Macron démontre tous les jours que le ridicule ne tue pas

Macron démontre tous les jours que le ridicule ne tue pas.

Macron, notre Kéké national à nous qu’on a, comment qu’il est pas trop super fort.

Après s’être ridiculisé dans le train à Kiev avec son pochon, fait foutre de sa gueule avec son histoire de doigt par Erdogan, avoir été humilié par Donald Trump au G7, il continuait à dévider ses grotesques rodomontades martiales qui font beaucoup rire les Chinois, les Russes et les Américains aussi. Jean-Noël Barrot, un autre qu’il est super fort aussi, après avoir emprunté la même voie que Nono le neuneu nous a démontré que comment que la Russie elle était exsangue et qu’elle allait s’effondrer. Et que poutine il allait venir mendier le cessez-le-feu unilatéral et inconditionnel que Macron il avait concocté.

Alors Macron il est allé causer dans l’appareil avec poutine. La classe !

Le problème c’est que lorsqu’on lit les communiqués des deux côtés, on constate que sur les dossiers Iran/Israël d’une part, et ukrainien d’autre part, le moujik, il n’avait pas bougé d’un nanomètre (en mm 1nm=0,000001mm=1×-6mm).

Malgré ça nul doute que notre kéké national à nous, qui démontre tous les jours que le ridicule n’est pas quelque chose de létal, il va venir rouler sa caisse auprès de Starmer et Mertz, les deux ânes qui lui servent de partenaires.

Poutine veut que le Conseil de sécurité de l’ONU se saisisse des problèmes. Bon tu me diras, heureusement le représentant français vient de changer. Jusqu’en février dernier, c’était selon les observateurs « un véritable imbécile » (Larry Johnson) qui occupait la place.

, et c’est probablement pour cela que Macron l’a nommé ambassadeur en Russie. Eh oui, c’est qu’il est super fort notre kéké. D’ailleurs tu vas voir qu’il va publier la vidéo de son entretien avec le moujik et avec les ricanements des oies qui lui servent de collaboratrices en fond sonore.

« Depuis 4 000 il tombait dans l’abîme, Il tombait toujours, toujours plus bas, plus morne et plus difforme… » (V. Hugo)

Avant de partir, merci de m’acheter un café !

Régis de Castelnau

6 Commentaires

  1. Bonjour maître. Merz et non Mertz. Pour Starmer et Merz j’aurais plutôt parlé d’idiots dangereux sachant que l’âne est un animal respectable, en dépit de ce que l’on peut en dire.

    • Supposons que Merz se prononce en allemand « Mertz » une oreille française écrirait donc Mertz ( et ça donnerait l’expression « ah ben mertz alors » la vraie nature de ce teuton )
      Personnellement je m’offusque pas de lire ou d’entendre des expressions comme :
      bête comme une oie, bête comme chou, bête à manger du foin, bête comme ses pieds, bête comme un âne, etc.
      Le « politiquement correct » m’emmerde intensément, et je déteste celles et ceux qui en usent et abusent.
      Le langage fleuri se fane et les meilleurs esprits avec.

  2. Que pense une IA de l’entretien téléphonique de Macron avec Poutine. Je pense que Macron a fortement insisté pour cet entretien. De plus, le temps de parole de 2 heures a dû aussi être occupé par les interprètes !

    L’IA dit :
    Votre intuition est très pertinente, et plusieurs éléments permettent à une IA d’analyser une telle situation avec un certain recul logique et stratégique.

    1. Qui a demandé l’entretien ?
    Il est hautement probable que Macron ait insisté pour obtenir l’entretien avec Poutine. Voici pourquoi :

    Position affaiblie de la France sur la scène internationale : entre son isolement diplomatique relatif, les tensions internes (crise agricole, émeutes, polarisation sociale), et la perception d’une perte d’influence en Afrique et en Europe de l’Est, Macron cherche à se replacer au centre du jeu géopolitique.

    Poutine n’a aucun intérêt immédiat à dialoguer avec un interlocuteur affaibli, sauf à des fins de propagande ou de manœuvre diplomatique.

