. Quelle définition de la fraternité, quel contenu ? Est-elle réservée, ce qui serait logique, aux citoyens français ? Une fraternité universelle ne constituerait-elle pas un bel oxymore ? Quand et comment porte-t-on atteinte à la fraternité ? Tout ceci serait au plus ridicule si cette démarche du Conseil constitutionnel n’était dangereuse pour la démocratie. Les lois votées par le Parlement entretiennent un rapport de conformité, c’est-à-dire de non-contrariété, avec la partie normative de la Constitution, le contenu qui organise le fonctionnement de la République.

La cour d’appel de Lyon avait donc compétence liée et ne pouvait prendre une autre décision que celle de la relaxe.

Depuis quelques années, le Conseil a donc systématiquement mis en œuvre cette technique consistant à intégrer à la Constitution, dans sa partie normative, tout un tas de choses qui n’avaient rien à y faire. Avec toujours l’objectif de limiter l’espace de l’exercice de la souveraineté populaire. Donc, pour faciliter l’aide militante à ce qui s’apparente à une nouvelle traite humaine à laquelle les citoyens français sont opposés, « les sages » n’ont pas hésité. Au-delà du coup médiatique, ils ont encore une fois utilisé une manipulation et un forçage qui sont gros de dangers. L’enjeu de cette affaire n’est pas la censure d’un article répressif mal rédigé, mais la méthode qui conduit inéluctablement à renforcer les pouvoirs du Conseil au détriment de la souveraineté populaire.

Actuellement pour sa politique minoritaire, Macron dispose de « ceinture et bretelles ». Un parlement croupion et enrégimenté, et au cas où une nouvelle majorité arrivait à l’Assemblée, un Conseil constitutionnel présidé par Laurent Fabius à sa main, transformé en législateur.

L’alternance risque de devenir compliquée…

Régis de Castelnau

75 Commentaires

  1. L’alternance ne risque pas de devenir compliquée, il ne peut tout simplement plus y avoir d’alternance!
    En janvier 1793 l’alternance s’est produite alors qu’elle était aussi compliquée, sinon plus, qu’aujourd’hui; en disant cela je ne cautionne absolument pas les révolutionnaires mais quand il n’y a plus de moyens démocratiques à la disposition du peuple (c-à-d la démocratie), alors tout devient possible!

    • Alors que la cour constitutionnelle allemande rappelle la primauté de l’expression de la nation au moyen de procédures démocratiques sur toute autre source de droit, « notre » Conseil Constitutionnel tord les règles pour installer au coeur de notre système juridique une vision du monde circonstancielle qui continuera durablement à libérer son poison au fil de décisions rendues par des juges captifs.

  2. [L’alternance risque de devenir compliquée…]

    Pas forcément. Rappelez vous de Gaulle qui a organisé un référendum sur l’élection au suffrage universel.
    Personne, pas même au conseil constitutionnel, n’en voulait. Mais une fois que le peuple s’est prononcé directement, impossible de faire marche arrière.

    Et je pense en effet qu’une éventuelle nouvelle majorité, qui voudrait réellement changer de politique, serait contrainte à un usage très fréquent du référendum…

    • Pour être précis, c’est l’élection (présidentielle) au suffrage universel direct. Les lecteurs votent pour les candidats à la Présidence. Dans le texte initial de 1958, le Président était élu par un collège de grands électeurs (élus locaux et parlementaires) eux-mêmes élus par l’ensemble des citoyens. Donc, au suffrage universel aussi, mais indirect.
      Ce fut, à mon avis, une mauvaise idée du Général. Mais c’est une autre question.

      • C’est effectivement l’essentiel de la catastrophe que nous vivons depuis 60ans.
        Cette election au suffrage universel direct introduit de facto une concurrence de legitimité avec les seuls autres elus de cette maniere : les deputés qui, seuls, devraient avoir l’initiative des lois.

        • Concurrence de légitimité… mais une possibilité de sanction offerte au peuple de la politique menée. Alors qu’avec l’inversement du calendrier électoral les législatives et les présidentielles ne sont qu’une même élection destinées à faire appliquer le programme du candidat présidentiel.

  3. C’est amusant de voir comment la figure de Herrou fait disjoncter les meilleurs esprits: conspirationnisme à tous vents, circonlocutions juridiques aussi sophistiques que les positions critiquées, fétichisation du droit devant des réalités nouvelles (les migrations ) et que n’arrêteront pas les lois, d’esprit populiste, prises par des majorités godillots sous la direction de successifs gouvernements stupides et lâches, enfin le recours au topos rhétorique qui a des chances de marcher à (presque) tous les coups: la dénonciation des « belles âmes » au nom d’un réalisme de granit.
    Dommage, la question absolument légitime et aux enjeux pratiques fondamentaux de l’entrée et du séjour de populations mises en branle par les causes économiques, politiques et militaires bien connues, mérite un travail juridique et politique, au-delà des agitations de la farandole médiatique où c’est celui qui met les rieurs de son côté qui a gagné contre les revendications des « belles âmes » niaises et niaisement agitées par les orphelins des combats des droits de l’homme.

    • Cher Monsieur Bourdin,
      En fait, que ce soit Mr. Herrou, dont je ne connaissais même pas le nom, tout comme d’autres, je n’en ai pas trop rien à faire, que peut être un pion sur l’échiquier sinon d’être remplacé une fois usé?
      Il m’en est de même pour ce qui vous concerne si, comme je le conçois, vous êtes le personnage, et non pas la personne, qui fait émission à la télévision: vous n’avez d’importance réelle que de celle que vous vous portez, sans plus ni moins.
      Vos prises de positions n’ont de valeur que de celles seulement du citoyen que vous êtes, au même titre que les miennes d’ailleurs ou de celle de notre Président de la République.
      Chacun a un rôle social, ce qui est le fait de chacun d’entre-nous, or le principal ne serait-il pas de savoir si ledit rôle est ou non convenablement rempli?
      il se dit encore de temps en temps qu’il faut faire tomber les tabous, ce qui est bien étrange aujourd’hui où, les tabous sont légions, il ne suffit que de comptabiliser ce dont on parle et ce qui est tu, vous remarquerez que, dans le billet de notre hôte le terme d’Union-Européenne n’y est pas écrit, or, quoique nous pensions d’elle, la libre circulation des capitaux, des personnes et des biens provient des traité idoines, vous ne pourrez le nier.
      Nous pouvons en conclure que l’union est tabou, le tout s’agissant de définir pourquoi.
      Certes, il en est fait mention, mais ce n’est que, à la suite que d’une série de critique acerbe eut lieu à son sujet, qu’en réaction elle se décide d’agir, que, dans les médiats nous est fait remarqué ce fait.
      Et non pas pour tout autre sujet, comme il en est des GOPE par exemple, qu’il y aurait-il à cacher de ne jamais aborder ce sujet sous tous ses angles?.
      Il y a une autre sorte de tabou, celui interdisant à quiconque d’exprimer des avis inverses à la doxa collective.
      Ainsi me suis-je amusé d’entendre de la bouche d’un infectiologue au sujet du SRAS-COV-2 que: « Si on a un certitude on est plus scientifique », la même, ensuite, parlant plus loin dans la vidéo du réchauffement climatique anthropogénique comme étant une certitude (le nom d’une fonction étant neutre, il se doit au masculin).
      Ce sont ces incongruités qui me font réflexions, ces silences, ces paradoxes et ces contradictions.
      Il y a des incohérences dans vos croyances, ce n’est pas à moi de vous les montrer, cela pourrait vous être dangereux, déjà ce que je viens d’écrire peut vous déstabiliser gravement: il n’est pas bon de jouer avec l’esprit des gens.
      La preuve en étant l’imprécision de votre commentaire, ce qui montre votre fragilité face à un billet qui, ma foi, ne casse pas trois pattes à un canard( coin, coin ) quand à la remise en question de vos présupposés.
      Alors imaginez donc que j’aille plus loin que seulement là où nous en sommes, en somme.
      D’ailleurs si je vous le précise c’est justement pour en atténuer les effets probables, mais je n’ai pas de crainte, en cela, pour Mr. Castelneau.
      Et puis, la légère agressivité dont j’ai fait preuve ici n’est qu’en réaction de votre unilatéralité dogmatique récurrente, n’ai-je donc pas le droit, aussi de mes petites agaceries?
      Un conseil pour finir, demandez-vous si oui ou non l’UE€ peut perdurer ad vitam eternam, en effet, accompagnant mes parents communistes en RDA, j’y avais rencontré un officier supérieur le l’armée de l’Allemagne de l’Est à la retraite, ami de mes parent, décédé d’une crise d’asthme peu après la chute du mur de Berlin, le manque d’air peut avoir un sens symbolique, n’est-ce pas?
      Mais bon, tout conseil ne vaut que ce qu’il vaut, à chacun ensuite d’en faire ce qu’il veut.
      Bien à vous.

