
Emmanuel Macron est content. Avec l’entrée de Robert Badinter au Panthéon, il réalise le genre de « coup » dont il a l’habitude. Qui à ses yeux présente un triple avantage, d’abord de permettre une diversion dans l’effarante crise politique qu’il s’est acharné à créer. Et pour cela quoi de mieux que de bâtir un faux consensus républicain autour d’une personnalité que l’on présente comme « incontestable ». Ensuite de parader dans une de ces mises en scène dont il raffole. Et enfin, sans crainte de la contradiction, de flatter le communautarisme au nom de l’universalisme républicain.
Mais qu’attendre de ce personnage, dont le programme de destruction du pays qui lui a été confié par ceux qui l’ont installé au pouvoir, implique d’en galvauder les éléments symboliques. Avec Simone et Antoine Veil, Maurice Genevoix, Joséphine Baker, Missak et Mélinée Manouchian, et Robert Badinter, nous en sommes déjà à huit personnes pour six occurrences, en attendant l’entrée, ô combien justifiée, du grand Marc Bloch l’historien résistant exécuté par la Gestapo, prévue en juin 2026. La priorité donnée à Robert Badinter disparu il y a tout juste un peu plus d’un an sur celle de Marc Bloch caractérise les manipulations politiciennes dont Macron est coutumier. De l’entrée d’une icône républicaine au Panthéon, acte solennel de mémoire nationale républicaine, il a fait un événement politicien et mondain. La priorité donnée à Robert Badinter suffit à le démontrer.
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Avant de partir, merci de m’offrir un café.

Macron l’a bien dit :
Badinter, c’est la promotion de ceux qui refusent de donner la vie (les homosexuels revendiqués) et de ceux préméditant de prendre la vie des autres (assassins), ça vaut bien d’en faire un saint laïc et de lui faire un cénotaphe au panthéon.
Conformisme quand tu nous tiens !
« Voyons voir » de plus près le gentil Badinter.
On peut savourer ce moment historique :
La suppression de la peine de mort par un homme tout à fait sincère, dont le désir de bien est développé dans un magnifique discours au Parlement…
mais qui inflige sans retenue la peine de mort à des concitoyens ! … enfin des « concitoyens » qui n’en sont plus ! … Leurs élus se prennent pour des maitres au dessus des lois puisqu’ils se votent leurs privilèges sans demander l’avis de leurs victimes ! Ce qui a comme conséquence directe d’éliminer socialement et physiquement les catégories méprisées et chargées d’alimenter à leurs propres risques les privilèges criminels de ses maitres à penser… lesquels en échange, « donnent « ( généreusement) à toutes et tous, de magnifiques leçons de morale.
Tout ceci sans le moindre droit à un procès équitable !
Enfin : ceci depuis longtemps et jusqu’à présent, puisque nous avons commencé à ouvrir une brèche avec un succès immédiat au tribunal ! Ceci après plusieurs succès faciles contre les impôts.
Précisons que ces donneurs de leçons provoquent ainsi, selon des statistiques et des études médicales, et ceci chaque année, le décès prématuré d’environ 200 000 citoyens français ! Soit 30% des décès impactés par une « trahison de la Constitution ».
Mais les mêmes grands cœurs veillent au grain : ils ont préalablement « légalisé » leurs gentils crimes ! … qui répondent à la définition du « racisme « , lui-même puni par des lois faites également par ces mêmes individus présomptueux , et tellement imbus de leur supériorité scolaire sur le « petit » peuple qu’ils s’imaginent intouchables !…
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Si le sujet vous intéresse, ne publiez pas ce texte ; je vais beaucoup plus loin dans ma démonstration et le cas « Badinter » mérite un développement élargi et révélateur sur le mépris culturel de la caste ! Mais elle est empêtrée dans une idéologie répondant précisément à la définition du racisme qu’elle dit « punir ».
Et vous jugez vous-même.
A noter que Badinter s’inscrit dans une longue lignée et a lui-même ses héritiers :
– légalisation de la pilule contraceptive en 1967 par la loi Neuwirth, pour « contrôler les naissances » ;
– promotion du libertinage en 1968, avec Cohn-Bendit ;
– facilitation de l’avortement en 1975, avec la loi Veil, (et accessoirement du divorce) ;
– avortement financé par le contribuable en 1981 ;
– pacs, mariage pour qui veut, PMA pour toutes pour le plus grand bénéfice des labos et autres investisseurs spécialisés en ingénierie sociale ;
– euthanasie pour complaire à Attali, qui se considère comme une bouche utile donc non concerné.
Où ce brave Philippe de Villiers est-il aller pêcher l’idée saugrenue que la France vivait un populicide ?
Qui, qui pourrait avoir une idée aussi maléfique, de nos jours, après les heures les plus sombres de l’Histoire que nous avons connu ?
Où, où sur la planète ce genre d’abomination pourrait-il se produire ?
Il faut arrêter de se faire peur !