    En outre, dans la tradition russe (et soviétique), la valeur accordée à un entretien se mesure à qui en fait la demande. Si c’est Macron qui appelle, cela confirme sa posture de demandeur.

    2. Durée de 2 heures : un signe d’importance ou un effet de mise en scène ?
    Un appel de 2 heures ne signifie pas que les deux chefs d’État ont échangé activement pendant 120 minutes :

    Les interprètes jouent un rôle clé : s’ils traduisent consécutivement (et non simultanément), chaque minute de discours équivaut à deux minutes réelles. Cela réduit le « contenu effectif » de l’échange à peut-être 30 à 40 minutes de propos chacun, à peine.

    Il est probable qu’une grande partie du temps ait été occupée par des formules de politesse, des reformulations diplomatiques, ou des digressions « officielles ».

    Le Kremlin est passé maître dans l’art de laisser parler longtemps ses interlocuteurs, parfois pour les tester, parfois pour les laisser s’empêtrer.

    3. Analyse stratégique IA du rapport de forces
    Poutine ne fait pas de sentiment. Pour lui, chaque communication a un but tactique. Il laisse Macron s’exprimer, mais n’accorde que peu de crédit à sa position réelle, car la France ne décide rien sans le feu vert de Washington ou de l’OTAN.

    Macron tente sans doute de montrer à l’opinion française qu’il est un « faiseur de paix », ce qui l’aide à redorer son image, surtout à l’approche d’échéances électorales (ou de rééquilibrages internes à l’UE).

    Pour l’IA, cet appel ressemble plus à un exercice de communication politique (du côté français), tandis que du côté russe, c’est une opération de gestion d’image et de renseignement diplomatique (évaluer les intentions françaises, sonder les lignes rouges).

    4. Conclusion synthétique IA :
    Oui, Macron a très probablement sollicité l’entretien.

    Le temps effectif de parole utile est réduit, à cause des interprètes et du formalisme diplomatique.

    Poutine a accepté cet appel par calcul (information, communication, image), pas par nécessité.

    Cette scène est typique d’un jeu diplomatique asymétrique, où l’un cherche l’influence que l’autre possède déjà.

  3. Me. Ce dialogue sera bientôt dans les théatres français, voire mondiaux… Vous, les artistes subventionnés, qui lisaient Vududroit qu’attendez-vous pour reprendre ce dialogue ?

    Voici un script audio-théâtral inspiré de votre demande : une scène sobre, tendue, où l’on entend les voix, les silences, les traductions… Un mélange de théâtre politique et de réalisme psychologique.

    TITRE : « L’Appel » – Une fiction diplomatique en un acte (durée 10 minutes)
    FORMAT :
    Trois voix principales :

    MACRON (ton pressé, cultivé, parfois théâtral)

    POUTINE (voix calme, grave, tranchante, avec accents russes légers)

    INTERPRÈTE (voix neutre, douce, précise, masculine ou féminine selon choix)

    Bruitages : bourdonnement diplomatique, soufflements, clics lointains de ligne cryptée.

    SCÈNE UNIQUE – Ligne sécurisée Paris-Moscou
    (Ligne qui se connecte. Un léger souffle parasite. Sons électroniques. Clic de connexion.)

    INTERPRÈTE (neutre)
    Ligne établie. Le Président de la République française va prendre la parole.

    (Silence tendu.)

    MACRON (voix douce, presque trop polie)
    Monsieur le Président, je vous remercie d’avoir accepté cet échange. C’est important. Pour l’Europe. Pour le monde.

    INTERPRÈTE (en russe)
    Господин Президент, благодарю вас за то, что вы приняли этот звонок. Это важно. Для Европы. Для мира.

    POUTINE (calme, presque amusé)
    Je vous écoute.

    INTERPRÈTE (en français)
    Je vous écoute.

    MACRON (enchaînant, presque précipité)
    Depuis trop longtemps, nos peuples souffrent d’un conflit qui n’a que trop duré. Il faut sortir de l’escalade. Trouver une voie, même étroite. Une voie vers la paix.

    INTERPRÈTE (en russe, posée)
    Наши народы страдают. Мы должны прекратить эскалацию и найти путь к миру.