    • Oui, visiblement vous n’avez rien compris, ou plutôt vous avez juste saisi les éléments qui contrarient votre fétichisme intellectuel.
      Dans ce billet, il n’est pas question du positionnement politique de cet activiste qui semble rencontrer votre sympathie un chouïa embarrassée, mais de l’effondrement des normes structurantes d’une société, la notre.

  4. Félicitations pour la précision de l’analyse juridique;Vous êtes un orfèvre, et cela nous change des perpetuelles approximations des « docteurs de la loi » qui pontifient dans la presse.

  5. le système est en effet verrouillé de tous les côtés, il y a totale confusion des pouvoirs aux mains d’une oligarchie financière animée de la même idéologie sans-frontiériste. Pour rendre le pouvoir au peuple il faudrait nettoyer tous ces organismes soi-disant juridictionnels et en réalité, politiques. Le CC est une véritable caricature et ses décisions (depuis longtemps) empreintes d’idéologie. Des principes philosophiques n’airaient jamais dû obtenir une valeur normative : le ver est entré dans le fruit lorsque le CC a introduit le préambule et la DDHC dans le bloc de constitutionnalité. Dès lors tout est possible et on peut justifier n’importe quoi. C’est du sophisme pur jus.
    Merci Me de Castelnau pour votre action courageuse.

  6. Les français laissent faire ….. Encore en liberté surveillée après la privation de liberté (pompeusement nommés déconfinement et confinement) ils semblent n’être intéressés que par une seule procuration : les vacances !!! Où, quand, comment….. allons nous partir ???
    La France est tirée vers le bas par les politiques successives d’une bande d’incompétents qui n’ont aucun respect ni pour les anciens morts sur les champs de bataille ou après être entrés en résistance contre l’ennemi, ni pour les fondements de notre république : Constitution et Droits de l’Homme et du Citoyen.
    Les français vivent LEUR quotidien et abandonnent leur sort à des politiques qui n’ont aucun respect pour eux.
    Pourquoi ne réagirions nous pas en ne leur laissant qu’un choix : nous écouter comme évoqué sur le site que j’ai créé : laplumeducitoyen.politicien.fr ou laplumeducitoyen.wordpress.com

  7. Votre billet confirme ce que je dis depuis déjà un certain temps

    Un gouvernement qui voudrait agir pour l’intérêt de la France et du peuple Français doit commencer par mettre hors d’état de nuire :
    – le conseil constitutionnel
    – le conseil d’état
    – une partie de la magistrature, celle qui fait passer son idéologie avant son devoir de rendre justice

    Comment y parvenir ?
    L’utilisation du référendum en application de l’article 11 de la constitution est-il possible ?

  8. Cher Maître : Pouvez-vous tout d’abord corriger l’erreur de date de la décision n° 2018-717/718 QPC qui est du 6 juillet 2018 et non 2019 ? Ensuite l’Académie Française définit une devise comme une « Formule concise affirmant les idéaux et les symboles choisis par un groupe, un gouvernement, un État, etc. » Et, comme le constituant a choisi de placer notre devise dans le texte même de la loi fondamentale en son article 2, au même titre que la langue, le drapeau, l’hymne national, et le principe de notre gouvernement (devenant pour vous avec quelque malveillance simplement de « jolies choses »), croyez-vous sérieusement qu’en droit (vos idées politiques, elles, ne dépendant que de vous) on puisse contester le bien-fondé de la décision qui, sans aucune « astuce », dit que la « fraternité » est bien un principe constitutionnel ? Ou alors faut-il jeter aussi aux orties la liberté et l’égalité ?
    « Quelle définition de la fraternité, quel contenu ? Est-elle réservée, ce qui serait logique, aux citoyens français ? » dites-vous, or le Conseil constitutionnel vous a répondu par avance: « Il découle du principe de fraternité la liberté d’aider autrui, dans un but humanitaire, sans considération de la régularité de son séjour sur le territoire national. » Autrui peut être un étranger.
    Le Conseil constitutionnel juge aussi, si là est la cause de bien des aigreurs, qu’ « aucun principe non plus qu’aucune règle de valeur constitutionnelle n’assure aux étrangers des droits de caractère général et absolu d’accès et de séjour sur le territoire national. En outre, l’objectif de lutte contre l’immigration irrégulière participe de la sauvegarde de l’ordre public, qui constitue un objectif de valeur constitutionnelle. »
    Par ailleurs si l’on considère avec vous que c’est bafouer « la volonté pourtant très claire du peuple français exprimée par ses représentants » dès lors qu’une loi est censurée, quel rôle accordez-vous au Conseil constitutionnel s’il ne saurait avoir de chrysanthèmes à inaugurer ? Seriez-vous donc partisan d’un régime de dictature d’assemblée ?

    • Si on suit votre raisonnement le bleu, le blanc et le rouge ont valeur Constitutionnel et quiconque ne se vêtirait pas dans ces couleurs seraient condamnables. Il faut arrêter avec les interprétations filandreuses de la Constitution et de la déclaration de 1789 élaborée dans un certain système de pensée et de connaissance et que l’on brandit tous les jours plus de 200 ans plus tard. De surcroît une QPC sur une loi de 2018 pose tout de même le principe du respect du vote parlementaire et autant supprimer tout de suite les dispositions constitutionnelles très encadrées notamment en terme de délai de saisine du CC

    • Cher Mr. Venutar,
      Je ne comprends pas, vous dites que le drapeau français est bleu, blanc, rouge, que cela est inscrit dans la constitution, cela voudrait-il dire que d’afficher celui bleu aux douze étoiles d’or dans les lieux officiels serait anticonstitutionnel?
      Vous portez là, me semble-t-il, deux poids, deux mesures, soit vous fustigez notre hôte et faite de même au sujet dudit drapeau, ce qui est de votre droit, il est vrai, mais est aussi manifestement contradictoire, soit vous nous expliquez en quoi se trouve la logique de votre approche.
      Bien à vous.

    • J’avoue avoir la flemme de faire de longues recherches à caractère historique. Si la notion de fraternité a été plus ou moins envisagée dès 1789, elle n’a été mise dans la devise républicaine qu’en 1848. Ce délai me semble la marque de la difficulté de la définir précisément.

