Ary Abittan et le baiser de la mort

Pauvre Ary Abittan.

Vous aviez pris la foudre avec l’accusation majeure de notre temps. Tout s’est arrêté, vous avez dû vous mettre de côté, stopper tous les projets et attendre. Mis hors de cause, et même si les ignorants et les militants obtus refusent de l’admettre, vous êtes judiciairement innocent. Alors, obligé longtemps au silence, vous avez décidé d’essayer de reprendre votre trajectoire professionnelle interrompue. De surmonter cette épreuve que la vie vous avait imposée.

Mais comment avez-vous pu mettre cette reconstruction sous la protection de Brigitte Macron ? Improbable tromblon boomer déguisée en adolescente, stupidement affublée du grotesque qualificatif de « Première dame », elle est comme son mari, détestée des Français.

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Avant de partir, merci de m’offrir un café.

Régis de Castelnau

4 Commentaires

  1. Cet Abittan, juif sepharade, qui doit ça carrière à sa communauté, acteur dans les nombreux navets de ses coreligionnaires, régulier invité chez « Arthur », TF1, les « grosses têtes », bref chez tout le staff des abrutisseurs médiatiques et des menteurs criminels:
    Je ne le connais pas et pour cause; ça fait 25 ans que je n’ai plus de télé.
    Autre que le moniteur de mon PC.
    Voila donc un acteur « comique » du système, rien à voir avec Dieudonné M’Bala M’Bala.
    (Pas étonnant de voir le Valls venir faire le malin…)
    Pas étonnant du tout de le voir avec Jean Michel…
    Et puis le non lieu providentiel ne viendrait tout simplement pas de l’Elysée?
    Les comiques macronistes sont bien protégés par la Justice. En effet!
    Ensuite, mesdames « les salopes », ne confondaient pas ce pauvre type avec Depardieu…Ca lui fait trop de pub!

    • Commentaire qui pue l’antisémitisme. Rien d’étonnant de la part d’un stal grabataire indécrottable.

      • Commentaires tirés du « wikipedia de l’artiste » …
        Rien d’alarmant sauf pour un lèche-bottes pimpant !

  2. Un vrai naïf ? Un vrai gentil idiot ? En tous cas il a un vrai destin, après une virée chez les Tricoteuses, se retrouver dans les bras cagneux de Brigitte.

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