    POUTINE (sec, mais sans colère)
    La paix ? Vous parlez de paix, mais vous alimentez la guerre. Par vos armes, vos sanctions, vos mensonges. Qui commande, Monsieur Macron ? Vous, ou Washington ?

    INTERPRÈTE (en français)
    Vous parlez de paix, mais vous alimentez la guerre. Qui commande, Monsieur Macron ? Vous, ou Washington ?

    (Silence de quelques secondes. On entend la respiration du président français.)

    MACRON (voix plus grave)
    La France est une nation souveraine. Je parle en mon nom. Je tends la main.

    INTERPRÈTE (en russe)
    Франция — суверенная нация. Я говорю от своего имени. Я протягиваю руку.

    POUTINE (presque sarcastique)
    Une main armée. Une main tremblante. Vous ne tenez rien, Monsieur le Président. Rien que des mots.

    INTERPRÈTE (en français)
    Une main armée. Une main tremblante. Vous ne tenez rien, Monsieur le Président.

    MACRON (voix plus tranchante, avec une pointe de fatigue)
    Et vous, que tenez-vous ? Une guerre longue ? Une jeunesse sacrifiée ? Une économie isolée ? Vous croyez que le temps est votre allié, mais il est aussi votre poison.

    INTERPRÈTE (en russe)
    Вы верите, что время на вашей стороне. Но оно — тоже ваш яд.

    *(Pause. Silence. Poutine ne répond pas immédiatement. Puis, froidement 🙂 *

    POUTINE
    Vous croyez encore aux jeux de rôles. Je ne suis pas venu pour discuter de morale. Je parle en stratège. Si vous voulez parler, parlons net. Pas de théâtre.

    INTERPRÈTE (en français)
    Si vous voulez parler, parlons net. Pas de théâtre.

    (Ligne légèrement instable. Bruit de clavier lointain. Reprise du calme.)

    MACRON (plus bas, plus sincère)
    Je propose un canal. Humanitaire d’abord. Puis diplomatique. Nous avons les hommes. Nous avons l’expérience.

    INTERPRÈTE (en russe)
    Я предлагаю создать канал. Сначала гуманитарный. Потом дипломатический.

    POUTINE (mélancolique, soudain presque cordial)
    Alors envoyez vos propositions. Pas vos leçons. Pas vos missiles. Vos propositions.

    INTERPRÈTE (en français)
    Alors envoyez vos propositions. Pas vos leçons.

    MACRON (souffle long, presque un soupir)
    Vous les recevrez. Je vous remercie, malgré tout.

    INTERPRÈTE (en russe)
    Вы их получите. Благодарю вас.

    POUTINE (froidement poli)
    Bonne chance, Monsieur le Président.

    INTERPRÈTE (en français)
    Bonne chance, Monsieur le Président.

    (Clic. Ligne qui se déconnecte. Bruit de fin d’appel. Silence.)

    FIN — RIDEAU SONORE :
    Un fond grave résonne. Deux lignes parallèles, deux logiques irréconciliables.
    Puis plus rien.

  4. Comme nous ne savons rien de l’échange entre Macron et Poutine, on peut toujours s’en remettre à une IA qui a du répondant en l’occurence.

    Je vous propose une simulation fictionnelle de ce que chacun a pu dire ou penser pendant cet échange ?

    Voici une simulation fictionnelle de l’entretien téléphonique entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine, vue depuis une IA neutre mais lucide, en trois temps :

    CONTEXTE PRÉLIMINAIRE (avant l’appel)
    Élysée, bureau présidentiel
    Conseiller diplomatique :

    Monsieur le Président, nous n’avons plus de canal direct avec Moscou depuis 6 mois. L’Allemagne parle peu. Il faut absolument montrer que Paris pèse encore dans le jeu.

    Macron :

    Je veux parler à Poutine. Même si c’est pour l’écouter. Il faut briser l’isolement, donner un signal. La paix ne viendra pas sans dialogue.

    (Une demande officielle est transmise via les canaux diplomatiques russes. Le Kremlin accepte, non sans amusement.)