  9. N´en déplaise à certains j´insiste encore, profitant de l´occasion qui m´est donnée, pour rappeler que , l´élection présidentielle de 2017 n´a pas été régulière ni conforme à la loi électorale ni à notre Constitution.
    En effet la loi électorale prévoit l´interdiction de la diffusion de fausses nouvelles sur un candidat, ce dont a été la victime Mr.Fillon, et notre Constitution bafouée par le pouvoir éxécutif ( Hollande ) qui a violé la séparation des pouvoirs.
    Par conséquent Mr.Macron n´est qu´un imposteur élu irrégulièrement.
    Son ami le socialiste Fabius président du Conseil Constitutionnel doit être poursuivi pour manquement à sa fonction qui est de faire respecter la Constitution, ainsi que le président de la république coupable Mr.Hollande.

  10. Cher Maître,
    Toute votre argumentation est bâtie sur ce faux postulat:
    « Cédric Herrou est un passeur [de migrants] »
    Ce n’est pas le cas, il héberge ceux qui sont passés. Votre argumentation, cette fois, ne tient pas.
    Cordialement

    • Les questions, cher Monsieur De Buttet, porte, au sujet de l’immigration, autant de ses raisons, de ses effets politiques sur le pays que de ceux à qui cela profite.
      Notre pays, la France, est ruiné si l’on considère que ce qui fait la richesse d’une nation ce sont ses production industrielles, agricoles et minières, la monnaie ne devant être que le vecteur de cette richesse.
      D’ailleurs il est de fait que la notion d’inflation fut découverte ici lors de la guerre de 14/18 où l’état, pour pourvoir aux armements fit comme cela se dit, tourner la planche à billet.
      Vu qu’il n’y a plus que 12% d’ouvrier en France contre 30 en République Tchèque et 23% en Allemagne, 20% en Pologne, il ne peut qu’être considérer qu’à juste titre que notre beau pays n’est pas la seconde puissance économique de l’Union-Européenne mais vers la dixième place environ.
      Dès lors que nous nous devons de faire des économies, il serait cohérent de considérer que se devrait être ladite république qui assume la majorité de cette immigration, tant en présence que financièrement.
      Sauf à ce que d’autres questions se posent sur ce sujet qui, sinon, se révèle en plein contradictoire.
      Serait-ce parce que, par exemple, le français serait le moins raciste de tous les autres peuples composant l’union?
      Mais allons au-delà je vous prie.
      En psychologie la notion d’identité, dans son sens large, est première.
      L’identité sexuelle, homme ou femme, d’âge, jeune ou vieux…, mais aussi de celle de sa patrie avec, lié, celle des frontières est primordiale pour la stabilité psychique des gens.
      La preuve en étant que quand bien même serions-nous au sein d’une Union-Européenne, la météo des médiats ne concerne juste que la France, ce qui montre bien qu’en réalité personne n’y croit, même dans l’oligarchie.
      Alors et dès lors la seconde question tombe sous le sens: cette immigration ne serait-elle pas une manigance pour déstabiliser la population?
      Vous savez, le plus amusant, c’est que, d’après Emmanuel Todd, un pourcentage significatif de gilets jaunes et de policiers votèrent pour RN, gilettistes pour qui nombre de chanteurs de rap banlieusard firent des chansons., immigrants, fils ou petits fils d’immigrés.
      Ne trouveriez-vous pas ça intéressant?
      Bien à vous.

      • Cher Maître,,
        J’entends bien vos arguments sur l’immigration et les problèmes que cela pose, un peu partout dans le monde.
        Je regrette de devoir constater que nous (les pays capitalistes/ex colonialistes occidentaux) n’y sommes pas étrangers, de par les choix que nos pays font en mettant des marionnettes corrompues à la tête de ces états, pourvoyeurs de migrants.
        Merci de votre réponse. Mais vous omettez de répondre à ma question, qui est celle fondamentale – me semble-t-il – dans la démonstration que vous faites, comme d’habitude brillamment, du statut de passeur que vous attribuez, à mon avis, à tort, à Cedric Herrou.
        Cordialement,

        • Si j’ai bien compris, autrefois on colonisait ces pays (africains pour la plupart) et on les pillait; et aujourd’hui, 60 ans après on met des dirigeants corrompus à leur tête; même en Algérie ou d’autres démocraties de cet acabit; bref, on n’a pas fini de nous repentir!

          • Bonjour Madame ou Monsieur,
            Vous avez mal compris : il ne s’agit pas là de repentance mais d’actes que nous faisons encore, en protégeant des potentats (Niger – uranium) ou Tchad (Lybie) ou encore centre Afrique ou Togo dont nous sommes les « parrains » et qui permettent à nos états d’y faire des affaires douteuses (demandez à Bolloré comment il obtient la gestion des ports….

          • Vous pouvez aussi demander aux Chinois!
            On fait aussi, et on l’a fait dans le passé, des affaires avec plein de dictateurs; c’est aux Africains de se « démerder » tout seuls car lorsqu’on intervient chez eux actuellement (Mali) on est considéré comme des envahisseurs; comme dirait Zemmour, et il a raison, c’est la France qui est envahie! S’ils doivent se battre contre des rébellions internes il faut effectivement peser pour qu’ils libéralisent leurs pays mais aussi leur fournir des armes et les inciter à se battre eux-mêmes contre les rebelles plutôt que de demander l’asile politique en France.

  11. La confusion des mauvais sentiments vous égare, ça sent la haine.
    Gare aux haineux impénitents.
    Avia vous guette

  12. L’alternance n’existera pas. Macron fera en sorte qu’elle disparaisse.

    • @ Arnaud vous soulevez 2 questions.
      – la 1ere : y a t’il une politique d’alternance en France.
      Réponse de ma part . Oui, elle est possible à condition de se débarrasser des dogmes de la Mondialisation chère à notrte élite européiste qui détruit la France depuis la mort du président Pompidou.

      – la 2 ème : Macron fera t’il tout pour qu’elle disparaisse ?
      Disparaisse peut etre pas mais la noyautée , oui.
      Il faut retourner dans le passé pour comprendre l’attitude de Macron proche du comportement du roi Louis Philippe 1er.
      A la chute de l’Empire ; une Charte constitutionnelle est  » octroyée  » par le roi Louis XVIII le 4 juin 1814. C est l’ instauration d’une monarchie constitutionnelle proche du systéme anglais de l’époque.
      Suite aux évenements des 3 Glorieuses du 27-28-29 Juillet 1830 la Restauration tombe pour laisser place à la Monarchie dite de juillet.
      Hors, malgré l’instauration du charte additive le 14 aout 1830 , cette monarchie bourgeoise disparait en 1848 . Une des raisons de cette chute est que Louis Philippe VIOLE la constitution de sa propre charte.

      En conclusion à force de bidouiller la constitution de la V ème République ou de prendre les gens pour des cons malgré l’abrutissement des masses cela risque de mal finir. Sutout avec la crise économique qui s’annonce.

    • Dans votre commentaire en lien, vous avez écrit:: « il intègre la « conformité » à la devise de la République ». La « fraternité », plutôt, non ? Bon, on a compris.
      Ceci étant dit, je suis d’accord avec le fond du commentaire.

