
L’inévitable destin des lois mémorielles.
Que nous dit la loi Gayssot ?
« Seront punis des peines prévues par le sixième alinéa de l’article 24 ceux qui auront contesté, par un des moyens énoncés à l’article 23, l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945 et qui ont été commis soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l’article 9 dudit statut, soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale. »
L’auteur de l’infraction, est celui qui aura contesté publiquement et par tout moyen l’existence de « crimes contre l’humanité ».
Avant de partir, merci de m’offrir un café.

Loi ce censure communiste. Gayssot était communiste. D’un côté le journal « Le Monde » promouvait Faurisson (8 fois la Une dans les années 1980, pour cet hurluberlu révisionniste sorti de nulle part !) et « en même temps » la gauche promouvait la censure ! Bravo ! Et par-dessus le marché, Tonton fleurissait la tombe de Pétain. Ah ah ah ! Elle est pas belle la gauche ? Et on va remettre le couvert en 2027 avec Merluchon-Tsipras. La rose et la francisque unies « contre le fascisme lepéniste ».
« …l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945… »
Les crimes non définis par Nuremberg ne font donc pas partis de cette loi.
C’est l’essentiel de la loi Gayssot.
J’explique. Dernièrement Lavrov a révélé, selon les archives soviéto-russes, que les américains voulaient seulement fusiller 20 000 officiers allemands, ainsi que d’ailleurs Churchill. Staline a insisté pour faire un procés et aligner les preuves des multiples participations aux crimes, par seulement des militaires, mais des politiciens et des hautes administrations allemandes et françaises.
Les preuves fournies par les soviétiques ont été jusqu’à ce jour censurées: Les archives des procés sont toujours interdites. Mais Lavrov les connait…
Annie Lacroix-Riz signale qu’aucune personne de ces hautes administrations n’ont été poursuivie aprés la guerre, selon la volonté des américains.
Bien entendu il s’agit aussi de la magistrature, pas forcement petite bourgeoise…
Bref tout ces gens ont été complice, ils n’avaient jamais lu « Mein Kampf », et ne s’étonnaient pas d’envoyer des enfants et des vieillards dans des trains à bestiaux vers des camps…Etre aussi con est-il possible, chez ces gens aussi éduqués?
Donc si Nuremberg « oublie » ces gens, c’est qu’il y a un problème. Un problème sur Nuremberg, c’est interdit par la loi Gayssot. Il considère ce pauvre malheureux que cela signifie une négation d’un crime contre l’humanité…C’est vite dit. Trop vite.
Gaysot veut proteger ses petits copains socialistes, en trahissant Staline. Un sort communiste indispensable aprés 1991…
Oui parceque, désormais, les archives soviétiques , auraient pu s’ouvrir…
Alors la France, l’Allemagne, et Von der Layen renouent avec le nazisme ukrainien?
Lavrov, sort ses dossiers…Ca va faire un malheur.
Gayssot a bonne mine avec sa loi débile.
Rappellons ce fait essentiel:
Nuremberg avait pour but de condamner les coupables,
et NON PAS DE PROUVER L’EXISTENCE D’UN CRIME évident, avéré, avec des centaines de milliers de témoins, des millions de cadavres!!!
Que quelques crétins débiles mentaux ne veulent pas le croire, n’impose pas une loi pour ça.
On dirait que Gayssot n’est pas sur de lui, ouf, heureusement qu’il y a Nuremberg et son article 6…
Donc ça devient une doxa, une croyance qui ne supporte par le blasphème.
Mais bordel! C’est un fait REEL!
Mais ce con n’a jamais vu les photos, films, écouté les témoins, il lui faut l’article 6 de Nuremberg à ce con la!
C’est un néo nazi à l’insu de son plein grés ou quoi?