Justice politique : gros ou petit gibier, la chasse est fermée

Coucou les amis magistrats. Ça va les vacances de Noël ? Manifestement pour vous, elles ont commencé tôt. Genre une trêve des confiseurs à rallonge. Pourquoi est-ce que je vous pose la question ? Eh bien parce qu’on vient d’apprendre une chose rigolote. Anne Hidalgo, vous savez la brillante maire de Paris vient de prendre une tôle, elle qui espérait un poste de haut-commissaire à l’ONU (payé 230 000 € par an) pour aller s’occuper des réfugiés. Heureusement pour eux, elle s’est fait envoyer dans le mur. Et les responsables du choix ont fait savoir gentiment qu’il n’avait jamais été question d’examiner sérieusement la candidature d’un engin pareil. Oui mais voilà, nouvelle information qui documente les comportements d’Anne Hidalgo dont les méchantes langues prétendent, qu’elle aurait eu pendant ses mandats la fâcheuse habitude de vivre sur la bête. Après le voyage en Polynésie pour aller voir sa fille aux frais de la princesse, ses frais de représentation municipaux qui ont permis de supposer qu’ils servaient surtout à habiller toute la famille, nouvelle information selon laquelle elle a encore utilisé les sous de la mairie à des fins privées. En effet la Ville de Paris aurait paraît-il, financé de forts onéreux voyages destinés à sa « campagne électorale » pour décrocher la timbale onusienne.

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Avant de partir, merci de m’offrir un café.

Régis de Castelnau

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