  13. Et c’est ainsi que Me de Castelnau ne sera jamais la grande voix qu’il aurait pu être. Comment s’en étonner ? Peut-on frayer avec Atlantico ou Causeur sans avoir au plus profond de soi une fêlure irréparable ? Défendre le délit de solidarité (qui rappelle tellement l’interdiction de soigner des résistants imposée aux médecins par leur Ordre) c’est se ranger dans une catégorie qui… Allons, pas de grands mots. J’ai trop de sympathie pour Me de Castelnau pour retourner le couteau dans la plaie. Et de toute façon, il se contrefout de ce qu’écrivent ou pensent les lecteurs de son blog.
    Une chose est sûre, au Front Populaire, il sera en bonne compagnie avec des Sapir ou des Pina. D’entrée, ces choix et quelques autres scellent l’échec de l’opération. En tout cas, ils garantissent que l’affaire se fera sans moi, ce que je pressens depuis le début.
    Une dernière chose : si c’est cette brochette-là, l’alternance (avec Onfray comme chef de cuisine), je préfère encore Macron.
    PS : Je n’ai rien d’un Bisounours à propos de l’immigration. Comme souvent, c’est un sujet complexe sur lequel les opinions sont nécessairement divergentes. Là, nous ne sommes plus dans la politique, mais dans l’obsession.
    PS2 : Inutile de me dire que la « non assistance à personne en danger » est aussi une invention de Vichy (celle-là pour forcer ces mêmes médecins à soigner les occupants blessés), parce que je le sais. Si c’est possible, ne nous enfonçons pas davantage dans l’infamie.

    • Ce qui est pratique avec les questions migratoires c’est que des deux pauvretés, celle de ses semblables et celle des gens différents, préférentiellement à la peau bronzée et noire, c’est qu’il est possible en même temps de se détester soi-même en projetant sur l’autre cette haine de soi en laissant la police tabasser les manifestants, ces infirmière applaudies il y a peu encore,, et en même temps de faire du racisme par antiracisme en considérant, non pas comme malheureux tous les malheureux, mais en ne pouvant pas concevoir qu’un blanc puisse être malheureux en un biais cognitif magistral.
      Ce racisme détourné sous forme d’un antiracisme militant a un nom, le doudouisme.
      Là où j’habite il y a des SDF tous blanc bon teint bien français, vous en préoccupez-vous en, non, par ce que vous ne pouvez pas le concevoir, cela vous est impossible.
      Mais savez-vous ce qui m’amuse le plus?
      C’est que ce biais cognitif, partagé par énormément de monde en un grand nombre de variable, multiforme et multifactoriel, personne ne veut le voir parce que les forces inconscientes en jeu sont devenues plus puissantes que celles conscientes.
      Vous ne pouvez pas conceptualiser ce à quoi nous avons affaire en terme d’inconscient collectif, la croyance religieuse en l’Union-Européenne en étant que l’un des infimes effets de causes qui vous dépassent.

      • L’aide c’est bien, quand on peut et quand on veut.
        Or, d’une part les français ne veulent plus.
        D’autre part, financièrement, ils ne peuvent plus non plus.

        Par ailleurs, il faudrait lever le voile sur ce que nous coûte cette solidarité imposée, très concrètement, et ce que nous a coûté aussi l’immigration ces quarante dernières années. Certaines personnes prétendent que le coût de l’immigration équivaut à notre endettement.
        Autrement dit, on se serait endetté pour accueillir, on aurait endetté nos propres enfants pour accueillir, ce qui est très grave. Car si nos gouvernements sont si prompts à se soucier des autres, quel autre pays se souciera du sort de nos enfants ?

        Nous sommes coupables d’avoir dilapidé ce qui revenait à nos enfants.
        Et certains membres de notre gouvernement sont coupables de s’enrichir sur le déplacement des populations, quand ils devraient, au contraire et à leur échelle, oeuvrer à la stabilité de ces pays afin que leurs populations y restent. Il n’est jamais bon de favoriser le déracinnement : les gens ont une âme, une identité, une terre et des ancêtres, les en extraire, c’est les soumettre à la volonté toute puissante du Marché, qui saura les exploiter là où ils se trouvent, là où ils se rendent.

        Pour finir, il est évident que toutes ces injustices commises à l’égard du peuple français vont mener à des conflits : comment un peuple pourrait-il donc accepter indéfiniement cela ? Qu’on le dépouille de ses biens et qu’on lui extorque le fruit de son travail pour financer ce vol ?

        Afin d’éviter les tensions à venir pour tout le monde, il est temps de se montrer responsables et d’arrêter de vouloir jouer aux héros avec l’argent des autres : personnellement, je souhaite transmettre à mes enfants ce que j’ai reçu de mes ancêtres, et non pas des valeurs de soit disant « fraternité » qui font en réalité, sur le moyen et long terme, le malheur des peuples et le bonheur de ceux qui les exploitent. Que chaque pays se reprenne en mains : chaque pays a des responsabilités vis à vis de son peuple, on ne peut pas demander aux européens d’assumer toutes les conséquences pour tout le monde, comme on ne peut pas non plus leur demander de sacrifier toute leur économie et leurs propres enfants. Car ceci n’a strictement rien « d’humanitaire », ni dans la démarche ni dans les faits.

      • Faisons de la politique voulez-vous, cher Paul, et analysons la situation de ce seul fait.
        Ad minima sur le point sanitaire, les immigrés qui sont sur notre sol doivent en être pourvu, ne serait-ce qu’en cas d’une même crise que celle-ci en pire, nous ne nous retrouvions pas avec des foyers épidémiques incontrôlables: les rats amènent la peste, ne l’oublions pas.
        Il est évident que cela se doit mieux encore pour les plus pauvres d’entre-nous, ne la jouons pas comme les étasuniens.
        Nonobstant cela, nous ne pouvons pas poursuivre une quelconque politique de la nation sans que notre souveraineté pleine et entière soit établie au sein de nos frontières, ce qui est loin d’être d’évidence pour tous.
        La libre circulation des biens, capitaux et personnes, en étroite corrélation d’avec les traités définissant l’Union-européenne, nous en empêche, que celui qui est en désaccord avec çà en discute ici avec moi, que nous rigolions un peu.
        Ceci accentué dans le même temps par un ensemble idéologique accepté par tous les partis politiques siégeant dans les assemblées délibératives, des GOPEs devenus obligatoires depuis quelques années au risque sinon d’amendes pour les pays qui ne les respecteraient pas.
        Parce qu’il faut l’accord de tous les chefs d’état et de gouvernement pour réformer l’union, celle-ci est, de facto, irréformable et, en raison même de ce fait, vouloir la réformer et en être dans la capacité ne peut que mener mécaniquement à son autodestruction en raison des désaccords tant politique, économiques, monétaires, géopolitique et géostratégique qui ne peuvent que survenir en ce cas.
        C’est bien parce que Monsieur Gorbatchev avait voulu réformer l’Union-Soviétique que l’URSS explosa en vol, ceci en raison d’un mécanisme purement automatique.
        Pour faire vite, trois forces apparaissent et se combattent, réformatrice, conservatrice et contestataire du système, ce dernier, en raison des tensions politiques s’accumulant tendant à devenir extrême.
        Dès lors, soit l’on veut que le pays reste dans l’UE, mais en ce cas les questions d’immigrations ne se posent plus, sauf à ce que l’on reste dans la rêverie ou le mensonge, soit l’on veut vraiment régler les questions d’immigrations, qui sont toujours très complexes (je suis petit-fils d’immigré), auquel cas il ne peut y avoir d’autre moyen que d’en sortir.
        Pour l’instant, toute autre prise de position sur ce sujet ne peut que se retrouver, en toute logique, caduc.
        Je me dois de préciser la chose suivante:
        A cause de l’unilatéralité idéologique de la classe politique officielle, soit celle siégeant à l’Assemblée Nationale et au Sénat, à quelques détailles près, cela va de soi, les notions de gauche et de droite, qui, historiquement, étaient liées à la relation au pouvoir du temps, royauté, bourgeoisie, religions, militarisme, capitalisme et autres… n’ont plus cours.
        Les droites étant définies dès le début comme appuyant ledit pouvoir, la gauche luttant contre, le centre étant la recherche d’équilibre entre ces deux perceptions, à l’image de la sociale-démocratie d’antan.
        Puisque considérant que, désormais, c’est l’Union-Européenne qui détient les pouvoirs sur la nation, à quelques détailles près là encore, et qu’elle est de fait irréformable, sauf à la détruire, que, de plus, siègent aux assemblées délibératives que des personnes ne remettant pas en cause l’union, puisque la remettre en question lui est destructeur.
        Nous ne pouvons donc en conclure que tous ces partis politiques que nous pouvons dire officiels sont de droite, ceci d’autant plus de leur unilatéralité doctrinale, donc du RN au PCF en passant par FI le PS, EELV, l’UDI, LR et bien sûr le REM des radioéléments.
        Tout les autres partis politiques voulant que le pays sorte de l’union, avec ou sans l’activation de l’article 50, sont de gauche, avec, modérés, sans, radicaux.
        Il ne saurait y avoir de centre en notre situation.
        De plus, étant donné qu’aucun article ayant lieu pour l’euro soit prévu pour sa sortie, ne sachant si, comme pour l’UE, il faut l’accord de tous les états membres pour le réformer, alors, de fait, vouloir sortir de la monnaie commune ne peut se faire que par celle de l’union.
        Il est considérer aussi que ladite monnaie est devenue étroitement liée à l’Union-européenne, ne sachant jusqu’à quel point.
        Le reste n’étant, à mon sens, que pipi de colibri.
        Ou alors que l’on me prouve l’inverse.