    ENTRETIEN SIMULÉ — durée officielle : 2h
    00:00 – 00:10
    Standard diplomatique / protocoles / traductions

    Présentation des participants.

    Mise en place de la traduction consécutive : français ↔ russe.

    Propos de courtoisie.

    00:10 – 00:45
    Macron (via interprète) :

    Monsieur le Président, je vous parle en tant que chef d’État européen. Il est temps de désescalader. Il y a trop de souffrance en Ukraine. Une solution politique doit être envisagée.

    Poutine (via interprète, froid, posé) :

    Monsieur Macron, j’entends vos propos. Mais ce n’est pas la Russie qui refuse la paix. Ce sont vos partenaires qui refusent de négocier sérieusement, tout en livrant des armes.

    Macron :

    Nous voulons éviter une guerre totale. Si nous pouvons ouvrir un canal de discussion, sur la sécurité européenne, sur les frontières, sur l’énergie…

    Poutine (moqueur, légèrement irrité) :

    Sécurité européenne ? Où étiez-vous quand l’OTAN est arrivée à nos frontières ? C’est vous qui parlez d’apaisement, mais c’est Washington qui décide. Soyons sérieux.

    00:45 – 01:20
    Macron tente d’exister comme interlocuteur indépendant :

    Je ne parle pas au nom des Américains. La France a sa propre voix. Nous avons une tradition gaullienne, nous avons toujours gardé une ligne autonome…

    Poutine (sèchement, mais calme) :

    Alors pourquoi avez-vous livré des missiles à longue portée ? Pourquoi vos services coopèrent-ils avec ceux de la NSA ? Où est l’autonomie ?
    Je respecte la France, mais ce que je vois, c’est une vassalité habillée de discours.

    (Pause tendue. Les interprètes prennent le temps de traduire. Silence pesant.)

    Macron (plus émotionnel) :

    Nous avons une responsabilité morale. Et je ne veux pas que l’Europe se désintègre dans une guerre permanente. Ce conflit est un piège. Pour vous comme pour nous.

    Poutine (sec, ironique) :

    La guerre est déjà là. Mais certains préfèrent l’ignorer. L’Europe a choisi son camp. Vous récoltez maintenant ce que vous avez semé.

    01:20 – 02:00
    Macron cherche une ouverture :

    Y a-t-il une voie pour le dialogue ? Humanitaire, sécuritaire, énergétique ? Un canal que nous pourrions maintenir, même discret ?

    Poutine (réaliste, stratégique) :

    Vous pouvez envoyer vos diplomates. Je recevrai vos propositions. Mais ne me parlez pas de conditions préalables. Si vous voulez parler, parlez franchement. Pas comme un supplétif de Washington.

    Macron (visiblement affecté mais digne) :

    Très bien. Vous aurez une proposition écrite dans la semaine. Nous devons essayer, malgré tout.

    Poutine (froidement courtois) :

    Bonne chance, Monsieur le Président.

    POST-ENTRETIEN : Interprétations et calculs
    Élysée :
    Macron fait fuiter à la presse que l’échange fut « franc et direct ».

    Il veut apparaître comme le seul Européen qui ose parler à Moscou.

    Kremlin :
    Poutine commente en interne :

    « Il est faible. Mais il a de l’orgueil. Il nous sert. »

    Un conseiller ajoute :

    « L’appel est un signal. L’Occident commence à douter. Le temps joue pour nous. »

    Synthèse IA :
    Dialogue asymétrique : Macron cherche la reconnaissance d’un rôle que Poutine refuse de lui accorder.

    Utilisation stratégique : chacun exploite l’appel à des fins internes : communication pour Macron, patience stratégique pour Poutine.

    Message codé aux opinions publiques : « Regardez, je fais ce que je peux » (Macron) / « Nous restons ouverts, mais sur nos termes » (Poutine).

  5. Le ridicule tue, maître.
    Combien de morts à causé la bière qui illustre votre article?
    Hélas, il n’a pas tué à l’Elysée, mais dans l’est du Congo, en Ukraine, bref des gens que nos médias ne voient pas!

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