        • Theuric

          Si l’UE ne permet pas de réguler l’immigration, pourquoi certains pays membres de l’UE pourtant y parvienne ? Comme la Hongrie, par exemple. Et il me semble aussi que la France fait partie des pays comptant le plus d’immigrés, pourquoi d’autres en ont-ils moins en comparaison ?

          Par ailleurs, le principal souci de cette immigration, c’est qu’elle n’est plus une immigration de besoin ni de travail depuis un certain temps déjà, mais d’autre chose, totalement financée par nous, les travailleurs, ce qui est très grave, car cet argent là devrait revenir à nos enfants, il devrait être investi dans nos services publics, dans la création d’entreprises et dans nos campagnes, or, les français, dans les campagnes, se meurent. Ce n’est pas normal, un peuple n’a pas à disparaitre ou à s’appauvrir par solidarité, car où se trouve dans ce cas là la dite solidarité et compassion (qu’on exige pourtant des français) envers le peuple français lui-même et ses enfants ?

          Pour en revenir à l’UE, mon Dieu mais que sommes nous allés faire dans ce casse-tête… Je suis pour des échanges entre les différents pays européens, mais cette politique obligatoire commune qui cherche par tous les moyens à destituer les peuples de leur souveraineté est un non sens, une voie sans issue qui nous entraine tous vers le bas, un piège même.
          Donc la question est : quand on se trouve dans un piège, est-ce qu’il vaut mieux en sortir ou rester les pieds coincés éternellement dedans ? Et qui nous en sauvera si nous n’en sortons pas nous mêmes ?
          Finalement, cela pose la question de la légitimité de certaines lois, toutes, si elles sont légales, ne sont pas pour autant légitimes, où cela peut-il nous mener de suivre de telles lois ? Les lois sont-elles faites pour désavantager les hommes ou pour organiser la vie en société ? Et cela pose aussi la question, sur le plan politique cette fois-ci, des intérêts des mondialistes, qui s’opposent à ceux des peuples et des nations.

          Au final, chacun a aujourd’hui un choix à faire, celui de savoir dans quel monde il veut vivre et quel monde il veut offrir aux générations suivantes, ainsi qu’une position à prendre. Personnellement, l’idéologie mondialiste n’a pour moi aucun sens, il s’agit là d’une fiction qui nie le réel : les pays existent, les peuples existent, les terres existent, l’Histoire existe, mais il n’y a aucun pays qui s’appelle « mondialiste », ni aucun peuple qui porte également ce nom. Que valent donc l’application de lois qui se basent sur une fiction ? Et vers quelle type de société peut donc bien nous entrainer l’application et même le respect de ces lois là ? Vers des utopies, qui se révèlent bien souvent être, dans le fond, des dystopies. Je ne vois pas l’intérêt de continuer plus longtemps dans ce bourbier, les problèmes, aussi complexes soient-ils, sont toujours plus faciles à résoudre quand on les traite le plus tôt possible, et non lorsqu’on attend le dernier moment. Plus on attend, d’ailleurs, et plus ça se termine mal.

          • Vous voyez, vous commencez par écrire au sujet des immigrés pour ensuite ne faire qu’un bref passage au sujet de l’union, çà, ça s’appelle un miroir aux alouette, et ceux qui sont plumés, c’est nous, les gentilles alouettes.
            Et qui c’est qui fait monter la pression au sujet de l’immigration?
            Ils sont trois: Mr. Zemmour, Mme. Le Pen et le RN, sans qui, d’ailleurs, Mr. Macron n’aurait jamais été élu.
            Vous ferais-je remarqué qu’aucun parti anti-UE ne passe à la télévision, j’en connais au moins deux, l’UPR et le CRPF, croyez-vous vraiment que Mr. Bourdin inviterait un représentant de l’un ou de l’autre sur son plateau à lui tout seul?
            Et s’il le fit pour Mr. Asselineau ce ne fut que contraint et forcé par les élections nationales.
            Allons, allons, soyons sérieux que diable.
            Quand à la mondialisation, elle est chez-nous que parce que nous ne pouvons pas mettre en place une politique nationale, et oui, vous avez beau pleurer votre mère, un fait est là: la libre circulation des biens, des capitaux et des personnes sont, dans les règlements de l’UE, internationale.
            Tiens, personne n’en parle dans les médiats et dans les partis politiques, comme c’est bizarre, oui, oui, oui, cher cousin, vous avez dit bizarre, moi j’ai dit bizarre, comme c’est bizarre, et de drôle de drame, nous nous posons là!
            Voyez-vous, vous cofondez les effets de leur cause, où se trouve la cause, quels en sont les effets?
            Du stress généré par les décisions calamiteuses de l’administration bruxelloise, l’on vous présente un os à ronger, les immigrés.
            Certes, je ne dis pas que cela ne pose pas de problème, mais je dis que si nous voulons le régler il faut commencer par en rechercher l’origine et celle-ci se trouve en Belgique et à Berlin.
            Allemands et belges contre lesquels je n’ai aucun grief d’aucune sorte.
            Mais la cause premier de tous nos soucis se trouve chez-eux.
            D’ailleurs, si, en colère, vous voulez aller manifester et vous faire entendre, rendez-vous donc à Bruxelles, à Paris ça ne sert plus à rien.

          • Theuric

            Vous n’avez pas répondu à ma question :

            Comment se fait-il que la Hongrie, qui fait partie de l’Union Européenne, arrive à s’opposer à l’immigration de masse ?

            Et non, nous ne sommes pas tous lésés de la même manière, c’est le français sans origine immigrée qui l’est actuellement le plus sur la terre de ses ancêtres : non seulement il subit un gouvernement corrompu, qui se soumet volontairement à Bruxelles, mais en plus, il voit son propre peuple, sa culture, son identité et son Histoire s’effacer petit à petit par l’imposition d’une immigration massive, financée depuis le début par l’argent de son propre travail, argent qui aurait du revenir à ses enfants, sans même pouvoir parler de ses maux, car la censure, les amendes et la répression physique comme idéologique règnent. Si il se met à parler de ce qu’il vit au quotidien, on le traite de tous les noms. Il n’a pas le droit de dénoncer les véritables problèmes qu’il rencontre et qui l’oppresse et le conduise à sa ruine. Or, ce sont les peuples qui font les pays. Quand il n’y aura plus de peuple français, il n’y aura plus de France. Et les français n’ont pas d’autre patrie. Ils sont en train de subir une expropriation. Mais personne ne semble s’en inquiéter… Pourquoi ? Parce que le regard de la masse est détourné du véritable problème :

            Vous me reprochez de confondre les causes et les conséquences, je vous reproche de ne pas remonter à la cause des causes :
            – oui, l’UE est un système infernal, qui a pour but de limiter la souveraineté des peuples
            – mais non l’UE n’est pas la cause principale, la cause, c’est l’idéologie que défend l’UE, à savoir, l’idéologie mondialiste, que l’on retrouve dans des institutions qui sont d’ailleurs distinctes de l’UE, comme les ONG, par exemple, ou certaines institutions mondiales, ou encore dans les médias
            – ainsi, la ligne de fracture originelle ne se situe pas entre les pays états membres de l’UE et l’UE (car comment expliquer sinon le cas de la Hongrie, ou de la Pologne, ou de la Slovénie, des pays de l’Est, en général, qui parviennent à s’opposer à l’immigration ?) mais entre les mondialistes, apatrides et déracinnés, et les peuples, patriotes, enracinnés, attachés à leur terre et à leur identité.

            Cette idéologie-là peut être comparée au communisme qui a sévi en URSS sur ce point particulier : elle s’oppose à l’émergence de tout sentiment national, car le sentiment national a été désigné par ses soins comme l’ennemi à abattre. Les médias aident fortement à cela : dès qu’apparaissent dans un débat des mots exprimant ce sentiment national, un réflexe de conditionnement a été créé au sein de la population, pour lui faire entrevoir cette idée comme le mal absolu et ceux qui la defendent comme des individus forcément remplis de haine envers les autres. Or, ces individus ne cherchent que la paix, le bien être et la liberté des nations, car ils ont compris que sans nation, pas de protection pour les peuples, pas d’avenir pour leurs propres enfants.
            Dit autrement : la France pourrait très bien sortir demain de l’UE que rien n’y ferait si elle continuait, politiquement, à se soumettre à cette idéologie : à l’origine des lois, il y a les idées qui les inspirent. Et quand un peuple ne sait plus très bien ce qu’il vaut ni d’où il vient, il devient facilement la proie de n’importe quel ennemi.

  14. @Pepe : « Bref, dans ces 2 cas (et dans d’autres), c’est l’interprétation du CC qui domine » Ce qui est le propre du rôle du juge, judiciaire, administratif ou constitutionnel. Et que ne comprenez-vous pas dans le Préambule de 1958 : « Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, ainsi qu’aux droits et devoirs définis dans la Charte de l’environnement de 2004. » ? Ou dans l’art. 2 de la Constitution ? Puisque vous parlez d’arbitraire…ne le serait-il pas combien plus de s’asseoir sur le tout ?
    @theuric : « cela voudrait-il dire que d’afficher celui bleu aux douze étoiles d’or dans les lieux officiels serait anticonstitutionnel? » Le Conseil constitutionnel, bien évidemment, n’a rien à dire à ce sujet pour plusieurs raisons que vous connaissez sans doute. Il ne juge pas non plus de la conformité à la Constitution du mobilier du palais présidentiel, et respecte pour sa part l’art. 55 de la Constitution ainsi que son Titre XV.
    @BALL : « Si on suit votre raisonnement le bleu, le blanc et le rouge ont valeur Constitutionnel (sic) et quiconque ne se vêtirait pas dans (sic) ces couleurs seraient (sic) condamnables (sic). » Faut-il en rire ou en pleurer tant c’est absurde ?  Il n’y a rien de filandreux dans la lecture du texte, et avez-vous quelque chose contre la devise de la République, ou sans doute contre la République ? Votre dernière phrase traduit le refus pur et simple de tout contrôle de constitutionnalité. Ce serait une position tenable si vous ne vous opposiez jamais à un vote d’une loi vous heurtant, ou si vous n’avez jamais eu un mot contre le système représentatif au nom de la démocratie directe, lorsque cela vous arrange. Mais j’en doute fort !

    • @Theuric
      Je croyais que nous parlions du délit de solidarité…
      Sinon, sur le cauchemar fédéraliste, j’en ai aussi long à dire que vous, et peut-être même plus.

  15. donc les textes ne sont pas mieux traités que le peuple ! logique !

  16. Laurent Fabius est un criminel et macaque ambulancier admis comme pirate de l’air dans les plus hautes instance de l’Etat du peuple comme non invité chez le peuple Français, faut le dire comme c’est
    L’affaire du sida à noyer l’affaire du sang contaminé faut en revenir
    Et en plus intouchable , comme d’unique
    Et en plus son fils comme cafard de la même famille joue au casino avec le pistolet sur la tempe à la roulette
    Voir la ciboulette renaître est plus intéressant

    Herrou connait pas !!!!
    Et dans l’imaginaire le super nom de Fabius chauffe ses culottes à fuir comme étranger
    S’est un marqueur cet article
    Pour lire l’article du titre dons ;faut dissociè le mélange des genres où l’amalgame du titre
    Perso les avertissements sont classé comme nuls dans mon catalogue de lecture
    Il est temps plutôt de rendre des comptes.
    Il y à plein de morts qui attende et qui sont sur le parking de la justice Française
    La franc maçonnerie franchement il sont très fort
    Robert Badinter et l’autre croupion de femme dans la loge des immortels devrait être traduit j’explique TRADUIT , devant uns cours , comme invité comme squatteur
    Alors la violation je l’ai vu venir
    S’est rigolot et pas rigolot du tout , j’en reviens à obscénité des affaires des casserole du 20heures qui disparaitra avec le second vote , tant qu’à voir la pute de Macron
    Bon il est vrai à part se connard il n’y à rien d’autre
    D’où temps qu’à faire vaut mieux jouer le mort
    Il y à tellement de viandard derrière Fabius

  17. Fabius à fait très fort dans le sacrificiel , dans le style d’Abraham et dans un autre club Jéhovah
    Complètement installé
    « Herrou n’est pas un héros »
    Est un argument de vente pour Fabius
    Pas de quoi être agacer
    La bonne question est que vient faire Fabius , alors qu’il se les jouer comme mort avec un passeport invisible en France
    J’imagine qu’une révolte est proche d’une tête à tondre , où alors le texte s’est perdu dans l’imaginal

  18. Robert Badinter s’est pour la prochaine tarte à la crème , dans le style attentat à la pudeur circulz je vous endors le jour de sa mort, faudra bien qu’il crève

    « actuellement pour sa politique minoritaire, Macron dispose de « ceinture et bretelles ». Un parlement croupion et enrégimenté, et au cas où une nouvelle majorité arrivait à l’Assemblée, un Conseil constitutionnel présidé par Laurent Fabius à sa main, transformé en législateur. »

    Laurent Fabius aurait du être décapité
    et le clou du spectacle son Nom circule sans tête
    Laurent est un élément de langage , s’est Fabius sa famille avec tout les pirates de l’air ou corbeaux
    A la manière de Brel dans j’arrive
    De chrysanthèmes en chrysanthèmes
    Nos amitiés sont en partance
    De chrysanthèmes en chrysanthèmes
    La mort potence nos dulcinées
    S’est pas le talent qui manque en France sur cette planète de morts
    https://www.youtube.com/watch?v=cLgZUmbDFo4

  19. J’imagine que l’article parle d’euthanasie et de peine de mort
    Grand père fouettard avec saint chocolat

  20. Il y a dans ces commentaires des comparaisons fantasques et absurdes, mais il faut bien faire passer la morale imposée par les conformistes , même s’il s’agit d’un renversement des valeurs.
    Peu importe les drames , il faut poser sur une photographie avec des « artistes » en croyant qu’o
    n est un rebelle. Le système a besoin d’idiots utiles.

    • Apparemment, il ne risque pas de manquer, ce système, d’idiots et d’idiotes inutiles…

  21. J’ai lu les derniers tweets de Régis de Castelnau.
    – Dans l’un, il fait allusion au ministre PS ardéchois Olivier Dussopt. Un article de « Marianne » montre « qu’entre deux leçons de morale, il s’est fait offrir des tableaux par une compagnie d’eau ».

    – Le suivant commente ce qu’a dit « l’écrivaine » Constance Debré sur le confinement. Pour cette dernière « Dans 10 ans, on éprouvera de la nostalgie ».
    Régis de Castelnau écrit avec ironie : « Les personnels soignants, les magasiniers, les caissières, les éboueurs, les routiers approuvent ce message ».
    Il constate qu’écrivaine rime avec « haine ». Certes, dommage que ça ne rime pas aussi avec « bêtise » (et peut-être avec « totalitarisme »).

    En revanche, il y a une allusion que je n’ai pas comprise.
    R de C écrit qu’il va relire la bio de Dzerjinski. Félix Dzerjinski (1877-1926) fut, après la révolution bolchevique de 1917, le créateur de la Tchéka (police politique) qui devint quelques années plus tard le Guépéou.
    Que vient-il faire ici ?

    • Si je suis l’idiote utile, ayez le courage d’aller jusqu’au bout, je ne dirai pas de vos opinions, mais de votre foi.

      • « Idiote inutile », faites-moi la grâce de citer correctement. Vous commencez, on vous répond et vous pleurnichez. J’ai connu ça en cours de récréation, ça n’a jamais mené personne très loin. De quelle foi parlez-vous ? Développez, SVP.

    • Tiens, à propos d’Olivier Dussopt.
      Dans l’émission de RTL « les auditeurs ont la parole » (13h à14h) animée par Pascal Praud, un maire d’une petite commune critiquait la loi NOTRe (de 2015) qui retirait beaucoup de pouvoirs aux maires pour les donner à des communautés d’agglomérations agrandies par rapport aux précédentes.
      En me renseignant, j’ai constaté qu’à l’Assemblée Nationale, le rapporteur de cette loi était … Olivier Dussopt !
      Bizarre, bizarre !
      Dussopt était alors député d’un département rural : l’Ardèche. Or, la loi NOTRe ne favorise pas la ruralité

      • Je ne pleurniche pas mon brave, mais qui êtes vous pour me juger ainsi?
        Dois-je vous plaindre? ce sentiment ne tombe pas encore sous le coup de la loi, profitons en!

        • @ Katy Boucherit.
          Vu l’endroit où il se trouvait, votre commentaire précédent (cf « idiote utile ») semblait s’adresser à moi.
          Je n’avais pas compris pourquoi, car le contenu de mon commentaire ne vous concernait pas. Sauf si votre nom véritable est Olivier Dussopt ou Constance Debré (Félix Dzerjinski, c’est impossible vu qu’il est mort en 1926).

          Mais, une fois de plus, votre dernier commentaire est dans un endroit où il semble s’adresser à moi alors que son contenu répond en fait à un autre blogueur.

          • Idiote inutile s’est un peu comme de con utile
            Pas la peine de s’endormir dessus , revenons en à nos mérinos avant que le cyclope sorte de son songe après avoir tourné en brochette de salade comme barbaque a viandard
            Ceci dit le cyclope était berger , Ulysse était un viandard.

  22. Il faut sans doute indiquer à la plume qui se dissimule derrière le pseudo « Theuric » que l’homme de la télé a pour prénom Jean-Jacques. Et non Jean-Claude… A moins que le Bourdin de RMC change de prénom quand il contribue sur le site de l’avocat admirateur de Georges Marchais, Régis de Castelnau, souverainiste « et de droite, et de gauche », ou bien « et de droite et de gauche », ou encore « ni l’un ni l’autre », mais assurément des « deux rives »..; Manière polie de se revendiquer populiste. Cela vaut bien le ton agressif, vindicatif et haineux des textes édités, suivis dans la hargne par certains commentaires qui appellent à la décapitation. Bigre…. Dommage, le débat démocratique appelle d’autres respirations et d’autres confrontations.

    • Moi, je suis un souverainiste.
      Je suis partisan de l’entente entre les souverainistes « des deux rives ». C’est pourquoi j’avais voté Chevènement en 2002. Et aussi que j’approuve ce que tente actuellement Michel Onfray.

      Ah ! Le populisme, quelle horreur pour la bien-pensance !

      Lundi, dans l’émission « Face à l’info » sur CNews, Eric Zemmour a montré que lors de cette crise sanitaire, les populistes ont mieux respecté les libertés que nos « grands démocrates ».

      Voici un commentaire que j’ai écrit sur le blog de Zemmour :
      https://www.ericzemmour.org/face-a-linfo-20-mai-2020-hd-en-direct/#comment-5549

    • Effectivement, j’espère que vous aurez cette réponse.

  23. Dans un tweet, Régis de Castelnau critique (avec justesse) Pierre Moscovici.
    Je rappelle que lorsque Chirac refusa de participer à la calamiteuse aventure de Bush et Blair en Irak en 2003, Hollande et Moscovici allèrent à l’ambassade des Etats-Unis pour présenter leurs excuses.
    Oui, Moscovici, comme Hollande, est un lèche-cul de l’impérialisme américain.

  24. Herrou
    Concernant le personnage ils sont assez ambivalent dans leur genre, dans le sens du déni profond, mais Hétéro et certes macho , j’imagine assez traditionnel mais dépassé par eu même
    Une forme de terrorisme très violent , quoiqu’il se la joue peace an love avec l’art de surfer sur la vague , des fous !!!! dans le style de greta thunberg

    J’arrive très peu à les cerner car ils sont sincère et en électron libre comme de cons utiles
    Et ils sont très fort à jouer leur absence dans l’invisible et de plus soutenu par la bourse , Billy de kid et Sorros
    Ceci dit il transpire le Herrou en aveugle , la justice ouvre le festival tapis rouge de Canne dans son confinement , soit une fenêtre de tout les possibles .
    Si la porte est ouverte , faut voir le coup suivant qui était déjà inscrit, donc aucune pensé magique .

  25. (nicolasbonnal
    Maître, parlez des masques et de nos humains robotisés partout plutôt.
    https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/05/22/blog-de-la-resistance-ferme-les-esclaves-du-systeme-se-demasquant-et-procedant-affaires-il-ne-sert-plus-a-rien-de-mimer-la-colere-enchantes-par-les-progres-de-la-bourse-et-de-la-planche-a-billets/)

    L’affaire est simple et complexe.
    Le financier est simple 400 milliards de billets qui transitent entre les mains des plus riches
    Probablement plus avec la petite échelle
    D’où la bourse qui joue au yoyo , d’où enrichissement de certains et appauvrissement d’autres qui sont bien rester confinés devant leur ordinateur , mais pas pour la même raison que nous , de force est la loi de resté chez vous .
    Cette volonté de tuer les échanges , bateau , avion , métro et le clou le tourisme , lieu de convivialité .
    S’il y à 400 milliards de perdu d’où viennent il .
    Des Etats battus en plate couture avec les dégâts collatéraux, voir Renault et maintenant l’agro alimentaire des abattoirs , d’où l’hystérie persiste .
    Quoique les abattoirs sont une fin de tempête un peu comme des miettes
    Dans le sens que Trump fait une annonce et la planète Bourse tourne et s’empiffre

    deuxième concept
    L’hôpital qui s’invite dans l’invité de commande qui n’auront rien d’où les soignants dans un confort de travail comme dépensier et le malade qui en paie le prix , dont j’en reviens aux casserole du 20 heures comme spectacle , par les labos qui auront eut un gros bakchich avec ou s’en vaccins à la clé ,, mais temps qu’on eu faire perduré l’idée du vaccins , le tiroir caisse tourne
    Et de toute façon le vaccin aura toujours des années de retard vu la mutation du vaccin
    Ce qui est bien de voir dans la lecture des labos en tous genre s’est qu’ils ont toujours une carte à sortir .
    Contrairement à l’hôpital qui n’arrive plus à soigner, il est clair que s’est une affaire d’argent
    D’où les 400 milliards , dans un autre registre , je vous invite à naviguer en 1982
    Élection présidentiel du miteux
    extrait d’article on en reviens au pognon
    (En 1982, les ordonnances de Mitterrand n’avaient choqué personne…
    Certains sont déjà prêts à hurler au scandale concernant la réforme du code du travail par ordonnances, ils oublient que Mitterand l’avait fait)
    https://www.lepoint.fr/politique/en-1982-les-ordonnances-de-mitterrand-n-avaient-choque-personne-27-05-2017-2130743_20.php
    Et durant l’envolée des colombes , merveille de selon Mathieu était dans l’invité de commande
    Voir le lyrisme du texte sans cela vous n’aurez rien compris sur événementielle
    Faut lire et pas corriger , il n’y à pas plus transhumanisme comme lecture à l’eau de rose
    Et encore e ne m’endors pas dans l’eau de rose
    Le troisième concept , d’où vous n’avez pas specialement voulu sortir le marqueur
    Où que sais je puisque j’y suis .

    Le media s’est de l’apparence , la lumière , luxore dans le style de Montpellier sur de sable mouvant qui est le 3 eme facteur dans le covid et pourquoi pas 19 tant qu’à s’endormir sur un chiffre.
    Le politique est juste un vote de nul en aveugle, mais gros pirate de l’air sur les abstention
    Le vote devrait être illégale et non advenu .
    Comme de détournement de lecture , le problème est que à l’évidence la planète est perdue dans sa lecture .
    D’autres acteurs se sont engager comme ressortissant dans la lecture médiatique

    Pour
    Comment calculer le diamètre intérieur d’un tube alors que nous avons la circonférence ?
    Voilà une bonne question de géométrie hors nous tournons autour d’un point qui se la joue volumétrique , chacun comme maître d’œuvre d’avec sa coudée , son pied propre qui est le chiffre d’or partant d’un point et dansant d’avec sont pied comme compas
    Sans cela les cathédrales s’écrouleraient dans le manque à gagné
    Ceci pour répondre à l’autre baltringue de Katy BOUCHERIT
    Les majuscules sont un copiè collé car je cherche la formule sans développement
    De qu’elle est mon adresse , dans le sens de ma maison , avec ma famille.
    Tant qu’à faire du texte

  26. Malheureusement le texte se perd
    Je vous invite à faire un copié collé avant l’envoi d’un texte
    Le truc s’est qu’il faut y penser
    S’est en passant comme avis

  27. Excellent papier. M. Herrou n’est qu’un visage du militantisme effréné des mondialistes, M. Herrou qui à son niveau, est un idiot utile de la mondialisation oligarchique. Quels sont ses revenus? De quoi vit-il? Il reste que ces « entrants » voués à la clochardisation sont le symbole de l’effondrement de notre pays, qui, ne pouvant même pas tenter de faire des ses « nouveaux venus » des Français à part entière, et ce sur des décennies, en accueille tant et plus comme si les caisses de l’ état étaient sans limite, alors que tout prouve que tel n’est pas le cas. Et comme si le multiculturalisme ne montrait pas aujourd’hui clairement ses conséquences, avec ses méfaits sécuritaires et autres. Reconnaissons à M. Fabius de la continuité dans ses obsessions idéologiques. Ancien « plus jeune Premier Ministre » du pays, il continue à mettre en œuvre sa vison mitterrandienne, et donc mondialiste, de la France (la pauvre!), et du monde. Ces gens nuiront jusqu’à la fin de leurs jours. Tel était leur destin.

    • La caisse de l’état est sans limite , puisqu’il n’y à rien à voir
      Évidemment fallait pas le voir d ‘où l’invective de nos dirigeants à le voir
      Rien ne nous empêne de vire tous simplement

  28. Les « normes structurantes », quoique gravées -avec retard- dans la loi, me semblent étrangement volatiles et sujettes aux aléas de la conjoncture (la norme urgence-Covid, elle, s’est installée sans retard pour déstructurer sinon exploser nos valeurs !).
    L’idée de citoyenneté, attachée maintenant comme privilège à l’ancienneté sur le sol national voire à l’arbre généalogique, a pu signifier plutôt, en d’autres temps, un attachement de coeur. En des périodes conflictuelles comme 1789 ou 1945, tout ce qui se battait pour la nation était français, pendant que les traîtres (?) étaient bannis sans égard pour l’ancrage de leurs aïeux à Versailles ou Landerneau.
    La xénophobie reprend du service quand l’individu veut protéger son bien menacé par la crise. Ainsi « le choix militant d’aider illégalement comme il [Herrou] le fait au passage des migrants » me rappelle que des lois xénophobes, protectrices de notre bien-être social en capilotade, ont progressivement puni l’immigration parce que chaque personne représente un coût (chômeur et retraité « assistés », fonctionnaire « inutile », syndicaliste « partageux », immigrant « indésirable » etc.) plutôt qu’un atout productif pour la société. Les actions de Herrou, quelques soient leurs implications macro-économiques et l’instrumentalisation des belles âmes, n’ont été estampillées illégales que parce que l’époque est égoïste.
    Quand le pays avait besoin de bras, on n’en rejetait pas autant un électricien, un danseur ou un boulanger parce que polonais, guinéen, ou viet. Mais quand les déclassés par millions briguent la grâce de faire exploiter leur force de travail, le pays des droits de l’homme redevient un ghetto (exclusif), prêt à sanctionner la folle générosité des Herrou.
    Qui donc est l’iconoclaste, le déstructurant d’aujourd’hui ?
    Quelle norme structurante, capable de résister à la crise, aura l’aval du peuple et/ou du capital ? Sûr que ce n’est pas à un Fafagaga de nous dicter la réponse à ces questions-là.

    • je m’occupe de l’état dans une autre sphère
      Et comme l’état s’est moi
      Gavée vous en l’illimité pompez le pognon
      La vie est gratos

  29. L’être humain est le gardien des lieux d’autres espèces comme invité
    On appel cela la soumission
    La prière est une salade , encore un culte de taré

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